Les abductions – Partie 2

Cas impliquant des participants aux séances

Buste représentant l’un des aliens ayant enlevé Betty et Barney Hill

Les Cassiopéens confirment en grande partie les principales conclusions auxquelles ont abouti les recherches menées sur les abductions au fil des décennies en affirmant que le phénomène de temps manquant masque effectivement des enlèvements, que ceux-ci sont intergénérationnels, que l’hypnose peut être efficace pour accéder à ces événements et dévoiler des souvenirs-écrans, et que les entités responsables sont majoritairement celles qui sont remémorées consciemment ou grâce à l’hypnose. Les ravisseurs eux-mêmes semblent recourir à une forme avancée d’hypnose qui leur permet de manipuler les abductés mentalement, de bloquer ou d’altérer des souvenirs ou de créer des simulations réalistes en « restructurant » les perceptions en temps réel. Ils s’adonnent à des expérimentations scientifiques qui incluent des examens et des prises d’échantillons biologiques, le prélèvement de gamètes et, pour finir, une « hybridation » en masse ou un programme de génie génétique.

Ils enlèvent des personnes qu’ils perçoivent comme une menace et ont la capacité de modifier des attitudes et de « programmer » les esprits pour leurs propres desseins. Des interactions fréquentes peuvent avoir pour conséquence d’ouvrir une « fenêtre » qui facilitera l’occurrence d’un tas d’autres phénomènes paranormaux. Contrairement à ce que pensent de nombreux ufologues comme David Jacobs, pour qui les abductions sont de nature strictement physique, au moins certains de leurs aspects impliquent d’autres dimensions ou « densités » de réalité, et si des enlèvements militaires ont effectivement lieu, a minima dans le cas de Leah Haley, ses souvenirs de Gris n’étaient pas des souvenirs-écrans dissimulant des ravisseurs humains.

Dans plusieurs transcriptions, des participants ont posé des questions portant sur d’éventuelles abductions les concernant (qu’ils s’en souviennent ou non) ou impliquant des membres de leur famille ou de leur entourage. Les réponses apportées ne concordent pas toujours, mais prises globalement, il est possible d’en tirer des généralisations qui cadrent avec les conclusions auxquelles ont abouti d’autres chercheurs.

Pendant la toute première séance du 16 juillet 1994, les Cassiopéens ont indiqué que trois des participants avaient été abductés en précisant le nombre total de fois où chacun l’avait été : 57 fois, 56 fois (mois précédent inclus) et 12 fois. Les réponses données sur l’identité des ravisseurs étaient vagues (mais deviendront plus spécifiques au fil des mois et des années) avec des allusions à « d’autres » portant « plusieurs noms ». Interrogés sur ce qui avait été fait pendant ces abductions, ils ont répondu : « Donné de faux souvenirs. Ont fait de toi une enfant inhibée — maux de tête — malade à l’école ». Sept ans plus tard (19/12/2001), il sera précisé pour une autre personne : « abductée et souffre de stress post-traumatique ».

De nombreux témoins rapportent des changements de leur personnalité et de leur état de santé après avoir été enlevés. Bullard cite 11 cas de changements de personnalité négatifs comprenant anxiété, dépression, tentative de suicide, isolement, neurasthénie et incapacité à travailler, comportement erratique et paranoïaque, et un cas extrême de déroute totale (Dionisio Llanca) :

Avant son abduction, ce jeune homme apparemment plutôt inintéressant et ordinaire, était stable et travailleur. Mais dans les mois qui ont suivi, il s’est mis à changer fréquemment d’emploi pour finir par totalement cesser de travailler. Il s’est fiancé puis a mis fin à la relation ; ses parents l’ont rapidement mis dehors, et il s’est vite retrouvé emprisonné pour escroquerie.

Dans Devils Den: The Reckoning (2020), Terry Lovelace mentionne plusieurs autres exemples :

• « Julia » (cas n°5) et sa sœur « Mollie » sont devenues « plus sérieuses et moins enjouées » après avoir été abductées. (Les compétences en mathématiques de Julia se sont aussi améliorées.) Auparavant insouciante et extravertie, Mollie est devenue « maussade et renfermée ».

• « Tina » (cas n°6) a développé une mystérieuse déficience immunitaire. Elle lutte désormais pour maintenir son poids et souffre quasi quotidiennement de « migraines débilitantes et de douleurs dans tout le corps ».

• « Linda » (cas n°14) a également souffert de migraines pendant un certain temps.

• De nombreux abductés (dont Lovelace) ont vu des proches (par exemple des amis intimes ou des membres de la famille) devenir froids et distants immédiatement après une abduction commune.

La semaine suivante, le 22 juillet 1994, Candy a voulu en savoir plus, mais les Cassiopéens ont refusé de répondre en disant que ses « Vibrations ne [convenaient] pas en ce moment ». (Cinq ans plus tard [02/01/1999], quand un autre participant a demandé s’il avait été abducté, les C’s ont à nouveau refusé de répondre en précisant que « l’information ne serait pas utile » à ce moment de sa vie.)

Le 30 juillet, il lui a été indiqué que l’un de ses enfants avait été enlevé. Au cours des deux mois suivants, Candy a été hypnotisée quatre fois à ce propos. Lorsque les C’s ont à nouveau été interrogés à son sujet, ils ont confirmé qu’elle avait été abductée, mais qu’au moins une partie des informations ayant émergé lors des régressions hypnotiques avaient été enjolivées tant consciemment qu’inconsciemment. (Plus de détails sur Candy sont disponibles dans Hackeurs d’âmes et Ces mondes qui nous gouvernent.)

