23 septembre 2023
Q : (Approaching Infinity) Lors de la dernière séance, les C’s ont déclaré que le nombre d’êtres souterrains opérant en surface variait entre 2 et 2,5 millions. Quelle est la population totale des peuples souterrains, à la fois sous terre et à la surface ?
R : 4,6 millions
Lors d’une séance médiumnique tenue le 22 novembre 1947, voici ce que Mark Probert a transmis à Meade Layne (publié en 1962) : « [Q sur la taille de la population souterraine] Je dirais plusieurs millions. Oh, oui, ils sont humains. Oui, il y a des contacts, mais principalement par le biais de leurs organisations secrètes. Dans l’ensemble, ces gens sont en bien meilleur santé que ceux de la surface... »
En 1978, le contacté Frank Howard a écrit (en vers) : « Des millions et des millions de gens / habitent dans ces profondes cavernes / dans leurs villes et leurs cités intérieures / dans un environnement qui a été / créé artificiellement […] Ils sont, comme nous l’avons dit en amont / les “descendants des anciens” / qui vivent désormais sous la surface / dans le grand labyrinthe de cavernes. »
Q : (Approaching Infinity) Combien d’êtres souterrains sont encore en hibernation ?
R : Cela varie. Certains vont et viennent.
Q : (L) Entrent-ils en hibernation lorsqu’ils sont fatigués ou lorsqu’ils ont besoin de se remettre de quelque chose ?
R : Oui.
Q : (L) Entrent-ils en hibernation pour prolonger leur vie ?
R : Oui
Q : (L) […] Je veux dire, on pourrait penser que si l’on se trouve en hibernation, on ne peut pas prendre la décision de ne plus être en hibernation, n’est-ce pas ? (Andromeda) C’est vrai. À moins de régler le minuteur à l’avance. (L) Oui. Un réveil. Ou quelqu’un d’autre est là pour décider. (Approaching Infinity) De prime abord, qu’est-ce qui les a poussés à aller sous terre il y a 14 000 ans ?
R : Comètes. [L’impact du Dryas récent s’est produit il y a 12 850 ans environ.]
Q : (Approaching Infinity) Lors de la séance du 21/09/1996, vous avez dit que le Panthéon de Thor était à la fois SDS et SDA, tout comme le Quorum et la l’Alliance nordique [ces deux thèmes seront abordés dans de prochains articles], ce qui semble indiquer que les deux camps s’appliquent à influencer les créatifs, sans techniquement travailler ensemble. Mais si le Panthéon de Thor se situe principalement sous terre, cela signifie-t-il que certains sont SDA ?
R : Oui
Q : (Approaching Infinity) Puisque la projection s’effectue principalement sous terre, est-ce que ceux qui ne sont pas sous terre sont ceux qui sont SDA ?
R : Il peut s’agir des deux. Ta pensée est trop manichéenne.
Q : (L) Est-ce parce que les SDS et les SDA peuvent, dans un sens, coexister dans un espace physique similaire sans se mélanger ou être peut-être… sans même se voir ? Est-ce parce que leurs fréquences sont différentes ? Quelque chose comme ça ?
R : Pas loin.
Q : (Approaching Infinity) Est-ce notre compréhension des strates terrestres qui est vraiment médiocre ou la plus profonde se trouve-t-elle vraiment en profondeur dans le noyau externe liquide [référence à l’allégation que la plus reculée des cités souterraines se situerait à 5 000 km de profondeur] ? (L) Y en a-t-il dans le noyau externe liquide ?
R : Non
Q : (Approaching Infinity) Qu’en est-il des zones de vitesse ultra-basse qui sont [des régions solides] à la limite entre le noyau externe constitué de métaux en fusion et le manteau rocheux à environ 3000 kilomètres sous la surface ?
R : Non
Q : (L) Donc, ils ne sont pas là. (Approaching Infinity) Étant donné que des tunnels seraient sujets à des tremblements de terre, que le voyage serait très long et qu’en plus il faudrait traverser le manteau, le principal moyen d’accéder à ces villes est-il via la 4D ?
R : Là tu te rapproches.
Q : (L) Alors, cela suggère que des espaces souterrains, des bases, ou autres, relèvent en grande partie d’une réalité hyperdimensionnelle. Est-ce le cas ?
R : Oui
Voir la série consacrée aux bases souterraines transdensitaires.
