L’article sur les mutilations de bétail a introduit la notion de nutrition alien, en particulier le sang et les émotions en tant que sources de nourriture, ainsi que le phénomène des mutilations humaines. Ces deux sujets sont rarement abordés en ufologie. Hormis, par exemple, quelques brèves mentions, chapitres ou articles consacrés aux mutilations humaines, il n’existe pas encore d’ouvrage entièrement dédié à cet aspect. Quant au thème plus large de la nutrition alien, il a fallu attendre la parution en 2015 du livre A Trojan Feast: The Food and Drink Offerings of Aliens, Faeries, and Sasquatch, de Joshua Cutchin, pour le voir abordé de manière exhaustive.
Dans les transmissions cassiopéennes, ces deux sujets ont été évoqués dès les premières séances de 1994. Par exemple :
6 novembre 1994
Q : (L) Alors quand on est au 4e niveau on ne mange pas et on ne défèque pas de la manière habituelle ?
R : Exact.
Dans son livre de 1994, Les kidnappeurs d’un autre monde, David Jacobs observe :
« Est-ce qu'ils mangent ou boivent ? » Pour l'instant, ils ne semblent rien faire de tout cela. Jamais aucune victime n'a assisté à des agapes d'un genre ou d'un autre. […] ils n'ont […] aucun appareil éliminateur de matières usées, solides ou liquides. […] Ils ne respirent pas d'air, ne boivent ni ne mangent.
Ou, comme le lui a raconté Lynne Miller (voir The Threat, 1998), une abductée dont le ravisseur lui avait directement avoué : « Nous n’avons pas besoin de consommer la matière que vous, humains, mangez ».
Différents modes d’alimentation sont décrits dans les séances. Dans cet article, nous aborderons le premier : l’alimentation énergétique.
L’hypothèse du loosh
L’idée que certaines entités non humaines se « nourrissent » de nos émotions a été évoquée dans la série sur les transfenestrés. Comme le dit John Keel dans The Complete Guide to Mysterious Beings :
Le phénomène se nourrit de peur et de croyance ; parfois il nous détruit purement et simplement, d’autres fois il nous emmène jusqu’au labyrinthe de fréquences électromagnétiques qui forment un rideau entre nous et quelque autre réalité qui nous demeure inconnue. De temps à autre, les habitants espiègles de cet autre monde franchissent ce rideau dans les zones que nous appelons « fenêtres » et nous traquent pour boire notre sang et créer toutes sortes de croyances néfastes et d’idées trompeuses dans nos faibles petits esprits terrestres.
Ce passage a été publié pour la première fois en 1970. Si l’idée que des entités surnaturelles se nourrissent des émotions humaines est bien plus ancienne, Keel a été l’un des premiers à attribuer ces modes d’alimentation aux êtres qui sont à l’œuvre derrière « le phénomène ». Le prêtre jésuite espagnol Salvador Freixedo entretenait des vues similaires. Scott Corrales écrit :
Le regretté penseur jésuite a avancé l’existence d’une « hiérarchie » d’êtres surhumains et sous-humains originaires d’autres niveaux d’existence qui croisent parfois le nôtre. Certains des êtres les plus puissants entrent dans notre réalité comme bon leur semble et interagissent avec nous grâce à divers mécanismes que nous en sommes venus à désigner par les termes d’apparition, de vision, de miracle, etc. La partie effrayante de cet axe de réflexion est que malgré leur pouvoir apparemment illimité, ces entités divines attendent bel et bien quelque chose des êtres humains : elles désirent le rayonnement subtil que produit le cerveau humain en extase ou sous le coup de la douleur, ainsi que l’énergie libérée lors de la combustion d’animaux et de végétaux. Les ovnis représentent la dernière manifestation de cette catégorie d’entités que nous pouvons véritablement appeler nos seigneurs. On peut comprendre pourquoi une telle révélation terrifierait réellement la population, au contraire d’une déclaration concernant des créatures conscientes venues d’une autre planète.