30 septembre 1994

Q : (L) Quel était le but de [l’]abduction [la plus récente de Candy] ? Qu’est-ce que les aliens essayaient de faire avec elle ou tentaient de lui faire ?

R : Examen vaginal.

Q : (L) Dans quel but ?

R : Efficacité reproductrice.

Q : (L) Mais [Candy] a eu une hystérectomie.

R : Ils n’en ont trouvé aucune [« efficacité reproductrice »]. [...]

Q : (L) Combien de fois a-t-elle été enlevée ?

R : 52 [Le nombre donné précédemment était de 56]. [...]

Q : (L) Les fois précédentes, c’était pour quoi ?

R : Étudier l’esprit et exploiter les émotions [c’est-à-dire, s’en nourrir]. [...]

Q : (L) Est-ce pour notre bien ?

R : Non.

Dans la série L’Onde, il est également question du cas de « Frank », notamment dans Les petits tyrans et Affronter l’inconnu. Lors de cette même séance de septembre, un nouveau nombre de 53 a été donné (comme pour Candy, la différence avec la réponse précédente était de 4 de moins). Ce chiffre a été répété le 9 octobre 1994 avec la précision que sa dernière abduction avait eu lieu lorsqu’il avait 23 ans, ce qui laissait entendre qu’il n’avait pas été enlevé « depuis un certain temps ».

Q : (L) Pourquoi ont-ils enlevé Frank ?

R : Esprit.

Q : (L) Qu’y a-t-il avec son esprit ?

R : Programmé par des puissances supérieures. [Nous aborderons cette programmation plus en détail ultérieurement.] [...]

Q : (L) Se nourrissent-ils des émotions de Frank ?

R : Oui.

Q : (L) Y a-t-il un quelconque moyen de couper le robinet ?

R : Ce n’est pas continu.

Pour un troisième participant, le chiffre initial de 12 donné le 16 juillet est passé à 17 trois mois plus tard (09/10/1994), puis a été répété le 2 novembre 1994. Le 9 octobre, il a été précisé que la première abduction (commise par les Gris) avait eu lieu à l’âge de 3 ans, et la dernière à 22 ans. Un an et demi plus tard, le 24 avril 1996, plusieurs âges compris entre 2 et 44 ont été énumérés, laissant entendre qu’une abduction était survenue entretemps.

Au cours de ces premières séances, plusieurs objectifs ont été cités pour expliquer les abductions dont le « contrôle de connaissance » (30/07/1994) et l’« encodage » de comportement autodestructeur afin de potentiellement contrecarrer une « menace de révéler la vérité » (09/10/1994). Ces menaces potentielles sont déterminées grâce à une « lecture de l’image aurique » (09/10/1194). Les ravisseurs provoquent également des problèmes physiques comme l’inhibition de la thyroïde, par exemple (11/02/1195). De nombreux abductés souffrent de troubles auto-immuns et autres pathologies. Selon Kathleen Marden et Denise Stoner dans The Alien Abduction Files (2013), 38 % de leur groupe d’expérienceurs a reçu un diagnostic de syndrome de fatigue chronique ou de mononucléose récidivante (comparé à 1 % dans la population générale).

Deux abductions présumées supplémentaires ont été brièvement mentionnées dans d’autres séances. La première après une question portant sur une expérience où la participante et une amie s’étaient arrêtées au bord de la route pour changer de conducteur. Elles avaient fait le tour de la voiture, s’étaient installées et étaient apparemment « restées assises là pendant très longtemps ». Les C’s ont alors répondu qu’une abduction avait eu lieu « à cause de l’état d’ouverture produit par la drogue » qui avait été ingérée (28/10/1994).

La seconde concernait une expérience lors de laquelle la participante s’était réveillée une nuit alors que sa maison était entourée d’une lumière extrêmement brillante. Plus tard, elle s’était réveillée à l’envers dans son lit avec le bas de la robe de chambre mouillé. Au lieu de s’en alarmer, elle s’était simplement extirpée du lit pour se retourner et s’était rendormie. (Ce genre d’indifférence atypique est couramment décrite dans la littérature consacrée aux abductions.) Les C’s ont minimisé la possibilité qu’il s’agissait d’un rêve intense et confirmé que l’inversion de la position dans le lit et la robe de chambre mouillée indiquaient « une abduction véritablement physique » (17/02/1996).

Dans la séance qui suit, l’évocation d’une éventuelle future abduction a conduit à une brève discussion sur deux individus, Mike F. (un imposteur évoluant dans le milieu ufologique) et John W. :

30 juillet 1994

R : [...] Mike et John t’ont mouchardée.

Q : (L) Sont-ils de mèche avec les aliens ?

R : Pas sciemment. [...] Subconsciemment. Implants.

11 février 1995

Q : (L) OK, à une occasion, vous avez [...] précisé que [John et Mike] étaient des agents inconscients et involontaires des Lizzies. Peut-être cela implique-t-il qu’ils ont été enlevés. Combien de fois John a-t-il été abducté et quand cela a-t-il commencé ?

R : Il a été « contacté » ou abducté 186 fois depuis l’âge de 4 ans.

Q : (L) Et pour Mike ?

R : Êtes-vous prêts ? 446 fois.

Quelques questions ont également été posées au sujet des enfants et des abductions (par exemple le 30/07/1994 et le 02/11/1994), dont une survenue lors d’une observation d’ovni (17/06/1995) et une tentative que le parent avait fait échouer (02/11/1994).

