Fenêtres et portails dimensionnels – Première partie
Petites fenêtres, grandes fenêtres, et l’Escadrille 19
Fenêtre : point de convergence entre dimensions et/ou densités permettant de passer de l’une à l’autre ; ouverture sur des états différents par l’intermédiaire des points de la grille électromagnétique. Son ouverture et sa fermeture dépendent de la fréquence des configurations énergétiques de la zone concernée, celle-ci pouvant être modulée par des impulsions électromagnétiques.
Les fenêtres
Point Pleasant, en Virginie Occidentale, constitue une zone de « fenêtre » typique. Il en existe des centaines d’autres dans l’ensemble des États-Unis, chacune étant caractérisée par une activité ovni continue sur de longues périodes, des observations de monstres étranges, et les mystérieuses allées et venues de personnages singuliers. —John Keel, Complete Guide, p. 267
C’est John Keel qui a introduit ce concept de « zones de fenêtre ». La Loi Une y fait également référence, par exemple :
28 janvier 1981
Ra : […] Les seuls êtres capables d’enfreindre la quarantaine [barrière énergétique qui séparerait la troisième densité des densités supérieures] sont ceux qui découvrent des fenêtres ou des distorsions dans les continua d’espace/temps entourant les champs d’énergie de votre planète. C’est par ces fenêtres qu’ils entrent. Ces fenêtres sont rares et imprévisibles.
Intervieweur : Est-ce que c’est ça l’origine de ce que nous appelons les « vagues d’ovni », au cours desquelles apparaissent un grand nombre d’ovnis, comme en 1973 ?
Ra : […] C’est exact.
Comment se forme une fenêtre ? Dans les articles consacrés aux « transfenestrés interdimensionnels », nous avons appris que la formation de ces fenêtres semble principalement dépendre de certaines conditions électromagnétiques, telles que des décharges d’ondes « dans le sillage de la modulation de la limite de fréquences » (03/02/1996) et « aux points de fragilité de la frontière entre les mondes » dus aux phénomènes liés à l’approche de l’« Onde » (11/10/2014). Nos technologies ont des effets électromagnétiques au-delà de notre propre monde, ceux-ci pouvant être perçus dans d’autres dimensions où ils nourrissent les entités qui y résident et leur permettent d’entrer dans la nôtre (21/03/2015). Des séismes importants, à l’instar de celui de New Madrid, peuvent créer les « bonnes conditions électromagnétiques pour percer le rideau » lorsque la Terre se remet de l’événement et se stabilise (22/09/2018). Des explosions météoriques peuvent ouvrir une fenêtre, ce qui se produit « assez souvent » (24/06/2023).
Par ailleurs, selon les Cassiopéens, des interactions avec des Gris (comme celles que Karla Turner a connues) peuvent soumettre toute une famille à de multiples types de phénomènes qui ne sont pas directement liés aux expériences alien, tels que des poltergeists ou des rencontres avec des Bigfoot : « À l’excès, ce type d’activité ouvre des canaux ou des “fenêtres” par lesquels peuvent s’infiltrer toutes sortes de choses » (19/11/1994). Le lien télépathique qui existe entre les Gris et les percipients ne dépend pas de la distance ; il s’agit d’un processus complexe qui « résulte de fenêtres dimensionnelles » (09/09/1995).
De même, le fait de communiquer avec des intelligences supérieures comme les C’s peut « ouvrir en grand » une fenêtre dans la région concernée et entraîner des vagues d’ovnis. Plus ce type de canalisation et d’activités associées ont lieu, plus la fenêtre sera importante (18/02/1995). Lors de l’une de ces séances, de nombreux ovnis furent observés à la suite de l’« ouverture en grand » de ce genre de fenêtre (07/01/1997).