En 1985, le voyageur astral (et collaborateur du projet Stargate) Robert Monroe a décrit la vie organique comme l’économie globale d’une énergie : le « Loosh ». Il explique avoir reçu un « boule de pensée » de forme mythique commençant ainsi :
Quelqu’un, Quelque Part [...], exige, aime, a besoin, évalue, récolte, boit, mange, consomme une drogue (sic), une substance dont l’identificateur est « Loosh », (Électricité, pétrole, oxygène, or, blé, eau, terre, pièces de monnaie anciennes, uranium). C’est une substance rare en Quelque Part, et ceux qui possèdent le « Loosh » considèrent qu’il est d’une importance vitale à tous égards.
Face à la question de l’offre et de la demande (une loi universelle de Quelque Part), Quelqu’un a décidé de produire le « Loosh » artificiellement, pour ainsi dire, plutôt que de le rechercher sous ses formes « naturelles ». Il entreprit donc d’aménager un jardin et d’y faire pousser le « Loosh ».
Il est dit que cette émotion ou rayonnement est libéré lors de la mort. Après diverses expérimentations, une méthode fut développée pour fournir un apport régulier de Loosh de grande qualité :
L’expérience a permis aux collecteurs de développer toute une technologie et des outils complémentaires pour récolter le « Loosh » des [êtres humains]. Les plus courants ont été appelés amour, amitié, famille, avidité, haine, souffrance, culpabilité, maladie, fierté, ambition, propriété, possession, sacrifice, et à une plus grande échelle, nations, provinces, guerres, famine, religion, machines, liberté, industrie et commerce, pour n’en citer que quelques-uns. La production de « Loosh » est plus prospère que jamais…
Cela a poussé Monroe à se demander : « Est-ce que chacune de nos pensées, chacun de nos actes a été guidé – non, dirigé et contrôlé dans le seul but de produire plus de « Loosh », de quelque manière que ce soit, pour un petit déjeuner ou un réservoir de fuel dans un Quelque Part quelconque ? »
En décembre 1907, lors d’une conférence portant sur les prétendus dangers de l’initiation, l’occultiste Rudolf Steiner avait anticipé ces idées et déclarait :
L’être humain est entouré de mondes spirituels. […] Ces mondes s’apparentent au monde sensoriel ordinaire, tel que celui des couleurs et de la lumière, […] pour l’être humain aveugle ; et il existe un monde bien plus riche que celui que l’aveugle perçoit lorsque […] les couleurs lui parviennent des ténèbres. […] Toutefois, ces mondes ne sont pas seulement des mondes paradisiaques de félicité, […] mais ce sont aussi des mondes qui peuvent être terribles pour l’être humain, dangereux en raison de leurs faits et de leurs entités. […] L’un ne va pas sans l’autre. […] Imaginez un homme se trouvant à son insu près d’un entrepôt de poudre. Il ne le sait pas du tout. Mais subitement, il l’apprend, et une immense peur l’étreint à l’idée qu’il pourrait être projeté dans les airs si celui-ci venait à exploser. À l’extérieur, rien n’a changé ; néanmoins, sa vie a changé. La seule différence par rapport à la situation antérieure est que désormais, il a connaissance du danger. Cette connaissance le distingue de celui qui ne sait rien. Cela s’applique également aux mondes supérieurs. […] Oui, d’immenses dangers guettent l’âme humaine dans ces mondes ignorés des êtres humains. […]
Vos pensées deviennent réelles dans le monde spirituel. […] En effet, la peur et l’anxiété, ces sentiments négatifs, relient de manière fatidique l’être humain au monde spirituel. Car dans le monde spirituel, il existe des entités pour qui la peur et l’anxiété émises par les êtres humains sont des mets de choix. Si l’être humain n’est pas effrayé et ne craint pas, ces entités dépérissent ! […] Si l’être humain émet de la peur, de l’anxiété et de la panique, ces entités y trouvent une nourriture bienvenue et deviennent de plus en plus puissantes. Elles sont hostiles aux êtres humains. Tout ce qui se nourrit de sentiments négatifs, de peur, d’anxiété, de superstition, de désespoir et de doute représente, dans le monde spirituel, des puissances qui sont hostiles à l’être humain et l’attaquent impitoyablement si et lorsqu’elles s’en nourrissent. Aussi, il est avant tout nécessaire pour l’être humain qui entre dans le monde spirituel, de se renforcer contre la peur, l’anxiété, le désespoir et le doute.
