Avant de passer aux questions posées au sujet de la toute dernière élection présidentielle américaine, nous allons passer en revue certains passages concernant les anciennes élections, en commençant par celle de 2004.
23 octobre 2004
Q : (L) Qui va gagner l’élection aux États-Unis ?
R : Il n’y a pas d’élections.
Selon une analyse effectuée par electionfraud20.org, à partir de 2004, aux États-Unis, le taux de participation aux élections présidentielles a connu une hausse importante et anormale qui représente environ 17 millions de votes, tandis que l’augmentation habituelle au cours des 50 dernières années était en moyenne inférieure à 4 millions par cycle électoral. Cette anomalie a persisté lors des élections de 2008, 2012 et 2016. En 2020, cette hausse anormale a doublé pour atteindre 21,5 millions de votes supplémentaires. Cela représentait alors plus de 30 millions de votes frauduleux potentiels à allouer au candidat voulu grâce à divers moyens de fraude électorale. Ils ont vraisemblablement été ajoutés en 2004 afin d'assurer la réélection de George W. Bush. (Bush a remporté le vote populaire avec 50,7 % des voix, soit seulement 3 millions de voix de plus que John Kerry).
Si l’on trace sur un graphique la tendance telle qu’on l’a connue entre 1952 et 2000 (en vert) pour la comparer aux élections suivantes, voici ce que cela donne :
12 novembre 2016
Q : (L) Avant toute chose, Hillary a-t-elle réellement remporté le vote populaire comme ils sont en train de l’affirmer ?
R : Loin de là !
Q : Alors pourquoi disent-ils ça ?
R : Manipulation des votes ex eventu [c’est-à-dire après les faits].
L’analyse de l’élection ultérieure de 2020 permet d’envisager comment se déroule la fraude électorale. Lors du dépouillement des bulletins de vote déposés par anticipation, par correspondance et le jour de l'élection, des algorithmes sont utilisés pour déterminer le nombre de votes à détourner ou à créer afin d'obtenir le résultat escompté. Certains votes sont détournés, tandis que d'autres sont créés de toutes pièces grâce à des « électeurs fantômes », c'est-à-dire des électeurs inscrits sur les listes électorales qui soit n'existent pas, soit ont changé d'État, soit sont censés ne pas voter lors de l'élection en question (ce qui explique pourquoi certains de ces électeurs se voient dire qu’ils ont déjà voté lorsqu’ils se présentent pour le faire). Il semble s'agir d'un processus dynamique sensible aux réelles tendances électorales pour lequel il n’existe qu’un nombre déterminé d'électeurs fantômes, et peut-être une sorte de limite concernant la quantité de votes pouvant être détournés et dans quels lieux. Si, dans les faits, le candidat indésirable obtient plus de voix que prévu, il faut massivement injecter une « réserve de bulletins » pour aboutir au résultat souhaité, ce qui donne les fameuses courbes en « F » de 2020. Sinon, il semble que l'objectif soit de parvenir à un résultat avoisinant les 50/50 en laissant les votes décisifs aux États indécis « contestés » afin d'assurer une victoire au collège électoral.
Q : (Joe) Quel était le pourcentage réel du vote populaire que Trump a obtenu ?
R : 63 pour cent.
Officiellement, Trump n’a reçu que 46,1 % des voix du vote populaire (63 millions de votes), Clinton 48,2 % (65,9 millions), et les candidats des tiers parti 5,7 %.
Q : (Niall) Quel est le pourcentage des électeurs admissibles qui ont voté ?
R : 58.