Ce qui précède concerne des fenêtres qui se forment relativement spontanément, mais d’autres sont de nature plus permanente en raison de certaines caractéristiques géographiques. Conformément à ce que Keel a écrit, il existe « de nombreuses fenêtres sur Terre » (03/06/1995). L’une d’elles se trouve en Grande-Bretagne, et c’est la raison pour laquelle Stonehenge y a été édifié (07/11/1994). Cuernavaca, au Mexique, est « la zone de fenêtre la plus active de la Terre », c’est pourquoi beaucoup d’ovnis y sont observés ; « des influences magnétiques/volcaniques contribuent à la présence d’un super-vortex » (15/11/1997). Une autre est liée au mont Palomar et à l’observatoire qui s’y trouve (07/03/2009), une région où a vécu George Adamski, contacté et imposteur notoire. Sous les eaux du Triangle des Bermudes (ainsi qu’au large du Japon, au Brésil, dans les montagnes de l’Oural, aux pôles Nord et Sud, sur la Lune et sur Mars), il existe une technologie atlante de concentration d’énergie.1 Lorsqu’elle est activée et produit des ondes électromagnétiques (18/03/1995), une « fenêtre transdimensionnelle s’ouvre en grand » (19/11/1194). En référence aux lumières de Marfa, au Texas, les C’s ont indiqué que « La fenêtre vers cette dimension laisse des parasites » (03/06/1995).
Il est probable que de nombreux endroits étranges et autres « zones d’anomalies », tels que ceux décrit dans le livre de Nick Redfern, The World’s Weirdest Places (2012), sont également associés à des fenêtres, comme la forêt de Rendlesham. D’autres lieux mis en lumière par AAWSAP pour leurs similitudes avec le ranch Skinwalker incluent Dulce au Nouveau-Mexique, la vallée de San Luis dans le Colorado, le comté de Cascade dans le Montana et la Pennsylvanie.
Les extraits de transcriptions suivants décrivent d’autres caractéristiques et phénomènes liés aux fenêtres :
18 juillet 1998
Q : (L) Une autre chose qu’Imbrogno fait remarquer [dans Contact of the 5th Kind (1997), coécrit avec Marianne Horrigan], c’est qu’ils ont établi un graphique des observations d’ovnis ayant eu lieu dans cette région, et ils se sont aperçus qu’elles se produisaient sans cesse à certains endroits. Alors il est parti enquêter sur ces sites et y a très souvent constaté la présence de pierres levées ou de chambres mégalithiques [par exemple dans l’État de New York] […] Bon, il y a eu un nombre considérable d’observations d’engins de type boomerang noir. Ces pierres marquent-elles des passerelles entre densités ?
R : Fenêtres.
Q : (L) Est-ce que ces fenêtres s’ouvrent et se ferment de manière arbitraire ?
R : Orage.
Q : (L) Peuvent-elles s’ouvrir et se fermer à volonté grâce à des moyens technologiques ?
R : Oui.
Q : (L) […] Comment se fait-il que […] les pierres et les chambres semblent liées aux boomerangs noirs ?
R : Si vous construisez une maison et qu’ensuite quelqu’un vient y installer une prise de 220 volts, quelle relation avez-vous avec le sèche-linge ?
Q : (T) Ce sont deux choses différentes. On construit une maison, puis quelqu’un vient, l’améliore et s’en sert d’une autre façon.
R : Des cristaux font s’ouvrir des fenêtres densitaires et dimensionnelles de « temps en temps », rendant ainsi apparent ce qui d’ordinaire ne l’est pas.
Q : (L) L’engin est là en permanence, et c’est la structure cristalline de la pierre qui provoque l’ouverture de la fenêtre et le rend visible ?
R : Si certains facteurs s’atténuent…
20 août 2001
Q : J’ai l’impression qu’il y a eu sur cette planète, et bien plus souvent que nous le supposons, des infiltrations dans les deux sens entre la 3e et la 4e densité.
R : Oui.
Q : Ces situations sont-elles parfois induites par ceux qui savent comment faire ?
R : Pas loin.
Q : Savent-ils seulement où se situent ces fenêtres ?
R : Oui.
Q : Est-il significatif que Rock Lake soit sur la même longitude que Tikal ?
R : Oui.
Q : Y a-t-il un rapport avec les fenêtres dont nous venons de parler à l’instant ?
R : Pas loin.