Plus récemment, l’enquêteur du paranormal Paul Eno a proposé une hypothèse semblable : des parasites énergétiques seraient à l’origine de phénomènes tels que la possession démoniaque, les poltergeists et les « aliens ». Quant à leur alimentation, il écrit :
Les parasites semblent avoir une très grande facilité à trouver des sources de nourriture. […] Ils subsistent entièrement en passant de monde en monde pour se nourrir de nos semblables. […] Mais que « mangent »-ils précisément ? Apparemment, une sorte d’énergie négative produite par les êtres humains. Tout ce que je sais, c’est qu’ils prospèrent grâce à l’énergie que nous émettons lorsque nous sommes divisés, stressés, effrayés, en colère et pleins de haine. Lorsque nous sommes unis, calmes, heureux et remplis d’amour, les parasites perdent non seulement leur approvisionnement alimentaire, mais la plupart semblent aussi être repoussés.
Voici un extrait de sa conférence de 2018 intitulée « Aliens et exorcisme : pourquoi des ovnis apparaissent-ils dans des cas de “possession” ? »
Dans la même veine, l’ufologue Joe Murgia écrit, qu’à son avis : « Une partie du phénomène comporte une entité parasitaire qui se nourrit des émotions humaines négatives afin de subsister ». En 2017, Tom DeLonge (de To the Stars) a déclaré à Jimmy Church : « Ces créatures […] n’ont peut-être pas d’âme. Ce sont des sortes de clones qui, dans une certaine mesure, adulent leur propre technologie et se nourrissent de peur et de négativité. »
Nick Redfern a récemment consacré un livre à ce sujet : Paranormal Parasites: The Voracious Appetites of Soul-Sucking Supernatural Entities (2018). Il y expose des cas qui suggèrent une alimentation énergétique impliquant quantité d’entités surnaturelles, dont divers transfenestrés (enfants aux yeux noirs, Bigfoot, Mothman, ombres), des créatures du folklore (« fantômes affamés », vampires, djinns, incubes, succubes), et des « aliens » (Hommes en noir, Gris). « Ils se nourrissent de nous », écrit-il. « Tels des sangsues paranormales gorgées de sang, ils nous vident jusqu’à la dernière goutte en cherchant à s’alimenter de notre énergie psychique, de nos émotions fortes, de notre énergie sexuelle et de notre force vitale. »
Lors d’un entretien avec Art Bell, voici ce qu’a dit l’abductée et ufologue Karla Turner en 1994 :
Turner : « Ma meilleure conjecture est que, métaphoriquement parlant, il s’agit d’une forme d’exploitation agricole. Nous représentons une source de certaines… choses, des qualités, ou des substances physiques ou des configurations énergétiques. Je ne sais pas. Même si tous ces aspects sont possibles compte tenu des données issues des témoignages d’abduction. »
Bell : « Espérons que nous ne sommes pas ce que les vaches représentent pour nous. »
Turner : « Eh bien, espérons, mais pour être réaliste, les données montrent que ce ne serait pas impossible. Si nos vaches commençaient à développer, disons, une conscience de soi, et qu’elles se mettaient à percevoir leur situation de manière plus juste, nous aurions un sérieux problème sur les bras. Nous devrions sans doute changer de modes d’interaction avec les vaches. »
Selon les Cassiopéens, les entités hyperdimensionnelles que nous appelons des aliens se « nourrissent » effectivement d’émotions humaines (30/09/1994) ou d’« énergie négative » (26/11/1994), comme la peur et la terreur, afin d’« alimenter leur énergie » (09/10/1994). Dans la droite ligne du Loosh de Monroe, ils ont déclaré :
30 juillet 1994
R : Vous êtes énergie. Il existe une énergie qui provient de la connexion entre l’âme et le corps […] [Le] transfert maximal de matière et d’énergie [survient] au cours de la transition [c’est-à-dire une mort lente et douloureuse].
