La programmation
Lors des discussions concernant les éventuelles abductions des participants aux séances, plusieurs objectifs possibles ont été évoqués dans les réponses :
« étudier » l’esprit de l’abducté, notamment dans le but d’examiner et contrôler ses « connaissances » ainsi que ses fréquentations depuis l’abduction précédente (aspect développé dans la partie 4) ;
installer un « robinet » sur ses émotions afin qu’il constitue une source de nourriture ;
le « programmer » à l’auto-destruction afin de « désactiver, brouiller et détourner l’énergie » et qu’il serve d’agent inconscient.
Ceci en plus des autres objectifs présentés dans la littérature sur les abductions, tels que le fait de constituer une source de cellules reproductrices et de porter des fœtus « hybridés » ou génétiquement modifiés qui naîtront naturellement ou seront définitivement prélevés à un moment de la gestation.
Sous cet éclairage, les abductions semblent relever d’une sorte d’opération de contre-espionnage cosmique. Les individus perçus comme des menaces ou des « délateurs » potentiels sont repérés et neutralisés, tandis que ceux qui peuvent s’avérer utiles en raison de leur fréquence vibratoire SDS sont « recrutés ». Les menaces potentielles sont surveillées afin de déterminer ce qu’elles savent, ce qu’elles ont pu révéler et à qui.
En janvier 1981, à l’époque où Bennewitz travaillait encore à son « Project Beta », la canalisation de Ra a introduit l’idée que l’objectif des abductions était la programmation mentale :
Ra : Il y a deux types d’atterrissage. Dans le premier, des entités parmi vos peuples sont prises à bord de leurs vaisseaux et programmées pour un usage futur. Il y a deux ou trois niveaux de programmation. Premièrement, le niveau qui sera découvert par ceux qui font de la recherche. Deuxièmement, un programme de déclenchement. Troisièmement, un second et plus profond programme de déclenchement, qui cristallise l’entité, la rendant ainsi sans vie, et utile comme une sorte de fanal [cette « robotisation » sera abordée dans la partie 6b]. Voilà une forme d’atterrissage.
La deuxième forme est celle de l’atterrissage sous la croûte terrestre, qui est abordée par l’eau. Une nouvelle fois, dans la région générale de vos zones sud-américaines et des Caraïbes, et près de ce qui est appelé pôle nord. Les bases de ces gens sont souterraines.
Cela soulève également la possibilité que le but premier des observations d’ovni, en particulier des « rencontres rapprochées », soit l’abduction et sa programmation concomitante. David Jacobs le soupçonnait et, dans The Threat (1998), il écrit : « Des indices suggèrent fortement que la majorité des observations d’ovni de type “rencontre rapprochée”, si ce n’est toutes, représente le début ou la fin d’un épisode d’abduction. Même une observation à haute altitude pourrait être le signe d’une abduction ».
L’un des sujets de Moira McGhee, « Ruth », se souvient d’un contact en 1943 lors duquel on lui avait rappelé une expérience antérieure ayant eu lieu en 1934. À propos de cet incident, une entité à l’apparence humaine lui avait dit : « Tu étais avec ton ami et sa famille qui étaient “des nôtres” ; c’est là qu’on t’a programmée pour la première fois ». McGhee cite également Karla Turner qui avait le sentiment que « les expérienceurs étaient programmés en vue de quelque scénario futur ». Les abductés de Jacobs – dont bon nombre « croyaient posséder en eux des “informations” emmagasinées susceptibles de s’avérer ultérieurement utiles » – ont révélé que lors du « Changement », ils auraient des « missions spéciales », telles que le « contrôle des foules ». Il écrit : « Comme me l’ont raconté de nombreux patients, les extraterrestres pouvaient actionner un “interrupteur” mental afin que des abductés sélectionnés et entraînés se transforment subitement en agents de terrain lors de la phase finale du programme. »
Bud Hopkins a découvert cet élément au début des années 1990 grâce au cas de Linda Cortile (publié en 1996 dans Witnessed) :
C’était presque comme si les ufonautes lui permettaient d’être elle-même la plupart du temps […] Pourtant, il semble qu’à chaque fois qu’ils ont besoin d’elle, les aliens peuvent actionner un interrupteur mental, pour ainsi dire, pour la transformer en écolo virulente fustigeant ses congénères […] et parlant sans effort une langue alien. […] L’asservissement de Linda Cortile aux aliens était simplement le premier exemple de ce que je considère désormais comme une caractéristique auparavant ignorée dans au moins certains cas d’enlèvement. À ce jour, j’ai travaillé avec quatre autres personnes qui se sont séparément souvenues avoir été utilisées par les ufonautes pour escorter et surveiller d’autres abductés à bord de leur vaisseau, comme s’ils n’avaient pas le choix et se comportaient volontairement comme des alliés de leurs ravisseurs […] Après ces expériences, tous ressentirent une profonde colère et un immense sentiment d’humiliation en réalisant que leur volonté avait été court-circuitée.
Dans Taken (1994), Karla Turner relate une expérience de « Beth » où celle-ci avait eu « l’impression que son crâne avait été “ouvert” et son cerveau prélevé sans aucune sensation de douleur ». Après avoir été « réassemblée », elle avait « réalisé qu’elle était mentalement différente. Il semblait que toutes ses pensées et ses réactions s’étaient transformées. » Une autre abductée, « Angie », s’était vue dire que « ses enfants et d'autres personnes également choisies conquerraient le monde grâce à la maîtrise du pouvoir de suggestion ».
