Les mutilations de bétail
Alimentation des intelligences non humaines et mimétisme bidirectionnel
Les signalements de morts, de disparitions et de mutilations suspectes d’animaux remontent au moins au début des années 1600. Cependant, les premiers comptes-rendus circonstanciés ne sont apparus qu’en 1967 avec le cas de « Snippy », il est donc difficile de savoir si les signalements plus anciens décrivaient le même phénomène. Ces derniers faisaient souvent état d’animaux mystérieusement vidés de leur sang et auxquels il manquait parfois des morceaux de peau et d’organes. Les témoignages modernes – qui concernent généralement du bétail – fournissent des détails supplémentaires permettant de distinguer ces occurrences de l’éventuelle activité d’un prédateur, d’un charognard ou d’êtres humains. Ceux-ci comprennent (d’après l’ouvrage de 2014 de Christopher O’Brien, Stalking the Herd) :
des carcasses totalement ou quasiment exsangues avec aucune ou peu de traces de sang sur les blessures, le sol ou ailleurs ; le sang qui subsiste parfois (dans le cœur par exemple) peut ne pas coaguler correctement ;
des excisions de peau, de chair, et d’organes avec une remarquable précision chirurgicale, souvent au moyen d’incisions circulaires ou à angle droit que les vétérinaires jugent difficiles ou impossibles à reproduire ;
les ablations typiques concernent les yeux, les oreilles, les lèvres, la langue, le rectum, les organes génitaux (en tout ou partie), les mamelles, les dents et divers organes internes, dont le cerveau et la colonne vertébrale ; les organes internes sont parfois retirés à travers un trou circulaire (par exemple, des intestins prélevés à travers un trou dans le scrotum) ;
lorsque des parties externes comme les mamelles sont retirées, les tissus sous-jacents ne présentent pas de lésions ; des fœtus de veaux sont parfois prélevés sans endommager le placenta ; il arrive également que les yeux et les oreilles soient retirés sur la partie du corps qui touche le sol, ce qui exclut l’œuvre de charognards ;
des parties comme le rectum sont souvent « évidées », comme si une cuillère à glace ou un large instrument circulaire ou cylindrique avait été utilisé pour prélever un segment de l’animal à plusieurs centimètres de profondeur ;
lorsque de la peau et des muscles sont retirés d’un os (de la jambe ou de la tête), celui-ci apparaît propre et blanchit, comme s’il avait été exposé au soleil pendant longtemps ;
les entailles sont cautérisées et présentent des signes d’exposition à une source de forte chaleur ; les carcasses portent parfois des marques de brûlures ; il existe de rares cas de coupures en dents de scie ; parfois, les poils tombent ou se détachent facilement autour de la plaie ;
de l’hémoglobine pure et sèche a été retrouvée sur certaines carcasses (et des poumons atteints de pneumonie) ; l’hémoglobine était toujours active, tous les autres composants étant absents ;
le toupillon est parfois retiré et disposé de manière artistique à proximité ou autour de la carcasse ;
les autres animaux de ferme et les charognards (des coyotes, par exemple) évitent la carcasse qui peut mettre plus de temps que d’ordinaire à se décomposer (parfois des mois), ou au contraire le faire très rapidement ; les troupeaux manifestent parfois un comportement étrange, comme le fait d’encercler la carcasse ;
ni empreintes ni traces de lutte ne sont constatés près des carcasses ; celles-ci sont parfois retrouvées dans des zones de pâturage difficile d’accès ;
certaines présentent des signes de chute depuis les airs, comme des branches cassées au-dessus ou des fractures des jambes ou de la colonne vertébrale ;
les mutilations sont réalisées en très peu de temps et très discrètement ; sur le ranch Skinwalker, l’une d’elles s’est produite en 30 à 40 minutes alors que le fermier se trouvait dans le même pâturage mais ne regardait pas dans cette direction ;
présence de substances inexplicables, par exemple une substance blanche transparente ressemblant à de la toile d’araignée dont l’analyse a montré qu’il s’agissait d’un dérivé du pétrole, ou un liquide parfaitement stérile et non biologique ;
avant, pendant ou après la mutilation, des PAN (lumières anormales ou aéronefs) sont fréquemment observés, le plus souvent des hélicoptères mystérieux dont certains au moins ne sont pas ordinaires (appareils silencieux ou faisant un bruit atypique comme un bourdonnement, un sifflement ou un souffle), ainsi que des cryptides humanoïdes (Bigfoot, hommes portant des capuches, des robes, des masques ou autres vêtements étranges qui glissent ou bondissent de manière inhabituelle).