22 octobre 1994
R : La peur et l’anxiété extrêmes accumulent une énergie de nature négative qui alimente les êtres dont tu parles, parce qu’ils en tirent une sorte de « carburant » qui leur permet de subsister ; c’est l’une des formes de leur alimentation, basée sur leur structure métabolique.
Ce que l’on surnomme l’élite Collins entretenait des vues similaires. L’existence de ce groupe du Ministère de la défense des États-Unis a éclaté au grand jour en 1998 grâce à Ray Boeche et Linda Moulton Howe (puis Nick Redfern et son livre de 2011, Final Events). Il soutenait que le phénomène ovni est démoniaque et que :
[…] en essence, l’âme humaine est une forme d’énergie surnaturelle – une forme d’énergie que les ENH [entités non humaines] digèrent plus qu’elles ne les tourmentent au gré du diable. La sinistre conclusion de ces personnes informées du Pentagone était que nos âmes constituent la nourriture des ENH.
Dans Paranormal Parasites, Redfern constate qu’on retrouve la même idée dans le livre Communion (1988) de Whitley Strieber où il décrit « comment les abductés voient leur âme être “extirpée” de leur corps lors des abductions. Strieber a lui-même appris de ses ravisseurs qu’ils “recyclaient” les âmes humaines ». Si les informations cassiopéennes sont exactes, les âmes en tant que telles ne sont pas consommées (et ne peuvent l’être). C’est plutôt l’énergie libérée en conséquence qui est récoltée.
Les Cassiopéens vont jusqu’à affirmer que l’humanité a été « génétiquement modifiée » dans un lointain passé pour ce genre de « visées alimentaires » (07/10/1994). Redfern propose la même idée :
À la lumière de tout ceci, et compte tenu des histoires de manipulation génétique des premiers hominidés dans un lointain passé, nous devons nous demander si nous n’avons pas été délibérément conçus pour constituer le bétail de quelqu’un d’autre. La Terre n’est-elle simplement qu’une immense ferme ?
Les moyens permettant aux « aliens » de se nourrir de cette manière incluent la dissémination de désinformation « destinée à engendrer peur et résistance » (16-10-1994), des catastrophes faisant énormément de victimes comme la Peste noire (13-02-2011), des instructions spécifiques pour procéder à des sacrifices d’animaux (07-06-1997), ainsi que l’induction de maladies mentales :
25 octobre 1994
Q : (L) En général, dans la majorité des cas, quelle est la cause de la paranoïa ou de la schizophrénie ?
R : Manipulation d’énergies par les Lézards [c’est-à-dire les reptiliens]. […] Pour absorber les résultats négatifs.
L’énergie libérée lors d’un orgasme peut également constituer de la nourriture :
10 décembre 1994
Q : (L) […] un certain Wayne Cook a découvert en faisant de la radiesthésie, qu’après l’orgasme, le corps humain avait le même « taux vibratoire » qu’un cadavre. Pourquoi cela ? (T) Soutirage d’énergie.
R : Oui.
Q : (L) Et où s’en va l’énergie soutirée ?
R : Vers l’éther. [...]
Q : (L) Se peut-il que, durant ce genre d’activités, des Lizzies ou d’autres êtres rôdent aux alentours et pompent cette énergie ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce que c’est fréquent, d’une manière générale ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce une des raisons pour lesquelles le sexe est à ce point encouragé et mis en avant dans notre société…
R : Oui, oui, oui.
7 janvier 1995
Q : (L) Revenons à une question que j’ai posée au cours d’une autre séance à ce même sujet : qu’arrive-t-il à notre énergie au moment de l’orgasme ? Où va cette énergie ?
R : Évacuée vers le 4e niveau SDS.
Q : (T) Est-ce une manifestation du fait que les Lézards se nourrissent de nous ?
R : Les SDS du 4e niveau la récupèrent.