Voici ce qu’écrivait John Keel en 1988 dans Disneyland of the Gods :
Dans les années 1960, j’ai découvert à mon grand étonnement que les agents dormants sont courants dans les phénomènes ovnis. […] des gens ordinaires racontent avoir servi à accomplir toutes sortes de missions, mais sans se souvenir de ce dont il pouvait s’agir lorsqu’ils reprennent le cours de leur vie. Dans la terminologie des contactés, on dit qu’ils ont été « utilisés ». […] J’ai étudié des contactés qui étaient enclins à tomber en transe lorsqu’ils voyaient un certain symbole écrit… généralement une lettre grecque ou une combinaison de lettres grecques. Ils croyaient avoir vu ces lettres peintes sur le côté d’un engin spatial. […] Des contactés discrets ayant vécu une forme de contact ovni il y a des années, même pendant l’enfance, peuvent devenir des agents dormants et connaître des périodes d’amnésie temporaire au cours de leur vie sans jamais faire le rapprochement avec leur premier contact ovni. L’esprit de certains percipients est trop instable pour s’accoutumer à ce type de manipulation patente. […] L’aspect effrayant de tout ceci est que chaque nouvelle vague d’ovnis pourrait placer toujours plus de gens sous l’influence secrète de ce phénomène. Nous n’avons aucun moyen d’estimer le nombre d’agents dormants qui pourrait exister après quarante ans d’observations d’ovnis. Et nous n’avons aucun moyen de découvrir quels sont les déclencheurs utilisés. Nous pouvons affirmer que quasiment toute personne qui devient obsédée par les ovnis a été soumise à une forme de traitement à un moment de sa vie.
Plus récemment, le biologiste cellulaire Bruce Rapuano a détaillé toute une gamme d’éventuelles fonctionnalités potentiellement associées aux implants aliens, dont la communication à distance, le contrôle de la mémoire (amnésie sélective, création de souvenirs-écrans), de l’état de conscience et du libre arbitre ou de l’autonomie personnelle.
3 décembre 1994
Q : (L) Risquent-ils [les sujets des expériences de Michael Persinger consistant à soumettre des gens à des champs électromagnétiques dans un caisson d’isolation sensorielle] aussi, avec cette méthode, d’être reprogrammés par des aliens ?
R : Oui.
11 février 1995
Q : (L) Comment le mécanisme de contrôle fonctionne-t-il avec eux [J.W. et Mike F.] puisqu’ils seraient certainement tous les deux surpris d’entendre ça [qu’ils sont des agents à leur insu], sans parler de se réfugier dans un déni total ?
R : Des ondes stimulant des implants pré-codés sont transmises à leur cerveau. Ils sont surveillés. Quand ils sont exposés à la vérité, les ondes sont générées pour empêcher qu’ils la perçoivent, et pour renforcer des modes de pensée de résistance pré-codés.
Cette description concorde avec celle de Rapuano concernant la technologie probablement utilisée dans les implants (résumée dans la partie 4), en particulier la manipulation de formes d’ondes magnétiques dans le cerveau au moyen de transmetteurs en métamatériaux.
7 janvier 1996
R : Tout dépend de Pat : dans quelle mesure elle souhaite recouvrer et divulguer les souvenirs liés aux nombreuses expériences anormales qu’elle a vécues et auxquelles elle a réagi avec une indifférence anormale.
Q : (P) [...] Nous nous trouvions à 20 km au nord de Camp David. […] Nous avons construit une grange en 1982. Nous avions acheté la maison en 1976, mais jamais je n’avais remarqué ces avions avant la construction de la grange. Avec un bâton dans la main, j’aurais pu les toucher, tellement ils volaient bas. Juste au-dessus de ma grange. Les mêmes jours, chaque semaine. Ils volaient toujours par deux et ne portaient jamais aucune marque d’identification. C’étaient des avions à hélices. Je me demandais : « Comment se fait-il que dans ce pays, on fasse survoler cette zone par des avions à hélices sans marque d’identification, et à très basse altitude ? » Ça a continué jusqu’à ce que nous déménagions. Ces avions passaient deux fois par semaine ; de 1982 à 1989. [...] Eh bien, au bout de quelques semaines, j’ai fini par me dire : « Tiens, voilà les avions ». Rien de nouveau, quoi.
R : Indifférence. [...]
Q : (P) Nous savions qu’ils passaient incognito. Maintenant que j’y pense, personne d’autre n’a jamais parlé de ces avions. C’était comme si nous étions les seuls à les voir, nous ou ceux qui se trouvaient chez nous quand ils passaient. Ma meilleure amie, qui habitait juste en haut de la rue, ne les a jamais vus. Lorsque je lui demandais : « Est-ce que tu as vu les avions ? », elle me répondait : « Quels avions ? » Je veux dire, elle habitait à moins d’un kilomètre à vol d’oiseau !
R : Les expériences anormales s’accumulent !
Q : (P) Vic aussi remarquait des choses, et en général il disait — il était moins indifférent que moi — il disait : « Mais bon sang, qu’est-ce que c’est que ces avions, qu’est-ce qu’ils fichent ? » (L) Pourquoi Pat était-elle aussi indifférente ? (P) Eh bien, ça n’affectait pas ma vie à moi — sauf que ça perturbait mes chevaux, ce qui me rendait dingue. Mais les chevaux ont fini par s’y habituer eux aussi, et ils sont devenus indifférents ! [Rires] Ces avions passaient tellement souvent, deux fois par semaine — « C’est mercredi, les avions vont passer ! » [...]