16 octobre 1994

Q : (L) Pourquoi les Gris ont-ils enlevé V__ ?

R : Pour tenter de l’encoder à s’autodétruire.

Q : (L) A-t-elle surmonté cette programmation ?

R : Espérons. Il y a toujours de la place pour l’erreur. Souvenez-vous, le libre arbitre est la loi la plus importante de la conscience dans la création.

2 novembre 1994

Q : (V) Combien de fois ai-je été enlevée ?

R : 55. [La plus récente était en] Juin.

Q : (V) C’était la fois où j’ai eu l’impression d’être attaquée ?

R : Oui. […]

Q : (V) En juin, j’ai rêvé que j’étais enlevée, il y avait des êtres de lumière et j’étais aussi un être de lumière. J’essayais différents vêtements. On m’a emmenée dans une pièce où l’on m’a dit que je pourrais écrire et quand on m’a dit qu’il était temps de partir, j’avais des chaussures sur lesquelles était écrit « Étoile Terre ». Était-ce une abduction ?

R : Oui.

Q : (V) Vous parlez d’illusions, je croyais que c’était bon signe ! Était-ce une mauvaise chose ?

R : Subjectif. [Dans un autre contexte, ils ont répondu par le mot « neutre » (30-07-1994).]

Q : (V) Qui m’a enlevée ?

R : Les Gris.

Q : (V) Quand je me suis réveillée, je me suis sentie tellement grande et électrique. J’ai cru que c’était la meilleure chose qui soit… est-ce que c’était mon abduction du mois de juin ?

R : Oui.

25 octobre 1994

Q : (V) C’était quoi les boules de lumière rouge et verte qu’Éric [son fils] a vues il y a plusieurs mois ?

R : Sondes des Gris.

Q : (V) A-t-il été enlevé ce jour-là ?

R : Non.

Q : (L) Ces sondes étaient-elles là à cause de lui ou à cause de moi ?

R : Lui.

Q : (V) A-t-il déjà été enlevé ?

R : Oui.

Q : (V) À quel âge a-t-il été enlevé pour la première fois ?

R : Deux.

24 novembre 1994

Q : (L) En 1981 et 1982, il est fréquemment arrivé que ma fille A__ voie derrière sa fenêtre ce qu’elle a décrit comme un alligator, et elle se réveillait en criant et nous nous levions. Et une fois, nous avons vu ce qui semblait être une silhouette se tenant debout dans un coin près du placard. Cette série d’événements s’est conclue par un rêve dans lequel j’étais confrontée à un dragon…

R : Lézard.

Q : (L) Que faisaient-ils à cette époque ?

R : Repérages [d’]Abductés potentiels.

Q : (L) Et ont-ils enlevé quelqu’un à ce moment-là ?

R : Non.

Q : (L) Pourquoi ?

R : Tu l’as empêché. [...]

Q : (L) Ont-ils tenté de nous attaquer depuis lors ?

R : Oui [en « embrouillant » les émotions d’un proche].

Récemment, une autre référence à un « repérage » a été faite. Interrogés sur une sphère volante métallique personnellement observée par un participant à l’âge de 19 ans, les C’s ont répondu qu’elle l’« évaluait » en vue d’une « abduction » et qu’à l’époque, cela avait été un succès (23/09/2023).

19 novembre 1994

Q : (T) Ai-je été enlevé ?

R : Enfance.

Q : (L) A-t-il été enlevé depuis qu’il est adulte ?

R : Peut-être au niveau 3. [C’est-à-dire une abduction de « conscience » dont nous parlerons un peu plus loin] [...] mais pas physique comme dans l’enfance. [...]

Q : (L) Combien de fois a-t-il été enlevé physiquement ?

R : 27.

Q : (L) Combien de fois ont-ils parasité sa conscience en induisant un état alpha ?

R : 196. [...]

Q : (T) Vais-je encore être enlevé maintenant que j’ai eu ce changement de conscience ?

R : Ouvert.

Q : (T) Est-ce que ce sont les mêmes êtres qui pratiquent les enlèvements, ou est-ce qu’il y a différents groupes ?

R : Deux groupes. [Gris et Lézards.]

J., la femme de T., a vécu ce que les C’s ont qualifié d’« expérience d’abduction ordinaire » commise par les Gris la semaine précédant cette séance :

18 février 1995

Q : (L) (J) La semaine dernière, je me suis réveillée, environ 20 minutes après m’être endormie, en hurlant comme une dingue car il y avait quelque chose debout à côté du lit. Qu’est-ce que c’était ?

R : [...] tu as effectivement été enlevée ! [...]

Q : (L) Qu’ont-ils fait ?

R : Actualisation de l’étude de la base de données psychique. [...]

Q : (T) Est-ce la surprise de la sensation de passer par la fenêtre qui a fait crier J ?

R : Pas besoin de fenêtres. [...]

Q : (T) L’incident semble avoir duré 20 minutes [...] parce que c’est arrivé pendant que je regardais la télévision dans le salon. Mais son expérience a pu être plus longue ou plus courte que le temps que nous avons perçu, n’est-ce pas ?

R : Oui.

Q : […] (J) Ai-je mis un terme à l’abduction en criant ?

R : Fin, limite de niveau de conscience.

Q : (T) Donc, quand je suis entré dans la chambre, ça c’est simplement terminé ?

R : Oui.