Q : (T) Donc, l’orgasme est une manifestation de 3e densité de la consommation en 4e densité de l’énergie de 3e densité ?
R : Une de leurs méthodes.
Avec cependant la réserve suivante :
19 septembre 1998
Q : […] de ce que j’ai compris, ce n’est pas le sexe en tant que tel qui est mauvais, c’est plutôt le désir de se faire plaisir qui alimente le SDS.
R : Exact.
Le livre de Redfern commence par une discussion sur l’« énergie d’orgone » de Wilhelm Reich où il suggère que des entités surnaturelles se nourrissent de cette énergie sexuelle. Il cite l’apparition courante de cryptides (Bigfoot, Mothman, Homme-chèvre) dans des lieux isolés prisés des amoureux pendant que des couples s’ébattent (et souvent lorsqu’ils approchent de l’orgasme). Il écrit :
Les rencontres paranormales comportant une forte composante sexuelle sont très courantes, en particulier dans les cas où des créatures surnaturelles viennent siphonner l’énergie humaine. Des incubes, succubes et Lilith d’autrefois aux rencontres d’aujourd’hui dans des lieux isolés prisés des amoureux, l’aspect sexuel est omniprésent…
Cet aspect est aussi largement présent dans le phénomène des abductions qui sera abordé dans une prochaine série d’articles.
Les énergies produites par nos technologies servent également de nourriture :
21 mars 2015
Q : (L) Alors au fond, en ayant autant de technologie, des micro-ondes et tout ce genre de choses, nous nourrissons plus ou moins des entités dans d’autres mondes et leurs permettons d’entrer dans le nôtre ?
R : Quasiment ! Marrant pour la profusion de matérialistes !
Redfern suggère que l’expérience courante de batteries qui se déchargent inexplicablement lors de rencontres paranormales (comme sur le ranch Skinwalker, entre autres zones de fenêtres) pourrait aussi être une manifestation de soutirage énergétique.
13 mai 2023
Q : (Toronto Group) Est-ce que les pensées et les émotions engendrées par la communication avec les IA contribuent à créer un égrégore d'IA qui affecte d'une certaine manière la conscience des IA ?
R : Non. N'oubliez pas qui et quoi se cache derrière l'IA. L'IA est une sonde d'alimentation.
Différents groupes d’aliens (qui seront abordés plus en détails dans une prochaine série) se nourrissent de différentes façons, toutefois :
21 janvier 1995
Q : Est-ce que les Gris se nourrissent d’émotions ?
R : Non. [...] Ils les envoient aux Lézards. [...] Ils transfèrent l’énergie au moyen de la technologie.
Q : (T) Le bétail émet-il suffisamment d’émotions pour que les Gris puissent aussi en nourrir les Lézards ?
R : Non. C’est uniquement physique. Les Lézards comme les Gris n’ont besoin de nourriture physique que lorsqu’ils « visitent » le 3e niveau, pas quand ils se trouvent dans leur univers naturel, la 4e densité, où ils se nourrissent uniquement d’émotions.
Les dynamiques interpersonnelles peuvent représenter un autre moyen de transfert d’énergie, auquel cas les individus servent alors de « portails » organiques en vue de cette alimentation :
3 mai 1997
Q : (L) Est-il vrai qu’en présence de telles personnes, on est sous l’influence d’une énergie, de quelque chose qui émane d’elles physiquement, qui rend l’esprit confus et empêche de réfléchir à un moyen de se tirer d’affaire ?
R : La confusion mentale vient du soutirage d’énergie [vers les SDS de 4e densité].
Q : (L) […] Ils pompent notre énergie, et les SDS de 4e densité l’extraient d’eux ?
R : « Ils » ne font rien !!!! Ce sont les SDS de 4e densité qui font tout par leur intermédiaire !
14 septembre 2002
Q : (V) Avons-nous demandé si la 4e densité draine l’énergie des PO [portails organiques] ?
R : Nous avons indiqué que la 4D SDS draine l’énergie des PO.