R : Vous voyez, Pat est résistante à cause de ses expériences ; il n’y a pas grand-chose qui la « perturbe », la programmation, etc.
Ce genre d’apathie a déjà été mentionnée plusieurs fois dans cette série. Rapuano l’attribue directement au contrôle des aliens exercé par l’intermédiaire des implants et écrit :
Dans de nombreuses présumées abductions d’êtres humains (mais pas toutes), les aliens semblent dépouiller les abductés non seulement de leur volonté, mais aussi de toute curiosité quant aux raisons de leur comportement (c’est-à-dire un acquiescement total envers leurs ravisseurs extraterrestres). Ils acceptent tout ce qui leur est fait sans y consentir librement ni remettre en question les objectifs du programme ou y opposer une quelconque résistance.
Turner raconte comment « Anita » s’était une nuit réveillée pour voir « un triangle multicolore se déplacer devant le mur de [sa] chambre ». « Un mandala, comme c’est joli » avait-elle pensé avant de se rendormir aussitôt. Pour Turner, cette apathie fréquemment évoquée est « apparemment une réaction programmée ».
13 janvier 1996
Q : (P) Comment ai-je pu être utilisée pour surveiller le personnel alors que je n’ai jamais rien remarqué d’anormal ?
R : Très complexe ; en fait, sujet parallèle. Pat est une « sonde ambulante » dont le but est de surveiller ceux qui l’entourent. L’important n’est pas ce qui est raconté mais ce qui est lu. En outre, la majeure partie de la mission n’exigeait pas sa participation consciente.
Q : (L) Est-ce que c’est toujours en cours ?
R : Partiellement. En outre, le rôle de sonde de Pat incluait la surveillance de tout ce qui se passait au JPL et dans d’autres laboratoires. Le processus passait par l’analyse des empreintes auriques de son mari et d’autres personnes de sa connaissance. Tous les événements laissent des empreintes permanentes sur les champs d’énergie aurique.
3 mai 1997
Q : (L) Vous avez dit un jour que la fonction de Pat Z était celle d’un dispositif de surveillance ; que, partout où elle allait, elle enregistrait les fréquences auriques pour le compte de ceux qui lui avaient mis un implant. Était-ce une situation inhabituelle ?
R : Très probablement.
25 mai 1996
Q : (L) Quel est le pourcentage de gens programmés ?
R : 2 pour cent.
Q : (L) Combien sont programmés par des moyens humains ?
R : 12 pour cent des 0,02 [sic] pour cent. [Notez que les C’s ont par ailleurs dit que tout le monde est soumis à d’autres formes de programmation humaine plus prosaïques, par exemple familiales et culturelles.]
Souvenez-vous que ce même chiffre de 2 % avait été donné concernant les personnes possédant des implants. Des séances ultérieures font référence à un type particulier de programmation mentale (la méthode dite Greenbaum). Dans ce contexte, les C’s avaient demandé : et si les individus victimes de cette programmation « étaient préprogrammés pour “se déclencher” tous en même temps, et que certains se déclenchaient trop tôt du fait d’un “dysfonctionnement” » ? (17/08/1996) Ils ont également précisé : « La programmation vise principalement à induire des comportements erratiques, dans le but “d’effrayer” la population pour qu’elle accueille — et exige, même — un régime totalitaire » (05/10/1996). Dans Operation Trojan Horse (1970), John Keel écrit :
Tout cela signifie en réalité que quelqu’un ou quelque chose possède véritablement le pouvoir de s’emparer de l’esprit humain dans sa totalité et le contrôler. Grâce à ce pouvoir, les êtres humains peuvent être manipulés et utilisés tant pour le bien que pour le mal.
Il nous est impossible de savoir combien d’êtres humains, dans le monde entier, ont pu subir ce traitement, car ils n’en auraient absolument aucun souvenir. Il nous est donc impossible de déterminer qui, parmi nous, recèle dans les obscurs recoins de son esprit ces étranges et sinistres « programmes » latents.
Supposons que le plan soit de préparer des millions de personnes, puis de toutes les activer en même temps à une date ultérieure. Allons-nous nous retrouver subitement avec des tonnes de saints ou des tonnes de cinglés armés se tirant les uns sur les autres depuis des clochers ?
Dans la même veine, dans The Armstrong Report (1988), Virgil Armstrong écrit :
Les victimes d’abduction continuent à vivre le reste de leur vie avec une sorte de malaise, qu’il soit mental, psychologique ou physique. Les coupables ne s’en inquiètent pas le moins du monde ; ils ont probablement implanté un type de programmation subliminale qu’ils pourront ultérieurement utiliser à leur profit.
Les forces négatives ont tenté et tenteront de nous conditionner à penser différemment ; elles peuvent nous programmer de manière subliminale à répondre télépathiquement à leurs desiderata. Il ne fait aucun doute qu’à un certain moment dans l’avenir, ils tenteront de nous utiliser pour exercer leur contrôle.
19 juin 1999
Q : Eve Lorgen s’est interrogée sur la manière de désactiver les programmes des Lizzies et de leurs complices humains tels que vous et d’autres les avez décrits.
R : Pour « déprogrammer », il faut d’abord être conscient de la programmation.