Q : (L) Donc les choses qui nous préoccupent ici, du style des gens qui descendraient dans des grottes et subiraient un séisme, avec des rochers leur tombant dessus et les enfermant à jamais, ne sont pas vraiment un souci pour ce type de structures. C’est bien ça ?
R : Oui
Q : […] (Ze Germans) Les descendants des « êtres souterrains » qui restent à la surface héritent-ils généralement de leurs modifications génétiques et sont-ils programmés par les 4D SDS pour une nouvelle mission ?
R : Oui
Cela pourrait être lié au fait que les abductions tendent à suivre certaines lignées de manière générationnelle. Ainsi, Moira McGhee a repéré des abductions sur trois générations dans certaines familles. Elle écrit : « La plupart étaient britanniques de naissance ou par ascendance, possédaient des liens avec l’île de Man, avec des pères ou des grands-pères dans l’armée ou les services secrets. Presque toutes étaient de “lignée” similaire ou pouvaient faire remonter leur origine à l’aristocratie. »
Q : (Ze Germans) Combien de descendants des peuples souterrains y a-t-il actuellement à la surface de la Terre, et quel est le pourcentage de psychopathes parmi eux ? (L) Combien de descendants des peuples souterrains ? Eh bien, ça doit faire beaucoup. Je veux dire, parce que s’ils sont des genres de descendants, on a deux parents, quatre grands-parents, etc. Ils pourraient être des millions. Plusieurs millions. Est-ce exact ?
R : Oui
Q : (Andromeda) Combien d’entre eux sont des psychopathes ?
R : Comme pour la population normale. Beaucoup d’entre vous sont de tels descendants !
Q : (L) Je veux dire, s’ils sortent des profondeurs depuis des milliers d’années, comment éviter ça ? (Ze Germans) Adolf Hitler était-il un être souterrain ou un de leurs descendants ?
R : Non
13 janvier 2024
Q : (Jones) Les lignées des 4D SDS [c’est-à-dire des êtres humains ayant une génétique alien] possèdent-elles quelque particularité qui ressemblerait à un frein vagal supplémentaire leur permettant de mieux contrôler leur rythme cardiaque ?
R : Oui.
Q : (Jones) Cela signifierait qu'ils sont moins susceptibles de perdre conscience en situation de stress lorsqu’ils sont dans un état parasympathique ou vagal dorsal ?
R : Cela implique bien plus que ça !
Q : (L) Il ne s'agit donc pas uniquement de pouvoir contrôler leur rythme cardiaque ?
R : Oui.
Q : (L) Cela signifie-t-il qu'ils ont la capacité de se mettre dans une sorte d’état d’animation suspendue ?
R : Oui.
Q : (L) Cela a-t-il un rapport avec leur capacité à prolonger leur vie ?
R : Oui.
Q : (Joe) Parlons-nous des peuples souterrains ici ?
R : Oui.
Bruno Sammaciccia, de l’affaire « Amicizia », a déclaré à Timothy Good : « Nos amis m’ont alors dit qu’à l’intérieur de leur base, la gravité était de vingt pour cent inférieure à la normale ; on pouvait donc se déplacer plus aisément [et] le cœur bat avec moins d’efforts ». Leo Dworshak a expliqué que même si ses rencontres s’étaient déroulées sur plusieurs décennies, ces êtres ne semblaient pas vieillir. McGhee cite un cas de 1940 du chercheur australien Warren Aston dans lequel les entités ont dit au témoin qu’elles avaient plusieurs centaines d’années.
9 mars 2024
Q : (Approching Infinity) Dans au moins certains cas de contacts des années 1950, les aliens d’apparence nordique étaient-ils en réalité des êtres souterrains aryens ?
R : Oui.
Le phénomène des contactés concerne principalement les années 1950 et regroupe des témoins ayant prétendu avoir eu une rencontre rapprochée avec des occupants d’ovnis ayant une apparence humaine nordique. Ces « frères de l’espace » aux longs cheveux blonds et aux traits magnifiques, vêtus de combinaisons sport moulantes futuristes (qui accentuaient souvent ces traits), invitaient généralement les témoins à monter à bord de leur soucoupe volante pour la visiter ou partir faire un tour. Ils partageaient une même philosophie de paix sur la Terre en mettant l’humanité en garde contre les armes nucléaires et en lui reprochant sa nature belliqueuse. Ils prédisaient aussi de futures guerres et des catastrophes environnementales. Phénomène marginal à l’époque, peu d’ufologues « conventionnels » prirent les contactés au sérieux, considérant que leurs allégations étaient trop excentriques et préférant s’en tenir aux signalements d’ovnis observés de loin.