Q : (T) Ce n’est pas moi qui y ai mis un terme ? Ses cris m’ont juste alerté.

R : Tu as été distrait.

Q : (T) Eh bien, c’est facile à faire avec moi. Je suis facilement distrait ! Donnez-moi un écran d’ordinateur et mon attention est détournée !

R : Tous le sont.

18 mars 1995

Q : (L) Le frère de J. a-t-il déjà été enlevé ?

R : Non.

31 décembre 1994

Q : (L) [...] Mark a-t-il déjà été enlevé par des aliens ?

R : Oui, a commencé à l’âge de trois ans. Te souviens-tu du « fantôme à la fenêtre en encoignure » à trois ans ?

Q : (M) Je me souviens très vaguement de quelque chose. Je crois que j’ai raconté l’histoire à Frank. Il s’est passé quelque chose et je crois que je me suis réveillé en criant. J’ai vu quelque chose. Quand était-ce la dernière fois ?

R : À 22 ans.

Q : (V) Combien de fois Mark a-t-il été enlevé ?

R : 23 fois.

Q : (M) Vais-je encore être enlevé ?

R : Oui.

Q : (M) Quand ?

R : Cela dépend de ton centre de croyance.

Q : (L) Je pense que le fait d’être à nouveau abducté et dans quelles circonstances peut dépendre du niveau de connaissances que tu acquiers. [...] Qui a enlevé Mark ?

R : Les Gris.

Q : (L) Quel était le but de l’abduction de Mark ?

R : Étudier son esprit. Son esprit et sa détermination sont très forts. [...]

Q : (L) Diana a-t-elle déjà été enlevée [la femme dont la régression hypnotique impliquant des mantes religieuses est évoquée dans L’Onde] ?

R : Oui.

Q : (L) Quand était-ce la première fois ?

R : À 2 ans.

Q : (L) Combien de fois ?

R : 59. [...]

Q : (L) Bon, combien d’abductions de niveau 1 ?

R : 9.

Q : (T) Combien d’abductions en état alpha ?

R : Senti des « fourmillements » il y a deux semaines.

Q : (V) Eh bien, il a deux semaines, c’était le jour de la soirée à la libraire de Tampa. (L) OK, Luanne [la femme de Mark] a-t-elle déjà été enlevée ?

R : Oui.

Q : (L) Combien de fois ?

R : 17 [à partir de l’âge de 4 ans].

25 février 1995

Q : (BP) GB est-il un « abducté », comme on dit ?

R : À maints égards. [...]

Q : (L) Il existe environ six sortes différentes d’enlèvements, qui vont du contact physique au contact et au contrôle télépathiques.

R : Et également des enlèvements d’origine humaine.

Q : [...] (J) Ce sont des humains qui ont enlevé GB ?

R : À GB de répondre.

Q : (L) Vous vous souvenez de la fille — je tairai son nom — qui aurait été emmenée par le Sasquatch ? Elle est venue me voir avec des bleus à l’arrière des jambes. Sous hypnose, elle a décrit avoir été embarquée par l’armée et des suggestions lui ont été implantées pour lui faire croire qu’elle avait été enlevée par des aliens. Elle a même perçu le camion qui l’avait emmenée comme un vaisseau alien survolant le lac derrière chez elle. GB a-t-il été enlevé à Stratford ?

R : Oui. [Par] Les Gris. Examiné.

Q : (L) Était-ce sa première abduction ?

R : Non. [A commencé] À l’âge de trois ans.

Q : (L) Combien de fois GB a-t-il été enlevé ?

R : 175 fois.

Q : (L) Quand a eu lieu le dernier contact ?

R : La semaine dernière.

Q : (GB) Ils m’ont berné. (J) À l’évidence, oui. (L) Ils le peuvent. C’est ce qu’ils font. (GB) Dans quelle intention m’enlèvent-ils ?

R : Tu en sais beaucoup, n’est-ce pas ? [...]

Q : (TM) Où étais-je quand j’ai eu celui [l’implant] qui est dans le cerveau ?

R : En voyage, en transit [...] vers une sorte de rassemblement.

Q : (TM) J’avais un épisode particulier en tête… J’espérais qu’ils me diraient quelque chose qui justifierait mes soupçons.

R : Tu nous le dis. Nous voyons clairement un transit, mais la raison de sa rapidité à travers le 3^e niveau reste obscure. Le cycle temporel a été interrompu et nous ne pouvons pas voir clairement à cause du blocage de cycle.

Q : (L) As-tu vécu un épisode de temps manquant ? (TM) Pas que je sache. En fait, je suis arrivé plus tôt que je ne l’aurais dû. (L) Eh bien, cela expliquerait pourquoi ils ont dit « la raison de sa rapidité reste obscure ». (J) TM a-t-il vécu une accélération du temps ?

R : Et comment.

Q : (TM) Je voyageais dans quel genre de véhicule ?

R : Ne pouvons voir en raison du blocage de cycle.

Q : (L) Qu’est-ce qu’un blocage de cycle ?

R : Trop complexe, mais cela implique un dôme de fréquence au-dessus du sujet.

Q : (GB) Comme une bulle ?

R : Pas loin.

Q : (BP) Donc, ce qu’ils font c’est manipuler notre perception du temps, ils nous embarquent, font ce qu’ils ont à faire, nous rebalancent, et si c’est plus rapide, c’est plus rapide, si c’est plus lent, c’est plus lent. Qui s’en soucie ? (L) Travail bâclé.