Q : Comment devient-on conscient des programmes ?
R : La connaissance, la connaissance fait quoi ?
Q : Voulez-vous dire que le simple fait d’être informé à ce sujet est la clé ?
R : Une fois qu’on a la connaissance, on a déchiré le voile ! Comment acquière-t-on la connaissance ?
Q : Je ne sais pas… comment ?
R : Quand ceux les plus intimement au fait télégraphient efficacement.
Q : Télégraphier comme dans une sorte de signal électronique ou simplement au sens de communiquer l’information ?
R : Cette dernière.
Q : Quel type d’informations, en particulier ?
R : Déclencheurs.
Q : Cela va déclencher quelque chose ?
R : Mots-clés de programmation.
Q : Oh, vous voulez dire qu’étudier les mots déclencheurs donne accès à la connaissance du programme de sorte qu’une personne peut alors le désactiver ?
R : Pas loin.
Q : Donc, je devrais contacter cette femme qui a fait cette étude sur la programmation et me procurer son livre, ce qui m’aidera à savoir quels types de programmes je pourrais avoir ?
R : Cela peut y mener. Échange avec ceux qui connaissent le mieux le processus.
Q : Eh bien, jusqu’à présent, c’est vous qui connaissez le mieux les programmes et avez été le mieux à même de communiquer ces choses.
R : Peut-être le mieux, mais pas les seuls.
4 mai 2002
Q : (B) Maintenant, il y a eu une discussion sur les psychopathes et le fait qu’ils seraient apparemment nés comme ça ; la teneur en mercure des vaccins a été mentionnée et Laura a dit qu’il y a une nette possibilité que les inoculations évoquées puissent directement affecter le cerveau des nourrissons et les transformer en [sociopathes/caractéropathes, ce qui peut résulter de certaines formes de lésions cérébrales] [...]
R : Ces inoculations sont conçues pour rendre le système nerveux « mieux adapté » aux « téléchargements » et aux manipulations des 4 D SDS. [...]
Q : (B) En privé, la question des personnes qui financent des agents COINTELPRO, ces as de la désinformation, a été évoquée. Il a été mentionné que ces financiers préfèrent généralement ne pas prendre de risque et s’assurent qu’une action en justice qui pourrait imposer cette divulgation n’ait jamais lieu. Est-ce valable pour l’affaire VB/JW ?
R : Pas dans leur cas. Ce sont de véritables agents « aliens » qui n’ont pas conscience d’être manipulés. Ainsi, aucun intermédiaire humain n’est nécessaire. La 4e densité économise de l’argent de cette façon !
14 septembre 2002
Q : (Montalk) Je ne sais pas si cela a déjà été abordé auparavant, mais quelles sont les causes possibles d’un sifflement intermittent dans les oreilles ? [...]
R : Surveillance mais aussi détection de signaux de programmation ainsi qu’un bruit de fond de « l’univers ».
Q : […] (Montalk) Quel processus est responsable de la création du vrai sifflement ?
R : En partie une « interprétation » par des processus neuronaux qui, à un certain niveau, reconnaissent l’éventualité et émettent un avertissement symptomatique.
Q : [...] (Montalk) La fréquence du son a-t-elle une quelconque signification ? (C) Oui, parce que des fois ce sont des whous, des sons doux, il y a différentes tonalités, parfois c’est dans l’oreille droite, parfois dans l’oreille gauche.
R : Observez et vous pourriez apprendre votre propre « code » interne.
Q : […] (Ark) Mais la question intéressante est de savoir si on peut perturber cette surveillance. Est-ce quelque chose de physique qui peut…
R : Bien sûr, le problème est de couvrir les nombreuses fréquences et variations. Les générateurs de bruit blanc en gèrent certains, mais pas tous !
Q : (Ark) Je me demandais si un petit verre de whisky pouvait suffire. Comme, vous savez, quand j’ai eu cette expérience à Göttingen et que le conseil était… (L) Un verre de whisky ! [...]
R : Dans certains cas, une modification chimique implique également un changement au niveau de la sensibilité, mais pas un arrêt de l’activité.
Polly, l’une des abductés présentées dans Taken (1994) de Karla Turner, décrivait « une sorte de crissement dans la tête » qu’elle avait associé à un implant qu’elle pensait avoir reçu à quatre ans.
22 février 2010
R : Sue n’est pas un agent conscient, mais l’hôtesse des outils du « métier ».
Q : (L) Que voulez-vous dire par les « outils du métier » ?
R : Des énergies qui dirigent aussi bien qu’elles transmettent et reçoivent.
Q : (L) Est-ce comme un implant physique ?
R : Oui.
Q : (L) A-t-elle été mise dans la vie de Bob juste pour venir nous espionner ?
R : Pas tant vous que Bob.
Q : (Burma Jones) En raison de son travail avec [une agence gouvernementale] ?
R : Et plus encore. [...]
Q : (Mr. Scott) OK, donc ce n’est pas seulement un petit scientifique bien tranquille...
R : Si, mais souvenez-vous de Pat Z.
Q : (L) Pat Z. Elle était secrétaire à Fort Detrick, mariée à un de leurs chercheurs — un physicien, Victor Z, qui a aussi travaillé sur la reconnaissance de forme pour la sonde de Mars — et les C’s ont expliqué qu’elle avait un implant qu’ils utilisaient pour surveiller ses patrons, son mari et les chefs de ce dernier par son intermédiaire. (Perceval) Un implant posé par qui ? […] (L) Je ne sais pas si nous avons déjà demandé si le sien était militaire ou alien.