Quelques vidéos de Christopher O’Brien :
Le phénomène a culminé en 1975 (année où le cheptel des États-Unis a atteint un sommet), mais perdure encore. Bien que des mutilations d’animaux se produisent dans le monde entier, les mutilations de bétail se limitent aux pays chrétiens, et si dans ces nations les bovins prédominent, le phénomène concerne la plupart des espèces (toutes variétés d’animaux de ferme, élans, cerfs, bisons, caribous, chiens, chats domestiques, etc.) Les régions les plus affectées se situent souvent à proximité de sites plus ou moins liés à l’énergie nucléaire (aires de lancement, usines, mines), dont des bases de l’armée de l’air.
Certaines caractéristiques récurrentes suggèrent effectivement une implication de l’être humain, du moins dans certains cas, par exemple :
des substances trouvées dans la carcasse comme du sulfate de nicotine, de la chlorpromazine, des coagulants, des anticoagulants, etc. ;
des blessures par balle apparentes (même si, parfois, les balles n’ont pas pu être retrouvées) ;
des objets laissés à proximité de la scène, dont certains semblent l’avoir été délibérément, par exemple : scalpels, gants, mégots de cigarette, sable à l’intérieur d’un orifice, plaquettes de brouillage ;
des incisions effectuées avec un objet tranchant mais comparativement peu soignées ;
présence de véritables hélicoptères.
Ces éléments ont conduit des chercheurs à penser qu’au moins certaines mutilations seraient des imitations qui se serviraient éventuellement du phénomène réel comme couverture, peut-être dans le but de réaliser des expériences biologiques.
Il existe plusieurs théories concernant le phénomène de mutilation, mais aucune ne parvient à elle seule à rendre compte de tous ses aspects. Ces théories vont des charognards aux intelligences non humaines (ovnis/aliens), en passant par des sectes sataniques, des agents privés ou gouvernementaux/militaires et des cryptides. Les transcriptions cassiopéennes suggèrent que toutes ces hypothèses pourraient être plus ou moins vraies.
21 janvier 1995
Q : (L) Dans les années 1970, il y a eu pas mal de cas de mutilations animales dans le centre des États-Unis. Le sujet a été médiatisé pendant un certain temps, puis est retombé dans l’oubli et a été étouffé. Un tas d’idées et de théories ont circulé à l’époque. Ce que je voudrais savoir c’est qui a procédé aux mutilations des animaux ?
R : Nombreux.
Q : OK, qui a commis la plupart de ces mutilations ?
R : Pas applicable.
Q : D’accord. Certaines de ces mutilations ont-elles été commises par le gouvernement étasunien, ou bien par des éléments au sein du gouvernement ?
R : Ont été ?
Q : (L) Autrement dit, elles ont toujours lieu. Bon. Donc ils le font toujours. Certains de ces actes ont-ils été, ou sont-ils commis par des aliens ?
R : Oui.
L’association entre aliens et mutilation de bétail a été faite dès 1967, principalement en raison de l’extraordinaire précision des procédures qui semblent recourir à une technologie extrêmement avancée, de l’aura de mystère qui entoure le phénomène, et des observations d’ovnis à proximité de certains sites de mutilation. Bien des ufologues se sont tout d’abord montrés fortement réticents à associer ces deux phénomènes, certains (comme J. Allen Hynek et l’APRO) allant même jusqu’à se fier à une enquête gouvernementale ayant fuité qui rejetait toute la responsabilité sur des satanistes. Dans son livre de 1989, Alien Harvest, Linda Moulton Howe expose avec brio les arguments en faveur d’un lien significatif entre ces deux phénomènes. (Voir ici le témoignage d’un fermier sur deux aliens portant un veau.)
Outre la corrélation entre observations d’ovnis et mutilations, il existe deux autres types de preuves à l’appui : des témoignages sur des aliens qui interagissent avec du gros gibier, et d’autres provenant d’abductés. Pour les premiers, le plus cité concerne un élan soulevé et transporté par un ovni (chaîne des Cascades, 25 février 1999). Les seconds incluent plusieurs cas, tels que ceux cités par Linda Howe dans ses livres (par exemple, Judy Doraty, Cindy Tindle et Timothy Fint), où les abductés ont vu du bétail entrer dans l’appareil grâce à un faisceau lumineux et/ou être mutilé/disséqué à bord. Il y a également celui de Myrna Hansen sur lequel Paul Bennewitz, de l’APRO, a enquêté. Timothy Good en cite un autre dans son livre Contacts extraterrestres (1999). Le témoin, de Porto Rico, raconte qu’un faisceau de lumière conique bleu-vert est descendu de l’engin et a enveloppé deux des vaches dont l’une a été transportée par lévitation vers l’appareil. Lorsque la vache s’est retrouvée à environ 1,50 mètres en dessous de celui-ci, elle a alors disparu subitement et le vaisseau a commencé à s’éloigner lentement.