R : Pas loin. [Ces erreurs temporelles seront abordées plus en détail dans de futurs articles.]

Q : (J) Comme remettre les gens dans une autre voiture que la leur, ou bien dans le mauvais sens du lit, ou avec le pyjama à l’envers, etc. (BP) Des gens se sont réveillés dans d’autres lits, dans d’autres maisons, dans les bois, etc.

R : Oui.

Q : (GB) Quand ma femme a-t-elle été enlevée la dernière fois ?

R : La semaine dernière.

Q : (J) Ont-ils été enlevés tous les deux en même temps ?

R : Oui.

Q : (GB) [...] Quand nous avons été enlevés tous les deux ensemble, c’était un enlèvement physique ou d’un autre type ?

R : Abduction de l’âme.

Q : (L) Est-ce arrivé la nuit pendant qu’ils dormaient ?

R : Oui.

Q : (GB) Qu’ont-ils fait pendant l’enlèvement de l’âme, quel en était le but ?

R : Examen des connaissances.

Q : […] (J) Qui a passé en revue les connaissances ?

R : Les Lézards, bien sûr.

Q : (J) C’était comme un téléchargement. [...] (GB) Est-ce pour élever nos connaissances, ou pour contrôler nos connaissances ?

R : Les deux, mais principalement contrôler.

Q : (L) Comment le fait d’être enlevé par des êtres SDS pourrait-il accroître nos connaissances ?

R : Accidentellement. [...]

Q : (L) Donc, autrement dit, ils peuvent enlever quelqu’un pour contrôler ses connaissances, mais si l’individu a atteint un certain niveau de connaissance, l’enlèvement ne sert qu’à accroître ses connaissances ?

R : Oui.

Outre les 11 cas de désintégration de la personnalité mentionnés auparavant, Bullard a également constaté que 20 personnes avaient subi une transformation « qui peut être considérée comme une amélioration ou, a minima, une absence de déclin ». Ces cas comprenaient le développement d’une soif de connaissances (aspect le plus courant), une meilleure capacité d’apprentissage et de plus grands talents, de nouvelles carrières et des modifications de l’alimentation et du mode de vie. Si les Cassiopéens ont raison, la plupart de ces réactions positives ne sont pas intentionnelles, et les autres pourraient tout simplement servir les objectifs des ravisseurs (le changement de carrière, les nouveaux talents et la modification de l’alimentation, par exemple).

16 septembre 1995

Q : (RC) Combien de fois ai-je été abductée ?

R : 20.

Q : (RC) Cela s’est-il passé en majorité durant mon enfance ou plus récemment ?

R : Les deux.

Q : [...] (RC) Durant ces 8 dernières années ?

R : Oui.

Q : (RC) Donc, la majorité ont eu lieu ces 8 dernières années ?

R : Non. Juste les plus récentes.

Q : (L) Pourquoi a-t-elle été moins enlevée que d’autres dont on a parlé ?

R : Moins ?

Q : (L) Eh bien, certaines personnes semblent l’avoir été beaucoup plus, et 20 ça ne paraît pas beaucoup.

R : Les abductions prennent de nombreuses formes. [...]

Q : (RC) Et j’ai été abductée pendant que j’étais avec [mon ancien petit ami] ?

R : Eh bien oui, mais Israël est la plus grosse abduction [de la vie de RC]. [...] L’abduction avec David, c’était en Afrique du Sud.

Q : (L) Qu’est-ce que ça veut dire la plus grande abduction en Israël ? [Abduction par les Gris qui a eu lieu dans le désert du Néguev quand elle était enceinte.]

R : Extraction physique. [...]

Q : (RC) Ça paraît logique car mes migraines ont commencé en Afrique du Sud… J’ai perdu ma virginité dans le Néguev… donc c’est probablement là qu’ils ont commencé à m’enlever — tout le bazar sexuel, c’est ça ?

R : Oui.

14 octobre 1995

Q : (L) Bien, nous avons un visiteur ce soir, [TK], et il est un peu à la marge […] sur ce sujet, mais il voudrait poser quelques questions, dont celle-ci : a-t-il déjà été enlevé par des aliens dans cette vie-ci ?

R : Complexe. [...] Les navires sont vulnérables aux EBF et au « Transfert de temps zéro ».

Q : (L) Vous suggérez donc que s’il y a eu enlèvement, ça s’est passé lorsqu’il était en mer [dans la Marine] ?

R : Peut-être. [...] Nous voyons « Bahreïn ».

Q : [...] (TK) Nous n’avons passé qu’une nuit à Bahreïn. (T) C’est largement suffisant ! (L) Comme pour devenir enceinte, tu sais ! Il suffit d’une fois ! [...] (J) A-t-il été abducté ?

R : Examiné, comme tous les autres sur le navire. [...]

Q : (T) La Marine était-elle au courant de ce qui se passait ?

R : Segmenté.

Q : [...] (TK) Certains savent, d’autres non.

R : Oui. [...]

Q : […] (L) Tout le personnel militaire est-il régulièrement enlevé et étudié par des aliens ?

R : Non.

Q : (L) Tout le personnel militaire est-il régulièrement enlevé et étudié par les militaires eux-mêmes ?

R : Non.

Q : (L) À quelle catégorie doit-on appartenir pour être enlevé et étudié par les militaires ?

R : Qu’est-ce qui vous fait penser que les « catégories » déterminent s’il y a ou non enlèvement ?

Q : (TK) Ce n’est pas la catégorie, ça doit être le type de personne… [...]

R : Oui.