R : À certains niveaux, c’est la même chose.
Q : (L) Alors, suggérez-vous que Bob possède aussi un implant pour surveiller les gens autour de lui, ou est-ce qu’elle tire des renseignements sur eux par son intermédiaire, comme une extraction ?
R : Oui.
Q : (L) Mais alors, pourquoi ne lui ont-ils pas tout simplement posé un implant ?
R : Forte tête.
Q : (L) Mais de toute évidence, être une forte tête ne signifie pas qu’on ne peut pas être manipulé par ses émotions. [...]
R : Exactement. Cela devrait être une leçon pour beaucoup ; c’est aussi une histoire vieille comme le monde.
Q : […] (L) Alors, le comportement de Sue a été influencé par des signaux ?
R : Oui.
Q : (L) Eh bien, vous savez, c’est vraiment moche, parce que si une personne est fondamentalement innocente et disons qu’elle a été implantée à des fins néfastes, puis qu’elle tombe amoureuse de quelqu’un, avec toutes les émotions que ça implique, c’est comme si cette personne avait été dupée et utilisée sans le savoir. Si elle sert d’agent à son insu, c’est vraiment plus une tragédie qu’une faute de sa part.
R : Comment se fait-il que Sue « soit tombée amoureuse » de Bob ? [...] Programmation, pas de réelles émotions.
Comme Jacobs l’écrit dans UFOs and Abductions, Budd Hopkins « a constaté que les abductés étaient manipulés à l’extrême au point de sélectionner des enfants enlevés afin qu’ils deviennent amis puis des partenaires sexuels une fois plus âgés ». Hopkins a repéré ce phénomène pour la première fois en 1991 dans le cas de Linda Cortile. Lorsqu’ils étaient enfants, Linda et Richard (l’un des agents de sécurité/renseignement témoin de son abduction de 1989) avaient tous les deux un ami « imaginaire » de l’autre sexe. Pendant des rêves, deux grands blonds emmenaient la jeune Linda jouer avec un garçon dont elle apprit plus tard qu’il s’agissait de Richard. Richard se souvenait de scénarios identiques. Au cours de leur adolescence et de leur vie de jeune adulte, chacun a développé une fascination/obsession pour l’autre, bien qu’ils ne se soient jamais rencontrés dans la réalité tangible avant l’abduction de 1989. (Dan, le collègue de Richard, a aussi développé une obsession amoureuse malsaine pour Linda après leur abduction commune de 1989 au point de subir une décompensation psychotique.)
En 1994, dans Masquerade of Angels, Karla Turner a partagé l’histoire de Ted Rice. Lorsqu’il était enfant, lui aussi avait été obsédé par une fille de son école après une abduction apparemment commune. Tout comme Dan, l’amour qu’il éprouvait pour elle n’était pas réciproque, même lors de leur brève relation une fois plus âgés. Il est convaincu que le but était d’alimenter les émotions négatives générées par sa souffrance avant que le « charme » ne soit finalement rompu des années plus tard au début de sa vie adulte. En 1999, Eve Lorgen a consacré un livre à ce sujet, dans lequel elle évoque les cas de Cortile et Rice – The Love Bite: Alien Interference in Human Love Relationships – suivi d’un second en 2012 : The Dark Side of Cupid: Love Affairs, the Supernatural, and Energy Vampirism.
Des années plus tard, les C’s minimiseront la fréquence de ce scénario d’obsession amoureuse en disant que « tous ces effets peuvent être facilement produits par la manipulation de la conscience et des émotions au moyen d’hyperfréquences, ainsi que par les influences normales de la programmation sociale et de la psychopathologie » (13/12/2014). Autrement dit, une obsession amoureuse n’est parfois qu’une simple obsession amoureuse.
Q : (Perceval) [Sue] A-t-elle été enlevée pour installer son implant ?
R : Oh oui. Pourquoi pensez-vous qu’elle est si réfractaire au sujet des aliens et des ovnis ? Cela a été programmé en elle.
Q : (L) J’ai vu des gens comme ça. Ils sont vraiment violemment opposés à l’idée même d’envisager cette possibilité et si jamais ils doivent la prendre en considération pour une raison quelconque, ils ne veulent pas en parler. C’est comme un programme inviolable. Et puis vous découvrez qu’ils ont vécu des choses bizarres dans leur vie, et vous vous rendez compte qu’ils doivent eux-mêmes avoir été enlevés. Mais vous avez beau le leur démontrer ou citer les faits, les preuves, les témoignages, rien ne rentre.
R : Ce n’est pas possible. Il y a un programme de sécurité intégré.
Q : (L) En d’autres termes, on ne peut absolument pas les atteindre. S’ils reconnaissent cette possibilité, ils perdront la raison ou autre ?
R : Oui.
Q : (L) Et je suppose qu’à un certain niveau ils le savent, alors leur rejet relève plus ou moins de l’autodéfense. Il y a des gens qui, à dessein, ne pourront jamais savoir ou reconnaître la vérité sur la réalité. C’est vraiment triste.