Une autre fenêtre se situe en France, à Rennes-le-Château, et peut-être à Monument Valley à la frontière entre l’Utah et l’Arizona :
5 décembre 1998
Q : OK, autre question de Mike : à Rennes-le-Château, les six montagnes forment un pentagone naturel entouré par un cercle. Cela me fait penser aux anciens jeteurs de sort qui se placent au milieu d’un cercle lorsqu’ils invoquent des esprits ou des démons. Cette région a-t-elle été configurée pour servir de porte géante ou de lieu d’invocation ?
R : Les portes apparaissent là où les conditions sont appropriées.
Q : Cette région est-elle une porte ?
R : Fenêtre.
Q : Si tel est le cas, est-ce que les cinq sommets environnants contiennent quelque chose ou protègent de…
R : Contenir est le mot qui convient.
Q : Alors il a raison. Ça contient bien quelque chose. Cela a-t-il un rapport avec la technologie atlante et la production d’énergie ?
R : De manière fortuite.
Q : Existe-t-il d’autres formations naturelles importantes possédant des configurations similaires qu’il nous faudrait chercher ?
R : Oui, bien sûr. Et elles sont nombreuses. Monument Valley n’est qu’un exemple. […]
Q : Donc, les instructions ou les indices découverts dans cet endroit pourraient en fait s’appliquer à d’autres lieux ? C’est ça ?
R : Ou à une grille. […]
Q : De quelle grille parlez-vous ? Une grille électromagnétique…
R : Oui. Méridiens...
La séance suivante poursuit ce questionnement et fournit des définitions :
12 décembre 1998
Q : (M) Vous avez dit que cet endroit autour de Rennes-le-Château était une fenêtre. Qu’est-ce qu’une fenêtre ? (L) C’est là que je réalise qu’on est tous parti du principe que l’on savait ce qu’est une fenêtre sans avoir jamais vraiment demandé une définition. Pourriez-vous nous définir le concept de « fenêtre » ?
R : Convergence ; ouverture sur des états alternatifs via des points de la grille énergétique.
Q : Les fenêtres sont-elles l’endroit où l’on peut traverser dans un sens ou dans l’autre ? Se déplacer entre les mondes ?
R : C’est possible.
Q : En quoi une fenêtre diffère-t-elle d’un « portail » ?
R : Une fenêtre est ouverte, un portail est confectionné.
Q : Une fenêtre est un portail qui apparaît naturellement ?
R : Pas loin.
Q : Une fenêtre reste-t-elle ouverte en permanence ou est-ce qu’elle s’ouvre et se ferme pour diverses raisons ?
R : Plus proche de cette dernière proposition.
Q : Qu’est-ce qui détermine son ouverture et sa fermeture ?
R : Fréquence.
Q : La fréquence de quoi ?
R : Configurations énergétiques.
Q : Les configurations énergétiques de la zone elle-même, des gens ou des gens en interaction avec cette zone ?
R : Cette première proposition.
Q : Qu’est-ce qui pourrait modifier la fréquence de la zone ?
R : Impulsion électromagnétique.
Q : D’où viennent ces impulsions électromagnétiques ?
R : Elles sont transmutables ? […]
Q : La semaine dernière, vous nous avez conseillé d’étudier la pyrotechnie, et j’ai suggéré que vous faisiez peut-être allusion, entre autres, au fait de tout simplement trouver où se produisait le plus grand nombre d’éclair sur la planète, ce qui pourrait indiquer des épicentres de points sur la grille. Est-ce que ce serait vraiment une bonne piste à suivre ?
R : L’une d’elles. […]
Q : [Mike] écrit : ces abris servaient-ils vraiment à produire du miel ? Cela ne paraît pas logique. Ont-ils été construits au XIXe siècle par les agraires que vous avez mentionnés, ou les ont-ils simplement utilisés ? Parce que certains sont entièrement remplis de pierres.
R : Des cristaux y figurent. […]
Q : Il demande si une technologie enfouie dans la région faciliterait le mécanisme de fenêtre.
R : Pas besoin de cela.
Q : Il demande si nous pourrions l’utiliser ?
R : Cela pourrait vous cramer.2
Q : Il veut savoir pourquoi la grille électromagnétique est importante…
R : Voir l’étude cartographique des ovnis de 1954 : France.