Q : (TK) Et si elle est facilement influençable…

R : Bien sûr. [...] Et bien d’autres facteurs.

Q : (TK) Ça pourrait avoir un lien avec ce que la personne peut faire pour ses ravisseurs. Je veux dire qu’elle doit être en position de les aider… [...] (L) Cette présomption est-elle juste ?

R : Oui. SDS. [...] Fréquence vibratoire.

Q : (L) Bon. Donc, si une personne a une fréquence vibratoire SDS, cela la prédispose déjà à se faire abducter. Est-ce exact ?

R : Dans une certaine mesure.

Q : (T) OK, c’est un facteur. Les abductions ont plus d’un objectif. En ce qui concerne le personnel militaire, y a-t-il un but spécifique ?

R : Classifications artificielles, telles que désignations militaires, ne sont importantes que pour des groupes humains.

16 décembre 1995

Q : (L) J’ai reçu un courriel d’un type qui a vécu une expérience ressemblant à celle […] que vous avez qualifiée d’« éclipse de réalités ».

R : Il s’agissait d’une abduction par des sondes cybergénétiques dont l’origine, ou plus exactement la « station », est la 5^e planète autour de Bételgeuse, connue sous le nom de A.Hur dans la fédération d’Orion SDS de 4^e densité.

Q : (L) Quel était le but de cette abduction ?

R : Contrôle de compatibilité en vue d’un placement sur shune, plateau, dans Série de Rang 3.

Q : (L) Qu’est-ce que ça veut dire ? Placement sur « shune, plateau » ?

R : C’est un statut de démarcation de compatibilité du futur statut d’« ouvrier ».

7 janvier 1996

Q : (L) Maintenant que nous sommes tous réunis ici, nous voudrions savoir pourquoi les boomerangs noirs volants ont surgi la soirée où j’ai mis Pat sous hypnose pour la première fois. [voir Amazing Grace] […] S’il est rare que cela se produise en réponse à une séance d’hypnose, à quelle personne s’intéressaient en particulier ces ovnis ?

R : Ce n’était pas une personne, mais les informations enfouies dans le subconscient de Patricia.

Q : (L) Est-ce qu’ils voulaient obtenir ces informations ?

R : Non. Surveiller ce qui serait révélé.

Q : (L) Ça veut dire que Pat détient des informations qui ont été programmées en elle avant sa naissance, et auxquelles elle a besoin d’accéder ?

R : Non. Abductions.

Q : (L) Ils voulaient voir si quelque chose allait être révélé sur les enlèvements qu’ils avaient commis sur elle ?

R : Oui.

Q : (L) D’accord. Puisqu’elle est ici, pouvons-nous savoir qui l’a enlevée ?

R : Les Gris.

Q : (L) Combien de fois a-t-elle été enlevée ?

R : 4. La scène dans la neige n’était que de 3^e densité. […] L’enlèvement qui s’est produit là était strictement physique. [...] Les autres étaient de 4^e densité. Les enlèvements de 3^e densité sont rares et loin d’être anodins. [...]

Q : (P) Est-ce que mon fils a été enlevé aussi ?

R : Figé.

Q : (L) Pourquoi voulaient-ils Pat au point de l’enlever physiquement ?

R : Des idées ?

Q : (L) Oui. Peut-être que Pat possède certaines connaissances dont elle pourrait se servir contre ces êtres ?

R : Mais la véritable raison est plus fondamentale. [...] Médiatisation. [...] Liens avec le gouvernement !

Q : (L) Oh ! Je parlais justement tout à l’heure des gens dont les proches travaillent pour le gouvernement et je disais qu’ils ont tendance à se faire enlever plus souvent. Mais le fait que Pat soit mariée à un scientifique qui travaillait au JPL ne veut pas dire qu’elle-même était au courant de quoi que ce soit. Sait-elle quelque chose ?

R : Ce n’est pas ce qu’elle savait. [...] À cause de la proximité avec les activités du Consortium.

Q : (P) Ces activités avaient-elles lieu dans le tunnel ? [Pat fait référence à la base souterraine où son mari travaillait sur un programme de recherche secret.]

R : Implantée pour possible activation dans le futur.

Q : (L) Donc, à cause de ta proximité et de tes interactions avec les gens vivant autour de toi, tu as reçu un implant destiné à te contrôler si nécessaire. (P) Est-ce que c’est lié à ce qui se passait sous la montagne ? [...]

R : Pas le lieu ; c’est le personnel dont il est question. [...]

Q : (L) Est-ce que c’était son mari ?

R : Peut-être.

Q : (L) C’est peut-être pour ça qu’il y a un taux plus élevé d’enlèvements dans les familles dont certains membres travaillent pour le gouvernement. Pour qu’ils puissent être activés ou contrôlés ? (P) Mais mon mari ne travaillait pas vraiment sur quoi que ce soit de secret.

R : Il avait accès à des installations sensibles.

Q : (L) Avait-il une habilitation de sécurité ou bien était-il ami avec d’autres personnes qui en avaient ? (P) Moi aussi j’avais une habilitation de sécurité. (L) Donc, Pat a reçu un implant. [...] (P) Et c’est à cause de ça que je ne me souviens de rien ?

R : Dans une certaine mesure.

Q : (L) As-tu déjà eu des maux de tête ou des problèmes au nez ou aux oreilles ? (P) Non, mais j’ai vraiment un gros problème de mémoire. (L) À quoi est dû en majeure partie le problème de mémoire de Pat ? Pouvez-vous nous en dire plus ?