Virgil Armstrong a de même fait observer : « Comment se fait-il qu’après toutes les souffrances subies ou vécues par l’abducté, il ou elle puisse connaître un tel revirement et déclarer : “vous savez, ils ne sont pas si méchants que ça” ? Comment, en effet, à moins que les abductés ne soient programmés et conditionnés à agir de la sorte ? » Lors d’une régression hypnotique réalisée par les renseignements de l’Air Force, Terry Lovelace a expliqué : « Ils m’ont emmené de nombreuses fois et m’ont tout fait oublier. Mais quand j’étais enfant, ils voulaient que j’aie de vagues souvenirs afin de les reconnaître lorsque je serais plus grand. J’ai été programmé à les considérer comme mes frères de l’espace et je devais garder leur secret. […] j’ai été amadoué. »
Q : (Bubbles) Est-il possible que certains d’entre nous aient des implants comme Sue ?
R : Non.
Q : (L) Le scénario qui a été décrit à propos de Bob, Sue et nous, suggère soit un voyage temporel, soit, comme l’a dit Burma Jones, qu’ils ont tout un tas de femmes en réserve, préprogrammées et prêtes à être activées et utilisées quand et où c’est nécessaire. Alors, c’est quoi ?
R : Les deux.
Le cas de Linda Cortile suggère également un éventuel élément de voyage temporel. Sinon, les chances pour que Richard se trouve au bon endroit, au bon moment, avec la bonne profession pour être témoin de l’abduction en présence de plusieurs dirigeants internationaux (vraisemblablement le public visé), semblent minimes. Face à cette improbabilité, Hopkins écrit :
Richard, Linda et le troisième homme [l’agent de sécurité de l’ONU] ont été rapprochés quasiment depuis le début en ayant été systématiquement enlevés ensemble de nombreuses fois depuis l’enfance, quel que soit l’endroit où ils vivaient. « Poppy », le troisième homme […] a en quelque sorte été réuni avec Richard dans un contexte professionnel. Malgré divers déplacements familiaux et professionnels ainsi que des modes de vie différents, ces trois individus reliés à distance ont un soir été rassemblés dans le Bas-Manhattan. »
Autres caractéristiques des abductions
6 novembre 1994
Q : (L) J’ai tiré une sorte de conclusion au sujet de certaines des activités des Lizzies et de leurs abductions par l’intermédiaire des Gris, etc., et il me semble que ce nombre excessif d’examens gynécologiques, du système de reproduction, ou autres, pourraient être un écran dissimulant un procédé destiné à extraire la force ou l’énergie vitale des êtres humains au travers du chakra racine, le chakra sexuel, là où la force vitale entre dans le corps, si j’ai bien compris. Est-ce que cette idée est correcte ou sur la bonne voie ?
R : Pas loin. [...]
Q : (L) Comment font-ils cela en procédant à ces examens gynécologiques ? Ont-ils recours à quelque activité technique ?
R : Oui. Trop complexe.
Q : (L) Donc, ces supposés souvenirs d’examens que les gens ont de leurs enlèvements ne sont que des écrans aux procédures utilisées pour leur soutirer leur force vitale ?
R : Oui.
L’abductée Karin Wilkinson écrit : « La vérité inconfortable est que ces aliens sont obsédés par le sexe. […] Les agresseurs aliens tentent de recréer tous les aspects de nos expériences sexuelles afin de mieux comprendre et utiliser le sexe ainsi que l’énergie sexuelle. Ils s’intéressent tout particulièrement à la peur, aux facettes du contrôle sexuel et aux aspects de la fécondation. Cela reflète la pratique occulte de la magie sexuelle. » Karla Turner a fait des observations similaires et remarqué que ces caractéristiques sont souvent tues par des abductés embarrassés ou des chercheurs soucieux de la crédibilité de leurs découvertes.
Q : (L) Est-ce qu’ils prennent des jumeaux, ou un des jumeaux et l’élèvent artificiellement ?
R : L’ont fait. [...]
Q : (L) Le font-ils fréquemment ?
R : Non.
Q : (L) Pourquoi prendre un jumeau ?
R : Étudier pour déterminer quel est le meilleur réceptacle d’âme : un jumeau ou un clone. [Note de Laura : cela soulève la question de savoir pourquoi le choix se situe entre ces deux options. Existe-t-il un lien entre des clones et le corps d’origine, et entre deux jumeaux, qui soit vital pour l’objectif des Lizzies ?]
Q : (L) Ces jumeaux qu’ils élèvent, sont-ils élevés à bord de leurs vaisseaux ou dans leur enclave où qu’elle se situe ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce qu’ils les traitent bien ?
R : Ouvert.
Q : (L) Leur apprennent-ils beaucoup de choses ?
R : Oui.
Q : (L) Le font-ils pour tester la capacité cérébrale de l’être humain ?
R : Et d’autres raisons.
Cutchin consacre une section de Thieves in the Night au « syndrome du jumeau disparu » – « la disparition apparente, dans l’utérus, d’un enfant non né lors d’une grossesse gémellaire » – qui n’est pas sans rappeler le vieux thème de la substitution d’enfants par des fées. Il cite un cas consigné par Caryl Dennis dans lequel une naissance avait produit deux cordons ombilicaux dont l’un « paraissait cicatrisé, comme le moignon d’un amputé ». Lorsque la fillette avait eu 9 ans et que son père lui avait demandé si elle savait qu’elle était censée être une jumelle, elle avait répondu : « Oui, papa, je le sais. Je sais où est ma sœur jumelle ; elle est sur le vaisseau spatial et je lui parle tout le temps ».
Q : (L) Est-ce que j’avais un jumeau ?