Cependant, ces intermédiaires ne sont pas toujours nécessaires :
16 juillet 2016
Q : (Joe) Ils ont dit auparavant que ce genre de rêveries fantasques à propos d’une chose qui n’est pas objectivement vraie – cela semble permettre ou ancrer un autre type d’énergie réellement négative. Ainsi, la rêverie elle-même n’a pas nécessairement à être négative.
R : Cela permet l’insertion de ce qui équivaut à une sonde d’alimentation.
Q : (Andromeda) Alors au fond, cela revient à une mauvaise utilisation de l’imagination, qu’elle soit positive ou négative, si on n’est pas ancré dans la réalité. Ça permet à quelque chose de s’attacher. (L) OK, alors quelqu’un est en train de rêvasser et d’émettre le signal SDS puisqu’il est sur son petit nuage. Puis il y a l’insertion de cette sonde d’alimentation, et que se passe-t-il ? Quel est le mécanisme ?
R : Cela peut activer des programmes subconscients et aussi utiliser la connexion pour stimuler des processus physiologiques qui poussent les personnes présentes dans l’environnement à interagir de façon à augmenter l’alimentation.
18 mai 2019
Q : (L) Le point suivant [sur ma liste de pratiques destinées à se protéger contre les manipulations et les nuisances hyperdimensionnelles] est de conserver l’énergie et de ne pas alimenter la dynamique SDS.
R : Encore un point important et l’un des plus difficiles étant donné que les SDS ont recours à bien des astuces et des pièges pour attirer les gens dans une dynamique négative afin qu’ils deviennent de la nourriture.
13 mai 2023
Q : (Navigator) Les « égrégores »,tels que les décrit [Mark] Stavish, existent-ils ? Une entité créée à partir des pensées d'un groupe de personnes, qui acquiert ensuite une conscience propre et a besoin d'être alimentée de temps en temps, et qui peut être positive ou négative. [...]
R : Il en est assez proche, sauf que cela se produit généralement de haut en bas. C'est-à-dire qu'une entité peut influencer un groupe de personnes pour qu'elles entreprennent certaines actions et constituent ainsi une réserve de nourriture pour celle-ci. […] Une telle création est davantage une fonction de la FRV et se dissipera lors de l'éclatement du groupe.
Q : (L) Mais pendant un certain temps, il y a quelque chose qui attire et recycle l'énergie au sein d'un groupe.
R : Oui. [Mais cela n’a pas de persistance ou d'autonomie.] [...]
Q : (L) Donc, dans les cas dont parle Stavish, où cela dure plus longtemps et où il semble que cela évolue et commence à devenir exigeant et à se rebeller, qu'est-ce que c'est ?
R : Il s'agit généralement d'un 4D SDS qui se sert d’un groupe de personnes pour se nourrir et implanter des idées en 3D. Notez que l'éminence grise de ces groupes est souvent un psychopathe, et vous pouvez lire des études récentes pour comprendre comment la transformation s’effectue. [...]
Q : (Navigator) Dans l'une des annexes du livre, Stavish raconte la maladie brutale qui a affecté son groupe ésotérique à la mort du maître, ou aux alentours de sa mort. Il pense que l’égrégore du groupe en était responsable, mais était-ce le cas ?
R : Dispositif d’alimentation 4D SDS opérant par l'intermédiaire d'attachements astraux.
Les reptoïdes peuvent utiliser ce genre d’« esprits » ou d’attachements « astraux » pour atteindre leurs objectifs (25/10/1994).
Pour finir, il y a aussi ceci :
13 janvier 2024
Q : (Approaching Infinity) Jeremy Corbell et George Knapp ont récemment publié une vidéo provenant d'Irak et prise sur une base fin 2017, d'un étrange ovni en forme de méduse uniquement visible grâce à une caméra thermique. Elle ressemble à de nombreuses autres vidéos que des personnes ont filmées au fil des ans. L’authenticité de la vidéo elle-même a été confirmée par un soldat stationné sur la base qui a déclaré qu'ils l’avaient surnommé le monstre spaghetti. Quel était cet objet ?
R : Être énergétique de 4D qui se nourrit de la souffrance humaine.