Joseph P. Farrell cite le cas de Reinhold Schmidt, qui a raconté avoir rencontré, en 1952, des occupants d’ovnis qui se sont adressés à lui en anglais avec un accent allemand, mais parlaient entre eux un « très bon haut allemand ». Après avoir résumé l’histoire du mouvement des contactés, Jorjani écrit : « Cette tendance ne laisse planer aucun doute sur le lien entre l’apparence nordique des ufonautes Grands Blonds d’une part, et l’idéologie fasciste de la “race supérieure” d’autre part. […] Les contactés ont-ils eu pour mission de présenter une fausse image bienveillante de ces Nordiques ? »
Comme le montre Nick Redfern dans son livre Contactees, le FBI a considéré que bon nombre de ces anciens personnages constituaient une menace à la sécurité en raison de leurs opinions politiques. Après tout, le message des « frères de l’espace » incluait un désarmement total et l’interdiction de l’énergie nucléaire. Comme le dit McGhee, ces demandes étaient absurdes (surtout vu le statut social de la plupart des contactés) :
L’armée ne pouvait naturellement pas renoncer à ses programmes d’armement, à moins que tous les autres pays y consentent également. Les grandes entreprises ne sont pas prêtes à abandonner de nouvelles technologies innovantes, ou pouvoir et profits, uniquement parce qu’elles pourraient être mal utilisées par notre population. Et qui va déterminer lesquelles sont bénéfiques ou non ? En outre, si leur message était largement diffusé, ces humains éthiques célestes pourraient pousseur leurs frères terrestres à les prendre de facto pour dirigeants et ainsi se détourner de leurs propres sphères politiques et religieuses.
Redfern cite Jim Moseley qui, en 1955, a écrit :
Examinons très sérieusement ces nombreux prétendus spationautes, portés à l’attention du public, qui nous parlent tous invariablement des dangers de la guerre et de l’exploitation de l’énergie atomique. Personne ne désire la paix plus sincèrement que nous, mais n’oublions pas non plus qu’effrayer le peuple américain afin de nous pousser à cesser nos expériences atomiques fait partie de la « stratégie de paix » communiste. Il est tout à fait possible que certains de ces « spationautes » fassent involontairement le jeu des communistes.
Ou serait-ce l’inverse ? Moseley a également dit à Redfern : « À l’époque, Adamski et les contactés ont été les représentants d’une philosophie hippy primitive […] De nombreux éléments de leur discours se sont mêlés au courant de pensée libéral contemporain. Alors, dans ce sens, cela a constitué un mouvement très significatif. »
Il y a aussi l’aspect fasciste. George Hunt Williamson, un acolyte de George Adamski, avait auparavant fréquenté les « Silver Shirts », des partisans de William Dudley Pelley, un occultiste fasciste américain, qui professait que la race blanche venait de l’espace intersidéral.
Un autre cas impliquant éventuellement des êtres souterrains est l’affaire italienne dite d’« Amicizia » (c’est-à-dire « Amitié »), déjà évoquée précédemment, qui s’est déroulée de 1956 à 1990. Ces « amis » d’apparence humaine prétendaient disposer de bases souterraines/sous-marines situées en profondeur dans la région. (À l’instar des autres descriptions de bases souterraines, la luminosité était étrange, sans source identifiable, comme si l’air lui-même était lumineux.) Certains de ces amis auraient été « minuscules », tandis que d’autres avoisinaient les 3 mètres. Stefano Breccia a affirmé que l’homme sur la photo ci-dessous était l’un d’eux. Lors de leurs premiers contacts, ces êtres auraient dit : « Il s’agit d’une époque cruciale dans l’histoire humaine. Nous ne sommes pas là pour conquérir, car il n’y a rien à conquérir. Nous vivons sur Terre depuis de nombreux siècles, dans des bases secrètes situées sur toute la planète. »
Peu après la publication de cet article, nous avons posé des questions sur cette photo.
27 avril 2024
Q : (Approaching Infinity) Quelle était la taille de l'homme sur la photo ?
R : 2,92 mètres.