Officiellement, le pourcentage d’électeurs admissibles ayant voté en 2016 était de 59,2 % : soit 136,8 millions de personnes sur 230,9 millions. Si le chiffre réel était de 58 %, cela signifierait une participation totalisant environ 133,9 millions de votes. Toutefois, l’ajustement de la participation réelle, grâce à la ligne verte de tendance du graphique ci-dessus, suggère un total de seulement 120,5 millions de votes en 2016, soit :
Trump, approximativement 76 millions de voix (63 % de 120,5 millions)
Clinton, approximativement 37 millions de voix (31 % de 120,5 millions)
Cela veut dire que 13 millions de voix en faveur de Trump ont été détournées et que 16 millions de voix supplémentaires ont été ajoutées au total de Clinton, ce qui est proche du nombre d'électeurs fantômes apparemment injectés en 2004. Cela pourrait signifier que la totalité des votes des électeurs fantômes ont été alloués à Clinton, que 13 millions de voix supplémentaires ont été retirées à Trump, mais qu'elles n'ont pas été suffisantes pour permettre à Clinton de remporter la victoire au collège électoral.
Q : (Joe) Lui ont-ils accordé le vote populaire pour tenter d’assurer sa victoire ?
R : Ils tentent de fomenter une révolution.
Q : (Joe) Alors ils lui accordent le vote populaire pour que tous ces gens puissent dire, « Elle a gagné le vote populaire. Ce n’est pas mon président ! » Et c’est ce prétexte qu’ils brandissent dans les rues en ce moment.
R : Oui.
15 août 2020
Q : (Joe) Quelles sont les chances de Trump de remporter les élections américaines ?
R : Bonnes.
10 octobre 2020
Q : (L) OK, voici la question à 64 000 $ : Trump va-t-il gagner l’élection ? (Joe) On l’a déjà demandé la dernière fois ! (Andromeda) Ils ont répondu oui. (Joe) Ils ont dit qu’il y avait de très fortes chances. (L) Ses chances s’améliorent-elles ?
R : Oui.
Q : (Joe) Quelle est la probabilité qu’il s’ensuive un immense chaos public ou social si Trump gagne ?
R : Très probable et conduira à la loi martiale.
Comme nous l’avons constaté, ce n’est pas arrivé. Trump a concédé l'élection, sans jamais en accepter les résultats, en insistant sur le fait que le vote avait été truqué. À en croire les C’s, tel a bien été le cas.
30 janvier 2021
Q : (L) Trump et son équipe ont-ils pu rassembler de quelconques preuves crédibles de fraude électorale ?
R : Oui.
Q : (L) L’élection a-t-elle été truquée de manière à ce qu’aucune preuve ne puisse être présentée ?
R : Non.
Consultez les preuves rassemblées sur electionfraud20.org, ainsi que les analyses de Seth Keshel et Edward Solomon (lequel a récemment donné une interview à ce sujet).
Q : (L) Alors pourquoi ces preuves n’ont-elles pas prévalu ? (Joe) Il n’y a pas eu d’audience. On connaît ça. Personne n’a voulu se mouiller.
R : Oui
Q : (L) Il n’y a donc pas pu avoir d’audience. Malgré le fait que Trump ait noyauté les tribunaux, ils n’ont toujours pas réussi à obtenir une audience. Les tentacules de l’État profond s’étendent aussi loin que ça. Qu’est-il arrivé à tous ces juges etc. que Trump a mis en place et qui AURAIENT dû aider à démêler cette fraude électorale ?
R : Visites de l’État profond.
Q : (L) Alors, autrement dit, c’était un peu comme les Hommes en Noir qui viennent vous voir pour vous dire « C’est comme ça que ça va se passer ».
R : Oui.
Q : (Joe) On prétend que quelqu’un a surpris une discussion entre les juges de la Cour suprême. Apparemment, ils s’énervaient pas mal, et l’un d’entre eux, qui était favorable à l’examen des preuves, a mentionné Bush et Gore et que cela s’était déjà produit auparavant. Les autres ont dit d’accord, mais qu’il n’y avait pas d’émeutes en perspective pour Bush et Gore. Je me demande donc si ces types n’ont pas été dissuadés de s’emparer de l’affaire en raison des sombres prédictions de soulèvements sociaux si Trump parvenait à annuler l’élection. Ils ne voulaient pas avoir cela sur la conscience. (Ark) Mais je ne comprends pas. Qu’est-ce qui a empêché Trump de diffuser ces preuves ?