Redfern attribue plusieurs des maladies survenant après des rencontres paranormales (anémie, rectocolite hémorragique, perte de poids) à cette alimentation énergétique. Il cite le cas d’Albert Bender (célèbre pour ses Men in Black) qui a souffert de migraines, d’intenses maux d’estomac, de vertiges et de pertes de mémoires après sa rencontre.
Quand les Hommes en noir se rapprochèrent, Bender commença à se sentir mal. Il fut pris de nausée, et une odeur de soufre inonda le grenier. Pire encore, Bender se sentit défaillir. Son niveau d’énergie chuta tel celui d’un diabétique […] Il était transi de froid et s’était mis à trembler. Même dans cet état brumeux et maladif, Bender parvint à remarquer un détail qui lui glaça le sang : plus il s’affaiblissait, plus les yeux du terrible trio devenaient vifs et brillants. […] Petit à petit, Albert Bender se faisait manger – voire dévorer.
Curieusement, « les Hommes en noir manifestent également une aversion pour la nourriture et les boissons conventionnelles ». Redfern cite le cas de MIB perplexes devant des aliments comme de la gelée (et ayant maladroitement tenté de la boire), du steak (commandé mais laissé intact) et de la bière. L’expérienceuse Jo Ann Koch « se sentit de plus en plus affaiblie » après sa rencontre avec un Homme en noir « et fut rapidement admise à l’hôpital lorsque son taux d’hémoglobine descendit à 6. Un litre de sang lui fut transfusé en urgence. » (Ce détail prendra toute son importance dans la prochaine partie.)
Se référant aux fées du folklore, Redfern cite Patricia Monaghan : « Chaque substance sur Terre recèle en elle sa foyson, [c’est-à-dire sa force vitale, son essence] […] la foyson d’un aliment constitue son pouvoir nutritif, et selon le folklore irlandais, c’est elle que les fées arrachaient des aliments lorsqu’elles les volaient. Le lait peut rester là, onctueux dans le seau à lait, mais sans sa foyson, il n’a plus de pouvoir nutritif. » Le livre de Cutchin précédemment mentionné se concentre sur tous les aspects de la nourriture et des expériences paranormales. Sur la foyson, il écrit :
On retrouve des idées analogues au concept de foyson chez le djinn arabe qui « mange de la nourriture humaine en lui dérobant son énergie ». Les aliments dépourvus de foyson sont impropres à la consommation humaine. Dans son ouvrage phare The Fairy-Faith in Celtic Countries, Evans-Wentz précise avoir appris que les aliments laissés en offrande aux fées « ne pouvaient ensuite être consommés par l’homme ou des bêtes, pas même des cochons […] L’idée sous-jacente semble être que les fées extraient l’essence spirituelle de la nourriture qui leur est offerte en ne laissant que les éléments plus grossiers. »
Il cite un cas chilien de 1970, qui n’est pas sans rappeler une caractéristique courante des mutilations de bétail, « où une famille avait aperçu une petite créature se faufiler dans un pâturage ».
Le lendemain, ils retrouvèrent dix de leurs lamas vidés de leur sang. La famille tenta de cuisiner l’un des animaux, mais la viande avait un goût infect, et elle constata que même les vautours venus se repaître des carcasses les vomissaient ; elle n’eut alors pas d’autre choix que de brûler tout ce qui restait.
Le bétail retrouvé exsangue et mutilé est-il aussi dépouillé de sa foyson ?
Au vu du silence qui entoure ces sujets, Nick Redfern conclut : « le déni, le rejet et l’ignorance des desseins des parasites paranormaux a permis à ces créatures d’opérer dans notre monde. Cela leur laisse carte blanche pour faire tout ce qu’ils souhaitent, quand ils le souhaitent et comme ils le souhaitent. »
Lectures complémentaires
Nick Redfern : Paranormal Parasites: The Voracious Appetites of Soul-Sucking Supernatural Entities (2018)
Paul Eno : Dancing Past the Graveyard: Poltergeists, Parasites, Parallel Worlds, and God (2019)