Q : [...] (Approaching Infinity) Était-ce l'un de ces prétendus humains souterrains ?
R : Oui [...]
Q : (L) (Approaching Infinity) Ces types faisaient-ils partie des êtres souterrains dont nous avons parlé lors de précédentes séances ?
R : Non [...]
Q : (L) On dit que ce sont des gens qui vivent sous terre. Est-ce qu'ils vivent vraiment sous terre sur la Terre ?
R : Pas exactement. Portail dimensionnel.
Q : (L) Donc, c'est un peu comme les Enfants verts ? Vous connaissez tous l'histoire des Enfants verts qui sont apparus en Angleterre, je crois ? […] OK voilà : Les enfants verts de Woolpit. Deux enfants à la peau verte qui seraient apparus dans le village de Woolpit au XIIe siècle. Frère et sœur, les enfants verts sont d'apparence normale, en dehors de leur couleur de peau, mais ils s'expriment dans une langue inconnue et refusent de manger autre chose que des fèves. Au fil du temps, ils apprennent à se nourrir d'autres aliments et perdent leur couleur verte. [(Chu) Les enfants ont précisé ici qu'ils venaient d'un autre pays où le soleil ne brillait jamais et où régnait une lumière crépusculaire. (L) Ça donne l’impression qu'ils venaient de sous la terre. (Chu) Oui, tout était vert là-bas. (L) Ils ont dit qu'ils venaient du « pays de Saint Martin ».] Bon, tant qu’on y est, les enfants verts ont-ils vraiment existé ?
R : Oui.
Q : (L) Étaient-ils comme cela ? Ils venaient d'une autre dimension ?
R : Oui.
Q : (Joe) Donc, ce géant, M. Kenio... Ils disent qu'ils vivent sous terre parce qu'ils passent par un portail qui mène à une autre dimension qui se trouve physiquement située sous la surface de la Terre ou quelque chose comme ça ? (L) La présence du portail peut être concomitante. […] (Joe) Alors, quel était le but de ce contact avec ces géants en short ?
R : Interaction fortuite entre dimensions.
Q : (L) Mais il s’agissait de gens d'apparence plutôt normale, sauf que c’était des géants et des nains ou autre ?
R : Oui
Q : (Joe) Alors ils venaient d’une dimension de 3e densité différente ?
R : Oui
Q : (Andromeda) C'est pour cela qu'ils pouvaient rester ici. (Joe) Oui. Et donc, ils sont essentiellement bienveillants, ils viennent juste traîner ici ?
R : Neutres.
Q : (L) Eh bien, ça n'a pas l'air terriblement bienveillant s'ils font construire ce grand domaine à ce type et qu'ensuite, ils ne se montrent plus. Mais ce serait aussi un peu normal dans les interactions humaines. (Joe) Avons-nous déjà rencontré un être souterrain ?
R : Plusieurs.
Q : (Chu) Pouvez-vous en citer un ? [rires] (Niall) Qui vous vient à l'esprit ? (Joe) J'en ai un en tête, mais pouvons-nous avoir des initiales ? [rires]
R : Pas question !
Q : (L) Il faut donc qu'on devine et qu'on apprenne à les repérer ?
R : Oui
Q : (Andromeda) Ça veut dire qu’ils ne ressemblent pas tous à des géants ou à des nains.
R : Non
Q : (L) Très bien. Avons-nous déjà rencontré une personne qui a été remplacée ou un walk-in ?
R : Oui
Q : (L) C'est effrayant. (Andromeda) Et je suppose que tous ces gens qui viennent de cette dimension souterraine ou autre savent qu'ils franchissent des dimensions ?
R : Oui
Q : (Joe) Et ceux que nous avons rencontrés étaient ici avec une idée derrière la tête ?
R : Oui
Q : (Joe) Mais ils n'ont jamais atteint leur but.
R : Non
Good écrit :
La plupart des aliens que Bruno a rencontrés étaient blonds, et quelques-uns avaient des cheveux noirs bleutés. Leurs cheveux et leurs cils étaient plus épais que les nôtres, et certains hommes arboraient une barbe touffue. « Leurs yeux étaient gris, bleus et, pour certains, noirs avec des reflets bleus. » […] Ils se reproduisent de la même manière que nous, bien qu’ils aient apparemment souvent recours à une forme d’insémination artificielle où l’enfant naît dans un dispositif spécifique.