Dans son livre de 1958, Mystérieux objets célestes, l’ufologue français Aimé Michel a étudié la vague de 1954 et cartographié les observations :
Michel postule que, sur une courte période de l'ordre de 24 heures, les observations d'objets volants non identifiés (ovnis) sont alignées, à la surface de la Terre, le long de grands cercles ; le premier identifié étant la ligne dite « BaVic » (Bayonne-Vichy).
David R. Sanders a vérifié le phénomène et écrit :
La configuration BAVIC est intéressante en raison de sa linéarité apparente. La disposition en ligne droite (ou grand cercle) des six emplacements géographiques est frappante. Face à sa découverte non seulement de la ligne BAVIC, mais aussi d’autres configurations fortement linéaires pour d’autres dates de l’automne 1954, lorsque la France a connu une grande vague d’ovnis, Michel a conclu qu’une telle linéarité constituait une particularité significative du phénomène ovni et, en 1958, il a introduit le concept d’orthoténie dans la littérature. […]
Dans les faits, la ligne BAVIC ne correspond à aucune caractéristique naturelle ou artificielle, comme une chaîne de montagnes, un fleuve ou une autoroute. Elle ne correspond pas non plus à un alignement de foyers de population importants. Par conséquent, il semble improbable que notre conclusion résulte de l’utilisation d’un modèle médiocre représentant le hasard.
À une plus grande échelle, les planètes et les étoiles constituent elles-mêmes des fenêtres (15/06/1996), notre Soleil y compris (04/03/1995) : « Toutes les sphères de nature cosmique sont des fenêtres » (25/09/1999). « Le “centre de la sphère” est une fenêtre » (03/09/2008). Il en découle la nécessité d’introduire une nouvelle physique du centre des planètes (31/10/2001). Ces fenêtres peuvent faire office de trous de vers (12/09/1998).
1er mars 1997
Q : (T) Arkadiusz, tu avais une question concernant la transmission depuis Cassiopée. Quelle était-elle ? (A) Je pense que la question était : pourquoi ont-ils besoin de transmettre depuis un endroit précis de l’univers ?
R : Nous transmettons « par » l’ouverture présente dans le secteur que vous considérez comme Cassiopée, due aux puissantes pulsations radio dans la continuité de Cassiopée, elles-mêmes dues au pulsar3 d’une étoile à neutrons située à 300 années-lumière derrière celle-ci, vu depuis votre position. […] Ceci facilite un canal clair de transmission de la 6e vers la 3e densité. […]Q : (A) D’accord, il y a un truc avec les pulsars, car ils pulsent à une certaine fréquence. Mais, évidemment, ce ne sont pas ces pulsations qui sont importantes pour la transmission vu qu’il leur faut des centaines d’années pour parvenir jusqu’ici. Ça, on le sait. (L) Mais le pulsar est la fenêtre […] entre densités. (A) Oui, mais qu’est-ce qu’un pulsar a de particulier pour que ça en fasse une fenêtre ? Est-ce cette fréquence ? Ou autre chose ? Quel est le phénomène physique qui en fait une fenêtre ? Peut-on être plus précis que de se contenter de dire que c’est une question de physique quantique ?
R : Quelle est la nature des étoiles à neutrons, des supernovas, des «trous noirs», etc. ? […] Ce sont tous des points de jonction matière/antimatière… une frontière entre les réalités telles que vous les connaissez… les mondes matériels/mondes éthériques, les jointures des niveaux de densité, les réalités. On peut aisément traverser ces fenêtres ; souvenez-vous, les étoiles et les planètes sont aussi des fenêtres.
Q : (L) Et les étoiles et les planètes ont été décrites comme des atomes géants. Un atome est-il une fenêtre ?
R : Oui.
Q : (A) Un proton est-il une fenêtre ?
R : Oui.
Q : (A) D’accord, donc un proton est une fenêtre. Et il possède une masse, alors une question : un photon est-il aussi une fenêtre ?
R : Oui.