R : Non.
Q : (L) Dans quel but essayent-ils de déterminer quel est le meilleur réceptacle entre un clone ou un jumeau ? Réceptacle de quoi ?
R : Futur projet.
Q : (L) Pour faire quoi ?
R : Intervertir les réalités physiques.
Q : (L) Et qui va changer de réalité physique ? Vont-ils entrer dans des corps qu’ils se sont préparés et obliger les âmes humaines à entrer dans leurs corps ?
R : Non.
Q : (L) Vont-ils entrer dans les corps eux-mêmes de manière à pouvoir changer leur réalité ?
R : Oui.
Q : (L) Donc, ils sont en train de préparer un paquet de corps sans âme dans lesquels ils pourront entrer en personne ?
R : Essaieront. [Cette idée sera développée dans de futurs articles consacrés aux intentions des aliens.]
22 octobre 1994
Q : (L) L’amnésie liée aux abductions est-elle délibérément induite ou résulte-t-elle de l’incapacité de l’esprit à gérer cet événement ?
R : C’est un mélange des deux à parts égales.
Q : (L) Comment est accomplie la partie délibérément induite ?
R : En utilisant un flux d’énergie cosmique pour influencer la fonction mnésique par le biais d’une combinaison d’interaction spirituelle et chimique.
Q : (L) Pouvez-vous être plus précis ?
R : Être plus précis reviendrait à l’être moins d’un autre côté, mais une bonne façon de le dire est que cela altère le flux d’énergie électromagnétique dans le cerveau. L’énergie électromagnétique, l’électromagnétisme, est la force vitale qui existe dans tout ce qui évolue selon des cycles à ondes longues ou à ondes courtes.
Dans une section intitulée « Contrôle de la mémoire humaine lors d’un temps manquant », Rapuano écrit :
Il existe des preuves scientifiques qu’une sorte d’inhibition neuronale peut avoir lieu soit lors de l’encodage mnésique, soit lors de la phase de remémoration afin de limiter la conservation de souvenirs indésirables. […] Parmi les expériences [d’abduction] remémorées sous hypnose, rares sont celles qui donnent lieu à un récit parfaitement clair commençant par l’enlèvement et se terminant par un retour sur le lieu de l’abduction. Beaucoup de personnes décrivent des épisodes ou des fragments incomplets, décousus et souvent confus […] ce qui suggère fortement une interférence alien dans l’encodage afin d’empêcher la consolidation des traces mnésiques initiales.
De même, après avoir été dévoilés par l’hypnose, de nombreux souvenirs d’abduction demeurent totalement inaccessibles, même avec d’innombrables expositions à divers déclics potentiels […] Cela suggère que les mécanismes de remémoration ont également été délibérément censurés. […] Ceci pourrait être réalisé à l’aide d’un implant neural pour stimuler directement des régions cérébrales spécifiques, éventuellement en association avec une instruction télépathique d’oubli afin de faciliter l’inhibition de l’encodage.
3 décembre 1994
Q : (L) Quelles méthodes ou techniques sont utilisées pour établir une connexion continue entre un abducté et son ravisseur ? S’agit-il d’un lien psychique ?
R : Pas loin.
Q : (L) Est-il établi grâce à la technologie ?
R : En partie.
Q : (L) Il y a tellement d’histoires sur le processus de « subjugation » par le regard où l’alien contrôle l’abducté en le fixant dans les yeux et l’abducté ressent plein d’amour et d’harmonie et pense alors que l’expérience est bénéfique. Ce qui me pousse à demander : quel est au juste le but de cette subjugation par le regard ?
R : Hypnotique.
Q : (L) Cela forme-t-il aussi un lien ?
R : Oui.
À propos de cette subjugation, Jacobs écrit dans Walking Among Us : « Grâce à l’“engagement neural” […], les extraterrestres peuvent susciter des émotions allant de la peur à la haine, de l’amour à la réaction sexuelle ». Rapuano commente les travaux de Jacobs et constate : « Sans l’ombre d’un doute, il apparaît que lors du scan mental, les aliens ont souvent recours à une sorte de réalité virtuelle pour explorer les émotions humaines ». Il ajoute :
[…] sous leur forme anatomique alien, les ravisseurs font souvent preuve de la capacité à exercer un contrôle puissant et une domination psychique sur leurs prisonniers humains en nouant avec eux un lien personnel profondément ancré. […] Plus d’un enquêteur sur les abductions a obtenu des preuves que le contact oculaire semble jouer un rôle important dans l’évolution de ce processus. Cela suggère que le scan mental participe au développement de la relation. Naturellement, le scan mental pourrait avoir servi à implanter ce type de sentiments et de souvenirs en donnant l’ordre à une IND d’activer des groupes de neurones dans le système limbique […] et dans l’hippocampe […] À vrai dire, l’entretien d’une telle relation inter-espèces n’est probablement rien de plus qu’un expédient dont l’objectif est d’apaiser et d’induire la docilité d’un sujet expérimental récalcitrant et souvent terrifié. […] la “relation” avec un manutentionnaire alien pourrait s’apparenter à un simple conditionnement technologiquement assisté.
3 juin 1995
Q : (T) Est-ce que le fait qu’il y a très peu de cas d’enlèvements — du moins de ce que j’ai pu lire, et j’en ai lu beaucoup — pendant les orages a quelque chose à voir avec le fait que les orages interfèrent avec l’électromagnétisme, de sorte que l’abduction serait beaucoup plus difficile, par conséquent ils ne s’embêtent pas à le faire ?