Les sources suivantes traitent presque exclusivement de ces aliens humains/humanoïdes. Redfern dresse un historique exhaustif des débuts du mouvement des contactés. Les livres de Good et McGhee relatent en détails de nombreux contacts s’étendant des années 1900 au début des années 2000, y compris l’affaire Amicizia. L’ouvrage de Jacob se concentre sur le récent développement des « hubrides » que lui ont révélé ses travaux avec des abductés. Et Dolan consacre un chapitre au sujet dans son dernier livre.
Nick Redfern : Contactees: A History of Alien-Human Interaction (2009)
Timothy Good : Earth: An Alien Enterprise (2013)
David Jacobs : Ils marchent parmi nous : le plan extraterrestre pour contrôler l’humanité (2017)
Moira McGhee : The Alien Gene: Interactions Between Humanity and Visitors to Planet Earth (2020)
Richard Dolan : Alien Agendas: A Speculative Analysis of Those Visiting Earth (2020) [Chapter 2]
Q : (Approaching Infinity) Les mythiques instructeurs civilisationnels blancs et barbus, comme Viracocha et Quetzalcoatl, étaient-ils des ponctuateurs des profondeurs ?
R : Oui.
Q : (Approaching Infinity) Qu'en est-il d'Oannes ?
R : Lézard.
Citant Colin Wilson, Jorjani écrit : « Les Mayas et autres civilisations américaines précolombiennes décrivaient tous leurs dieux civilisateurs comme des blancs de grande stature. Ils croyaient également que les dieux bâtisseurs, qui avaient jeté les bases de leur civilisation, reviendraient un jour. Quetzalcoatl, le “Serpent à plumes”, aussi connu sous les noms de Kukulkan, Votan […] ou Viracocha pour d’autres Mésoaméricains, était un homme blanc barbu aux cheveux roux. »
Q : (Ursus Minor) Lorsque les Allemands sont allés sous terre avant 1945, par qui ont-ils été assimilés ? Les Subterriens ou une race extraterrestre ?
R : Les deux coopèrent. Les « aliens » dirigent les opérations.
Récapitulatif
Il existe des installations artificielles (villes et bases) à la fois sous terre et sous les océans, la plus profonde se trouvant à 5 000 km en dessous de la surface, ce qui situerait cette structure à proximité de la limite entre le noyau externe et le noyau interne. (On pense que le noyau externe est constitué de fer et de nickel liquides, et la partie externe du noyau interne de fer chaud sous haute pression.) La température y avoisine les 20° C, et elles sont éclairés par résonance magnétique, caractéristique que l’on semble retrouver à l’intérieur des engins aliens.
Toutefois, ces bases et leurs accès ne sont pas strictement physiques au sens 3D du terme, mais de nature bidensitaire ou transdensitaire. Il ne s’agit pas simplement de cavités ou de grottes situées dans les noyaux en fusion ou le manteau, car ces structures souterraines existent probablement principalement en 4D et sont accessibles par la 4D. Pat Price et Joseph McMoneagle ont vu certaines de ces installations à distance, mais leurs visions étaient déformées, peut-être en raison de leur nature transdensitaire. (Ailleurs, les C’s ont précisé que les visions à distance sont imprécises lorsque la cible se trouve en 4D, voir la séance du 28/09/2002.)
Cette civilisation souterraine s’est développée « à part », depuis que des êtres humains (vraisemblablement des « Kantekkiens », qui feront l’objet d’une prochaine série d’articles) se sont réfugiés sous terre à cause des bombardements cométaires, et ses villes sont occupées depuis approximativement 14 000 ans (c’est-à-dire environ un millénaire avant l’impact du Dryas récent). Au moins depuis ces derniers siècles, les soldats tués ou disparus au combat constituent la principale source d’habitants. De cette façon, des personnes clés peuvent être remplacées par duplication ou déplacées sous terre. Il y a eu plusieurs épisodes de « migration de masse », la plus récente ayant eu lieu lors de la Seconde Guerre mondiale, lorsque des Allemands sont allés dans l’intraterre par une entrée située en Antarctique. Ils « sont entrés par leur base construite, comme indiqué, puis ont été assimilés » à la population souterraine. Des épisodes antérieurs ont concerné des Celtes et des Templiers. L’utilisation de tunnels souterrains et les activités aliens qui s’y déroulent ont lieu depuis bien avant 1947, « mais sous une forme beaucoup moins intensive » qu’après cette date.