R : Non.

Q : (L) Donc, est-ce qu’on peut dire que le soir où Pat était sous hypnose, cet ovni est apparu au-dessus de ma maison pour renforcer son implant, afin qu’elle…

R : Pour surveiller.

Q : (L) Si Pat avait révélé les détails de son enlèvement, y aurait-il eu des répercussions ?

R : Pas dans ce cas-ci.

Q : (L) Y a-t-il des cas où les révélations des abductés ont provoqué des répercussions ?

R : Varié.

Q : (L) Donc, peu importe l’hypnothérapeute auquel Pat se serait adressée : ces vaisseaux seraient apparus de toute façon ?

R : Oui.

Q : (L) Vous nous avez déjà dit que c’était extrêmement rare. Pat a-t-elle vécu une abduction d’importance inhabituelle ?

R : 3^e densité.

Q : (L) OK, quoi d’autre d’inhabituel ?

R : Découvrez.

Q : (P) Est-ce que ça a quelque chose à voir avec Camp David ?

R : Pas Camp David ; son personnel !

Q : (L) Connaissais-tu quelqu’un ? Est-ce parce qu’elle connaissait ou interagissait avec quelqu’un en particulier ?

R : Beaucoup d’autres ! [...]

Q : (L) Puisque Pat n’a été enlevée que 4 fois, cela peut-il vouloir dire qu’elle résiste aux abductions ?

R : Non.

Q : (P) N’est-ce pas simplement dû à ma personnalité ? Au fait que si ça ne m’affecte pas, je ne m’en soucie pas ?

R : Oui.

Q : (P) Je ne me soucie pas des choses qui…

R : Tirez sur quelqu’un devant Pat, et elle vous dira : «Oh, bah, c’est la vie !». Pour accéder à des informations spectaculaires, il faut être patient et creuser en profondeur ; pas de jugements hâtifs, s’il vous plaît !! Il y a tant à extraire, révéler, étudier. [Pour en savoir plus sur Pat/« Pam », lisez les chapitres 19, 22, 45, 46 et 65 de la série L’Onde.]

21 septembre 1996

Q : (L) [A.] A-t-il déjà été abducté ?

R : Non.

Q : (L) Il n’a jamais été enlevé ?

R : Non.

Q : (L) Une abduction imminente est-elle prévue ?

R : Ça ne marche pas comme ça.

Q : (L) Comment ça marche ?

R : Trop complexe.

14 novembre 1998

Q : (L) OK, [Bob] a fait le même genre de rêve, il écrit : « Je marche seul sur une route le soir vers une destination, même si au départ je ne sais pas laquelle ou n’y pense pas. Quelques voitures me dépassent, elles vont toutes dans la même direction et roulent très lentement, mais je n’y prête pas attention. La route se transforme en chemin de terre puis en deux simples ornières, mais plus l’état de la route s’aggrave, plus il y a de voitures qui me dépassent. Ensuite, une voiture s’approche très près de moi, et je crois qu’elle heurte mon bras. C’est un de ces petits véhicules à trois roues qu’on voit en Europe, alors ça me surprend, mais quand je regarde derrière, il y en a beaucoup d’autres du même type. Quand la voiture me heurte (sans me faire mal), une pièce se détache, et je me dis que je vais les aider à la remettre, mais la pièce roule tout du long jusqu’à l’endroit où la voiture s’arrête. Quand j’arrive à la voiture, une femme en sort et regarde le ciel, mais je réalise qu’elle a les yeux fermés. Elle fait le tour de la voiture, et je vois qu’elle va me rentrer dedans, alors je dis : “Oups, attention, attention”. Elle ouvre les yeux, me regarde et dit : “Pourquoi faut-il que tu rendes les choses plus difficiles ?” Je réponds : “Je n’essaie pas de rendre les choses plus difficiles pour qui que ce soit, madame. J’essaye juste de rentrer chez moi.” Je continue à marcher et je l’entends parler derrière moi, mais je ne sais pas ce qu’elle dit parce qu’un HOMME ET UN CHIEN traversent la route. (Je crois que ce type est entré dans le mauvais rêve.) Nos yeux se croisent, mais on ne se parle pas. Il est grand et mince, avec une barbe poivre et sel, et n’a pas l’air menaçant. Le chien semble seulement se trouver au bout de la laisse, mais je ne l’ai pas regardé alors je ne sais pas comment il était. Ils semblent se diriger vers les bois de l’autre côté de la route, et tandis que je marche, la route tourne à gauche et donne sur un sentier parallèle aux bois. Je vois la lumière de la lampe de poche (?) de l’homme et je me rends compte qu’il tente de me devancer, que c’est une menace, alors je me mets à courir. Puis mon réveil se déclenche et je me réveille au son de Dark Side of the Moon des Pink Floyd alors que j’avais tellement baissé le volume de la radio que ce n’était qu’un murmure qui n’aurait pas dû me réveiller. » Alors, des commentaires sur ce drôle de rêve que Bob a fait ? En particulier au sujet de l’homme qui promenait le chien…

R : Le chien est l’aimable représentant de votre « centrale alien ».

Dans Dominion Lost (2023), Bruce Rapuano écrit : « des abductés racontent avoir vu des hiboux, des cerfs et d’autres animaux en dehors de leur maison qui, grâce à l’hypnose régressive, se sont avérés signer le début d’un épisode d’abduction. Dans de nombreux cas, il semblerait que ces images d’animaux sont projetées dans l’esprit des victimes et servent de souvenirs-écrans venant masquer les réels ravisseurs aliens, tout comme nos ordinateurs peuvent transformer un visage en un autre grâce à la technologie de l’hypertrucage. »

Q : (L) Êtes-vous en train de dire qu’ils ont été enlevés et que ces rêves représentent une abduction ?