R : Le contrôle qu’exerce l’État Profond.
17 juillet 2022
Q : (irjo) Quelles sont les chances que Trump soit réélu président des États-Unis aux prochaines élections ?
R : Lointaines.
Q : (L) Cela veut-il dire que d’autres choses bizarres pourraient se passer ?
R : Oui.
Q : (Joe) Cela veut-il dire qu’il n’y aura pas d’élection présidentielle en 2024 ?
R : Pas exactement. Vous verrez bien !
Rétrospectivement, et si l’on se fie à d’autres propos des C’s tenus fin 2024, il semble que le plan initial était que Trump meure. (Voir, par exemple, la courte discussion publiée dans l’article sur les interventions divines.)
23 novembre 2024
Q : (Carl) Combien de vrais citoyens étasuniens en chair et en os ont voté en toute légitimité pour Donald Trump lors des dernières élections, à un million près ? (Joe) De vrais citoyens ? (L) Ceux qui sont inscrits sur les listes électorales.
R : Près de 100.
Q : (L) Près de 100 millions ?
R : Oui.
Q : (L) Et pour Kamala ?
R : Moins de 23.
Q : (Joe) Donc [environ] 75 % pour Trump. (Andromeda) C’est ce que j’avais supposé. (Chu) C’est ce qu’on a toujours dit. (L) Donc ils n’ont pas seulement volé des voix à Trump, ils ont aussi augmenté celles de Kamala et lui ont attribué des voix supplémentaires… (Joe) Il y a les clandestins… (L) Plus les votes illégaux. Est-ce à peu près le tableau ?
R : Oui.
Aussi absurde que cela puisse paraître, plus d'un mois après l'élection, les chiffres définitifs ne sont toujours pas disponibles. Toutefois, sur la base des résultats publiés jusqu'à présent, Trump a remporté 49,9 % des voix au vote populaire (77,3 millions de votes) et Harris 48,4 % (75 millions de votes). Alors que les candidats des tiers partis ont officiellement obtenu 5,7 % des voix en 2016, ils n'en auraient obtenu que 1,7 % en 2024 (soit 3,1 millions de votes). Cela signifie que, selon les chiffres donnés par les C’s, environ 23 millions de voix pour Trump ont été détournées au profit de Harris, et que 29 millions de votes illégaux supplémentaires ont été attribués à Harris (qu'il s'agisse d'électeurs illégaux ou fantômes).
Pour en revenir à l'analyse de la tendance du taux de participation, la ligne verte de tendance suggère que la participation électorale réelle pour 2024 aurait dû être de 128 millions. Ce chiffre est remarquablement proche de celui avancé par les C’s : 100 (Trump) + 23 (Harris) + 3 (tiers partis) = 126 millions. Cela suggère que les candidats des tiers partis auraient en fait obtenu 2 millions de voix supplémentaires qui ont été détournées en faveur de Harris. Si la participation s'élève effectivement à 128 millions, cela signifie que Trump a remporté 78 % des voix au vote populaire, soit 15 % de plus qu'en 2016.
Au cours de la période ayant précédé l'élection, le Parti républicain a réussi à assainir certaines listes électorales dans divers États choisis en éliminant une petite partie d’électeurs fantômes potentiels, et à imposer d'autres mesures d'intégrité électorale par le biais d’actions en justice. Associé au nombre considérable de nouveaux inscrits républicains ainsi qu’aux démocrates et indépendants qui ont voté pour Trump, cela semble avoir rendu l'élection de 2024 « trop importante pour être truquée », ce qui a donné lieu à une nouvelle courbe en « F » illustrée par l'image en début d’article.
Une synthèse très instructve merci