« Toutes les guerres passées ont permis de créer [...] une toute nouvelle “race souterraine” d’humains, tant par capture directe suivie d’une “rééducation” que par reproduction [c’est-à-dire par une reproduction sexuelle normale, dont la progéniture n’a jamais vu la surface, et par hybridation] entre ces individus et d’autres. »
« La plupart » de ces êtres ont une âme. Les résidents souterrains ne sont pas nécessairement actifs : au moins une partie d’entre eux restent en stase dans des « tubes d’hibernation » dont ils ne sortent que pour des raisons précises. Ils sont « à la fois » de 3D et de 4D. Si les Gris et les Lézards de 4D peuvent seulement « visiter » la 3D, les êtres souterrains humains sont « bidensitaires » et peuvent perdurer dans des environnements 3D et 4D, bien que la 4D soit plus « aisée ». Ils sont dirigés ou manipulés par les « Orions » (des Nordiques de 4D SDS). Au contraire de ceux qui ont été transférés sous terre ou y sont nés, certains autres ont été « fabriqués » par les « Lézards de mèche avec les Orions SDS » dans le cadre du programme d’hybridation alien. Ils sont similaires aux êtres humains, hormis « de légères modifications génétiques » ; des personnes sensibles peuvent parvenir à sentir que leur énergie est différente. « La plupart ont été prélevés dans des mères humaines puis mis en incubateur. » Ils sont « très semblables à des psychopathes très efficaces ». D’autres hybrides sont réimplantés dans des femmes de surface afin de naître normalement.
Les groupes souterrains incluent les « Deros » (les « robots malfaisants » de Richard Shaver, probablement en référence aux Gris qui, selon les C’s, sont des entités cybergénétiques) et le « Panthéon de Thor » (dont le nom évoque le panthéon des dieux nordiques). Le Panthéon de Thor est une armée constituée de 1,6 million de « projeteurs psychiques aryens », opérant principalement sous terre, qui se projettent « eux-mêmes » par « transmission de forme-pensée » dans des créatifs (par exemple, des auteurs ou des artistes) à la surface. Il s’agit d’une « activité intensive, destinée à influencer les forces créatrices supérieures » afin de transférer « l’obtention de la fréquence d’illumination », dans le cadre du « Projet Éveil ».
Cette civilisation se présente sous le nom de « Nation du Troisième Œil » (en référence à leurs capacités psi) lorsque « les types de surface les pressent de fournir une explication ». Ils ont inspiré la tradition maçonnique et illuminati, et leurs agents ont transmis certaines informations au voyant à distance Courtney Brown. La fossette sur le front des anciennes statues olmèques sert à désigner ce groupe.
Les « ponctuateurs des profondeurs », comme Sargon d’Akkad, Quetzalcoatl, Viracocha, Hélène de Troie, et le(s) premier(s) Rothschild, ont émergé de cette civilisation et de « l’obscurité apparente pour “marquer” l’histoire ». Ces ponctuateurs, dont certains vont en surface dès l’enfance, sont « éduqués et formés en congruence avec la société de l’époque », y compris la langue. Leurs souvenirs sont effacés avant l’implantation missionnée. La technologie utilisée pour cela (ainsi que pour produire la bonne génétique) a progressé avec le temps et auparavant, il arrivait que les individus générés ne soient pas suffisamment « maléfiques ».
Leur population totale s’élève à environ 4,6 millions, dont 2 à 2,5 millions opèrent en surface à chaque instant. Ils ont conscience de leur identité (au contraire d’au moins certains ponctuateurs des profondeurs dont la mémoire a été effacée) et font généralement office de « gestionnaires » ou d’agents provocateurs afin d’influencer des politiciens de haut-rang, des événements mondiaux, des personnalités médiatiques et la culture populaire. Certains sont des personnages publics. Ils agissent ainsi depuis « des milliers d’années », et leur plan inclut la promotion de la dépopulation ainsi que la préparation à des révélations ou des divulgations sur la vie alien.
Le but ultime de cette race est de nous remplacer, car ils peuvent être « totalement » maîtrisés. Leur plan est d’émerger après la transition de la Terre en quatrième densité. En 2023, ce programme a apparemment progressé au point que les êtres souterrains n’ont plus guère la possibilité de s’éveiller et de suivre leur libre arbitre.