Les transfenestrés ne sont pas les seuls à pouvoir traverser une fenêtre. Les atomes de base le peuvent également, ainsi que de plus grands objets :
15 mars 1997
R : Le centre de gravité planétaire est aussi une « fenêtre » vers tous les autres niveaux de densité et plans dimensionnels de l’existence, c’est pourquoi les atomes chargés électriquement « se relient à la terre » afin de passer à d’autres plans par le liant gravitationnel.
23 avril 2022
Q : (Joe) Le 21 mars, le vol de la China Eastern Airline qui s’est écrasé… C’était à cause de quoi ?
R : Défaillance du système de guidage après une explosion aérienne.
Q : (Pierre) Et quelle était la cause de l’explosion aérienne ?
R : Objet météorique franchissant la barrière entre les mondes.
Q : (Andromeda) C’était ma première idée. (Pierre) Oui, moi aussi. On était d’accord. Franchissant la barrière entre les mondes… (Niall) Le météore ne venait pas de l’espace. Il a fusionné… (Andromeda) Il est passé par un portail, quasiment. (Niall) Était-ce une fusion de… (Pierre) Depuis la 4D ?
R : Tout objet qui entre dans votre monde ne vient pas nécessairement de la 4D. Référez-vous aux questions d’Ark sur les dimensions. Considérez aussi ce qui a été dit au sujet des transfenestrés et de l’Escadrille 19.
Mais que se passerait-il si un être humain traversait une fenêtre ?
19 novembre 1994
Q : (L) Si une personne navigue dans le Triangle des Bermudes, que la fenêtre s’ouvre en grand et que cette personne passe dedans, y est engloutie ou autre, dans quelle situation se retrouvera-t-elle ?
R : Quelque chose d’analogue à une animation suspendue.
Q : (L) Serait-elle consciente de son état d’animation suspendue, ou sa conscience serait-elle aussi suspendue ?
R : L’un ou l’autre.
Q : (L) Restera-t-elle dans cet état pour toujours, ou reviendra-t-elle, ou ressortira-t-elle ailleurs ?
R : Ouvert. Toutes ces options sont possibles. […]
18 mars 1995
Q : (L) Qu’est-ce qui fait disparaître des avions, des gens et des navires dans le Triangle des Bermudes ? Où vont-ils et que leur arrive-t-il ? […]
R : Bien sûr, il s’agit parfois de simples accidents et de simples naufrages, mais quand ces disparitions sont accompagnées de phénomènes inhabituels, c’est parce qu’il y a des anomalies intermittentes.
Q : (L) Où vont-ils ? […]
R : Dans une réalité parallèle.
Q : (L) Cette réalité parallèle, c’est comme une Terre parallèle ?
R : Non. […] Diffère selon les circonstances.
Q : (L) Qu’est-il arrivé à l’Escadrille 19 de sinistre mémoire ? […]
R : Ils sont encore en train d’essayer de déterminer leur position. […] Dans leur référence conceptuelle, ils sont comme des « âmes perdues ».
Q : […] Ça veut dire qu’ils sont « coincés » dans le temps ? […]
R : Bingo !
Q : (L) Ont-ils la moindre possibilité de s’échapper de cet endroit où ils sont coincés et de revenir dans notre réalité ?
R : Absolument, souvenez-vous : l’Onde arrive, et à mesure qu’elle se « rapproche », de plus en plus d’incidents inhabituels vont se produire ; prenez les crop circles, par exemple. […] À présent, quelques informations supplémentaires à propos de l’Escadrille 19. Vous souvenez-vous qu’il y a quelques années, une équipe de chercheurs a affirmé avoir retrouvé les avions, avant de se rétracter ? […]
Q : (S) Je me demande d’où venaient ces avions. (L) Voilà la vraie question !
R : Réalité parallèle ; voyez-vous, lorsque quelque chose traverse la frontière d’une réalité et atterrit dans une autre, cette chose accède à ce qu’on appelle, faute d’un terme plus approprié, le « plan de la pensée » ; et aussi longtemps que cette réalité-là n’est pas comprise correctement, la fenêtre reste ouverte, de sorte que toutes les perceptions des possibilités peuvent se manifester concrètement, bien que seulement temporairement, puisque dans le plan de la pensée, la matière est constamment fluide.4
Q : (L) Est-ce que ça veut dire qu’il s’agissait d’une « Escadrille 19 » appartenant à une réalité parallèle qui a traversé une fenêtre ouvrant sur notre réalité ?