R : Ils pourraient être un souvenir d’abduction.

Q : (L) Alors, en prenant globalement conscience, des souvenirs du passé peuvent se mettre à émerger ? Même s’ils surgissent de manière obscure ?

R : Oui.

Il s’agit d’une caractéristique courante des « suites » d’une abduction. Des souvenirs se manifesteront des jours, des mois ou des années après l’événement, que ce soit à l’état de veille ou dans des rêves.

21 novembre 1998

Q : (M) Il dit : « J’ai eu trois expériences avec des aliens qui m’ont gentiment fourni des sortes de perles en silicium » […] Quand et où s’est déroulée la dernière expérience ?

R : Avril et en état de sommeil. […]

Q : (M) Le rêve du « dispositif de communication » était-il un souvenir d’une expérience passée ou était-ce une réelle expérience qui a eu lieu cette nuit-là ?

R : Reflet.

20 août 2001

Q : Terri voudrait savoir si elle a eu une programmation autre que socio-culturelle ?

R : Oui.

Q : Est-ce qu’elle a été soumise à une sorte de rituel satanique ?

R : Non.

Q : La programmation a-t-elle été faite par des êtres de 3^e densité ou de 4^e ?

R : 4^e.

Q : Quel était l’objet de la programmation ?

R : Désactiver, brouiller et détourner l’énergie.

Q : A-t-elle été enlevée enfant ?

R : Oui.

Q : Combien de fois a-t-elle été enlevée au cours de sa vie ?

R : 13. [...]

Q : Étaient-ce des abductions physiques ou par extraction et réplication de l’âme ?

R : Les deux.

Q : Combien y a-t-il eu d’enlèvements physiques réels ?

R : 3.

Q : Par qui a-t-elle été enlevée ?

R : Gris et Lézards. [...]

Q : (T) Quand j’étais enceinte et que j’ai perdu le bébé, cela faisait-il partie d’une expérience d’abduction ? {Longue pause} (L) Ils ne veulent pas répondre à cela. Pour eux, c’est un sujet sensible. A-t-elle eu un bébé qui a été pris par les aliens SDS ?

R : Très probablement. [...]

Q : L’un de ses enfants a-t-il été enlevé ?

R : Oui.

Q : Était-ce physique ou par extraction et duplication de l’âme ?

R : Principalement ces dernières.

Q : [...] (L) Cela est-il survenu depuis que Terri a commencé à s’éveiller à cette possibilité ?

R : Non.

Q : La conscience est-elle la principale protection ?

R : Oui.

Q : Quelle est la meilleure façon de supprimer ou d’annuler une programmation ?

R : Conscience et résistance.

Q : Combien de fois Vincent a-t-il été abducté ? {Rires}

R: 136. [...]

Q : (T) Quand a-t-il été enlevé dernièrement ? Hier ? La semaine dernière ?

R : […] Récemment.

En résumé, quasiment toutes les personnes concernées pour lesquelles la question a été posée auraient été abductées (25 sur 27). Les enfants des participants étaient moins susceptibles de l’avoir été (4 sur au moins 10). (Il ne faut pas considérer qu’il s’agit d’un échantillon aléatoire, et l’incidence réelle des abductions est probablement beaucoup plus faible, peut-être 2 %, comme nous le verrons.) L’âge de la première abduction s’échelonne entre 2 et 4 ans. Trois des participants avaient été enlevés pour la dernière fois des années auparavant, lorsqu’ils avaient un peu plus de 20 ans, tandis que pour les autres, cette dernière occurrence était très récente : une semaine ou un mois avant la séance en question. Ces nombres se rapprochent étroitement des conclusions de Bullard :

Les victimes d’abduction peuvent être très jeunes ou très âgées, mais un constat surprenant est que la plupart des abductés sont jeunes. Rares sont ceux qui vivent leur premier enlèvement à plus de 30 ans. Être victime une fois est souvent synonyme d'expériences ultérieures, les âges de 6-7 ans, 12-13 ans et 20 ans étant particulièrement sensibles. Même les abductés réguliers semblent ne plus avoir autant la cote à mesure qu’ils vieillissent. […] Après un pic dans la vingtaine, les enlèvements déclinent, avec une chute vertigineuse au-delà de 40 ans.

Dans Thieves in the Night, Joshua Cutchin écrit : « La plupart des témoignages suggèrent que les abductions commencent vers l’âge de six ou sept ans – même si des nourrissons peuvent également être concernés ». Les âges donnés par les C’s laissent entendre qu’elles débutent généralement encore plus tôt, peut-être lorsque les personnes ont moins de chance de les remarquer ou de s’en souvenir.

Le nombre total d’abductions et/ou de « contacts » par personne varie entre 4 et 446, et entre 12 et 186 si l’on omet ces deux extrêmes. Un tout petit peu plus de la moitié des participants auraient été enlevés entre 20 et 60 fois au cours de leur vie. Si Bullard a rédigé son analyse bien avant que le phénomène des abductions récurrentes ne soit attesté, Jacobs relève qu’au cours de la période 1999-2007, il a personnellement exploré plus de 100 expériences d’enlèvement chez un même sujet (« Betsey Nicholas »).