Dans The NASA Conspiracies (2011), Nick Redfern expose le cas d’un contacté qui évoque certains aspects du scénario ci-dessus. Le 29 octobre 1973, P.T. McGavin, qui avait travaillé sur le programme Gemini de la Nasa en tant que contractuel, a vécu une expérience près d’Aztec, au Nouveau-Mexique. Il s’y était rendu sous le coup d’une impulsion. Ce soir-là, après avoir attendu des heures sur la mesa, il vit un ovni triangulaire d’où sortit un grand homme blond aux longs cheveux vêtu d’une combinaison grise. L’homme, qui lui dit s’appeler « Gavon », expliqua à McGavin que sa race contactait discrètement des gens sur toute la planète depuis 1947. Ils étaient peu nombreux, mais se servaient d’une supercherie technologique pour donner à l’humanité l’impression que ce n’était pas le cas et qu’ils étaient tout-puissants. La Seconde Guerre mondiale et le développement des armes nucléaires les avaient poussés à adopter une approche plus directe.
Après cette rencontre, lors de son trajet pour retourner au Colorado, McGavin lui-même « ne put se débarrasser de la désagréable impression d’avoir été savamment manipulé et utilisé par un être de nature totalement trompeuse qui ne voulait pas notre bien. McGavin se souvient qu’il y avait quelque chose chez Gavon qui était non seulement trop beau pour être vrai, mais aussi profondément dérangeant, même s’il admettait ne pas parvenir à définir précisément ce qui l’avait perturbé. »
Après avoir raconté une partie de son histoire à ses anciens collègues du programme Gemini, il reçut un appel d’un individu prétendant travailler avec la NASA sur des questions de sécurité (ses amis nièrent en avoir parlé à cet homme). Redfern décrit leur échange lors de leur rencontre :
Malgré ce que lui avait affirmé son supposé visiteur cosmique, Callanan informa McGavin que Gavon et sa petite bande de camarades n’étaient absolument pas des aliens venus d’une lointaine galaxie, mais qu’ils représentaient les derniers vestiges d’une très ancienne race parfaitement terrestre qui, il y a des dizaines de milliers d’années, constituait une civilisation avancée mais isolée, à l’origine des légendes de l’Atlantide et autres histoires semblables. Cependant, ils avaient été contraints de se réfugier dans d’immenses cavernes souterraines excavées face à un violent problème accablant et toujours croissant qui infestait rapidement la planète entière. Ce problème, c’était nous, l’espèce humaine, dit Callanan. […] nos prétendus extraterrestres n’étaient rien de tel. En fait, ils avaient toujours été là et essayaient de récupérer le monde qui était autrefois le leur et ce faisant, d’anéantir leur pire ennemi – nous – une bonne fois pour toute. […] des problèmes génétiques et une mauvaise santé globale avaient forcé cette espèce humanoïde à tenter de se reproduire avec nous […] afin de s’assurer qu’on ne les repère pas, ils avaient inventé de fausses histoires sur leur origine en prétendant venir de lointains systèmes stellaires.
En réponse à la question de savoir pourquoi ils nous ressemblent, Richard Dolan, dans Alien Agendas, propose le scénario spéculatif suivant :
Ma meilleure réponse à l’heure actuelle […] : dans un lointain passé, notre espèce a été suivie de près et améliorée, et il est raisonnablement possible que certains de nos ancêtres aient été emmenés et adoptés par ceux qui nous visitent, quelle que soit leur identité. […] Ils auraient également bénéficié d’améliorations génétiques, comme une meilleure santé, une plus grande longévité et très probablement de capacités mentales supérieures, telles qu’une plus grande maîtrise de leur conscience et une forme de télépathie. […] Ces êtres humains sont peut-être aussi restés ici, sur Terre, tout du long. Dans ce scénario, il y a plusieurs possibilités. L’une d’elles est qu’une partie d’entre eux aurait vécu ensemble, peut-être aux côtés de leurs supérieurs aliens, ou en restant en communication avec eux. […] Peut-être que certains ont été plus ou moins améliorés et réintégrés dans la société humaine, en sachant ou non qui ils sont réellement.
Ces informations rares les rendent précieuses et participent grandement à l'expansion de conscience sur laquelle, chacun de nous doit s'efforcer de "travailler". MERCI