R : Non.
Q : (T) Des enlèvements peuvent avoir lieu pendant des orages ?
R : Oui.
Q : (L) Est-il possible que les orages facilitent les abductions ?
R : Non.
Q : (T) Donc, les perturbations électromagnétiques de 3e densité ne perturbent pas la 4e densité ?
R : Peuvent.
Q : (J) Est-ce qu’ils peuvent les contrôler ? (T) Eh bien je n’ai pas lu grand-chose sur des enlèvements ayant eu lieu pendant des orages. (L) J’ai lu quelques cas, assez pour voir que ce n’est pas une règle. (T) Y a-t-il une raison pour que cela arrive moins fréquemment pendant des orages ? (J) Ils ne veulent pas se mouiller.
R : Pouvez-vous conduire une voiture quand il pleut ?
Q : (J) Oui, mais s’il pleut vraiment fort, on évite. (L) Est-ce qu’il y a une raison particulière pour qu’il y ait davantage d’enlèvements et d’observations d’ovnis la nuit ?
R : Inexact.
Q : (L) Vous voulez dire qu’il y a autant d’activités le jour que la nuit ?
R : Oui.
13 novembre 1999
Q : Quelles substances chimiques sont stimulées dans le corps pour provoquer cette paralysie ?
R : Ce n’est pas la méthode utilisée.
Q : Quelle est la méthode utilisée ?
R : La déviation électronique des ondes.
Q : Ils détournent les ondes électroniques de notre cerveau ou de notre physiologie ?
R : Plus proche.
L’une des propriétés des métamatériaux mise en exergue par Rapuano est l’aptitude à projeter et neutraliser à distance des ondes de forme magnétiques. En projetant des ondes neutralisantes vers des régions cérébrales spécifiques, cette technologie permet effectivement d’« éteindre » des signatures motrices particulières.
15 avril 2000
Q : (A) Ce qui est intéressant, c’est de savoir comment ceux qui tentent d’attraper ces personnes, de les enlever, comment les repèrent-ils ? Comment obtiennent-ils l’information ? En suivant la lignée, ou grâce une sorte de moniteur permettant de les détecter à distance et de noter « voici quelqu’un d’intéressant » ou « voici quelqu’un de dangereux » ou « enlevons celui-ci » ou que sais-je ? Comment font-ils le tri ? Examinent-ils les généalogies ou s’agit-il d’une sorte de télédétection ?
R : Ça, c’est intéressant Arkadiusz, car cela implique la « signature » atomique de la structure cellulaire de l’individu. De concert avec la lecture du corps éthérique et la fréquence de résonance vibratoire. Tous ces éléments sont interconnectés et peuvent être lus à distance grâce à une technologie/méthodologie de vision à distance.
Q : (L) Peut-on le faire de manière purement mécanique sans utiliser de moyens parapsychiques ?
R : À un autre niveau de compréhension, les deux ne font qu’un.
Q : (T) Vision parapsychique à distance informatisée, peut-être. Comme l’intelligence artificielle. Peut-être un esprit relié à un ordinateur ?
R : C’est proche, oui.
21 novembre 2015
Q: Lorsque nous avons fait l’émission « Santé et Bien-Être » sur la mort, nous avons parlé de ce que des gens racontaient après avoir vécu une expérience de mort imminente, qu’ils vivaient ensuite des phénomènes étranges avec l’électricité. Leurs montres cessent de fonctionner, parfois ils font exploser des ampoules quand ils traversent une pièce, des choses comme ça. Et je me souviens de ce que j’ai lu au sujet de…
R : Généralement dû à une augmentation du flux d’énergie grâce à des canaux ouverts par la transition.
Q: (Alana) Est-ce pour cette raison que les personnes abductées ont les mêmes problèmes électriques…
R : Oui
Q: (Alana) C'est comme ce qu'on a dit dans l’émission : lorsqu’on va dans une réalité différente qui est un peu plus chargée, quand on revient, on est en quelque sorte… (L) On est non seulement passé par une sorte de conduit, mais on revient aussi par celui-ci, et on rapporte quelque chose avec nous, ou on a établi une connexion ou autre. C’est ça ?
R : Oui.
Reportez-vous à cette discussion sur les phénomènes de poltergeist dans le contexte des abductions. Marden et Stoner insistent également sur la présence envahissante des manifestations paranormales autour des abductés et soulignent que la plupart des chercheurs « rechignent à sérieusement étudier [ce lien] ».
Bonjour et encore merci pour ces informations bien détaillées et utiles.
Je me dois d'essayer à mon tour d'attirer votre attention par d'autres éléments d'infos. Désolée, si rien n'est nouveau pour vous :
https://www.youtube.com/watch?v=5d-XjgqTD_w
Je n'ai pas encore étudié la valeur de ce travail, mais cela reste de l'information qui peut mener à la Vérité : https://divinecosmos.com/
Ceci peut être intéressant à transmettre : https://file.wikileaks.org/file/FBI-pedophile-symbols.pdf
Bien sûr, tout doit être vérifié. Je vous transmets quand même : https://elishean777.com/des-cryochambres-dextraterrestres-endormis-sous-la-glace-de-lantarctique/
Centre Gurdjief : https://www.centre-gurdjieff.org/id36.htm
Bonne journée à tous
Billie