R : Pas loin.
Q : (L) Cette Escadrille-là était-elle impliquée, ou liée à la perte de « notre » Escadrille 19 ? Y a-t-il eu échange de réalités ici ?
R : Ce sont les modes de pensées qui affectent la réalité ; quand cette fenêtre est ouverte, toute pensée peut devenir réalité physique, même si ce n’est que de façon temporaire.
Q : (L) Est-ce que ça veut dire que les pensées des chercheurs et des plongeurs à ce propos sont devenues réalité ?
R : Et celles de tous les autres.
Q : (T) Tous les autres impliqués dans ces recherches ?
R : Tous les autres sur la planète.
Q : (T) Même ceux qui ne croyaient pas que les chercheurs allaient les trouver ?
R : Oui. Les chercheurs ont trouvé ce qu’ils s’attendaient à trouver, mais quand les autres ont appris la nouvelle, d’autres choses ont commencé à se produire en conformité avec les modes de pensées dominants.
Q : (L) Donc, autrement dit, si quelqu’un croyait qu’il s’agissait de l’Escadrille 19, elle apparaissait, et si quelqu’un d’autre n’y croyait pas, elle disparaissait ?
R : Oui.
Graham Hawkes a dirigé l’expédition qui aurait retrouvé les avions en 1991 :
Hawkes a annoncé que les épaves de cinq Avengers avaient été découvertes au large de la Floride, mais les numéros inscrits sur leurs queues ont révélé qu’ils n’appartenaient pas à l’Escadrille 19. En 2004, un documentaire de la BBC montra Hawkes revenant sur les lieux 12 ans plus tard avec un nouveau submersible et identifiant l’un des avions par son numéro administratif (un 23 990 clairement lisible) le rattachant à un appareil perdu en mer le 9 octobre 1943, plus de deux ans avant l’Escadrille 19 (son équipage avait survécu), mais il fut incapable d’identifier avec certitude les autres avions. Le documentaire concluait qu’« en dépit des probabilités, ce n’était qu’un regroupement aléatoire d’accidents ayant abouti à une chute au même endroit, à 20 km des côtes ».
[Note : Hawkes a depuis changé de version. Il explique désormais qu’à l’époque, mettre un terme à cette histoire avait convenu tant à lui-même (car ses investisseurs ne voulaient pas gaspiller leur temps précieux en investigations) qu’au Pentagone (car ils avaient d’autres préoccupations bien plus importantes). Même s’il admet n’avoir trouvé aucune preuve concluante que ces avions appartenaient à l’escadrille ayant disparu en 1945, il a consulté un statisticien pour déterminer la probabilité du contraire. « Il a répondu, “Vous avez bien trouvé l’Escadrille 19” », précise Hawkes.]
Lectures complémentaires
David Paulides : Missing 411: LAW [Land, Air, Water] (2018)
Nick Redfern : The World’s Weirdest Places (2012)
C’est également la théorie émise par Charles Berlitz dans son livre de 1975, Le Triangle des Bermudes.
9 novembre 1994 : Collecteur énergétique trans-niveau ; Stonehenge en était un. Stonehenge est une volute. Les pierres qui manquent forment une spirale. Des gens ont été « cramés » à Stonehenge.
Un pulsar est « une étoile à neutrons tournant très rapidement sur elle-même et émettant un fort rayonnement électromagnétique dans la direction de son axe magnétique ». Bien qu’aucune pulsation en provenance de Cassiopée A n’ait été détectée, un pulsar a été découvert dans la constellation en 2017, à 6 500 années-lumière du Système solaire. Cassiopée A, le plus jeune rémanent de supernova connu, aurait été visible sur Terre aux alentours de 1667, soit environ 330 ans avant cette séance.
Ainsi, dans le contexte des transfenestrés, l’état de confusion, d’incertitude et de terreur peut entretenir la fenêtre ainsi que les manifestations de pensée qui lui sont associées.