Un troisième type de preuve éventuel nous vient d’informateurs ayant travaillé pour le gouvernement, comme Philip J. Corso, qui affirment que ce lien était admis dans les cercles militaires ou du renseignement (ce point est abordé plus en détails un peu plus loin).
Q : (T) Dans le même but ?
R : Non.
Q : Pourquoi le gouvernement a-t-il mutilé des animaux ?
R : Imitation, afin de brouiller les pistes.
C’est ce que le Dr Colm Kelleher, du NIDS et de l’AAWSAP, appelle du « mimétisme bidirectionnel ».
Nous avons ici un phénomène qui a commencé, pense-t-on, dans les années 1950 […] Nous avons donc ici un phénomène « authentique », mais simultanément, nous sommes confrontés à ces cas occasionnels où il est assez évident qu’il y a eu recours à des sédatifs, à des aiguilles hypodermiques et à de l’équipement médical pour vider les animaux de leur sang. Nous avons donc postulé que deux phénomènes se produisaient en parallèle, ce qui crée énormément de confusion. Nous avons 1) un phénomène « authentique » et 2) ce projet de surveillance médicale qui a été mené à bien tout en sachant que la plupart des vétérinaires ne toucheront pas à un animal mutilé à cause de l’association avec les « aliens ». Donc, ces petits programmes de surveillance secrets sont […] réalisés en sachant que les mutilations de bétail servent de paravent pour protéger les coupables et leur éviter de se faire prendre.
Il s’agit donc d’un mimétisme bidirectionnel où nous avons le phénomène « réel », un petit programme qui se dissimule derrière le phénomène et ensuite le phénomène qui imite le programme de surveillance gouvernemental. […] Le problème, c’est que l’on observe les mutilations de bétail à travers le prisme de deux couches de supercherie. Il y a la supercherie qui vient du phénomène lui-même et aussi celle du programme gouvernemental qui se sert des mutilations de bétail comme d’une couverture pour effectuer sa surveillance. […] Pour une personne extérieure abordant la question, il est extrêmement difficile de percer ces deux couches de supercherie.
Q : (L) Il a donc imité ces actes pour brouiller les pistes. L’a-t-il fait pour protéger les aliens qui, de leur côté, commettaient ces actes de mutilation pour leurs propres raisons ?
R : Non.
Q : L’a-t-il fait pour éviter que la population n’apprenne qu’il est en contact avec des aliens ?
R : Il le fait pour que la population ignore ce qui risquerait de faire exploser la société.
Q : (L) Quelle information dissimule-t-il au public et à la société ? De quelle activité s’agit-il ?
R : Les humains mangent le bétail ; les aliens vous mangent.
Des figures importantes de l’ufologie ont récemment fait état de raisons similaires pour justifier cette dissimulation. En réponse à une question concernant « les présumés blessures ou décès dus aux ovnis et à leurs occupants » et s’ils étaient accidentels/fortuits ou intentionnels, le journaliste Ross Coulthart a répondu (2023) : « Je m’excuse si j’ébranle qui que ce soit mais… non, je suis… Et je me souviens très clairement de ce moment lors de ma conversation avec David Grusch, mais aussi avec d’autres personnes. Non, je parle ici de malveillance. Je parle d’agressions volontairement ciblées commises par des intelligences non humaines qui n’étaient pas accidentelles. Il s’agissait d’actes délibérés visant à assassiner, tuer et mutiler. »
Dans l’émission The Joe Rogan Experience (2023), le journaliste George Knapp a déclaré : « Qu’y aurait-il de si horrible pour qu’ils ne puissent pas nous en parler ? Disons que ces aliens, d’où qu’ils viennent, nous ont fabriqués, que nous sommes une expérience génétique. Qu’ils ont créé nos religions, nos personnages religieux. Que nous sommes un produit agricole et que d’une certaine manière, ils nous récoltent. »
Le Dr Garry Nolan a quant à lui déclaré (2022) : « Peut-être y a-t-il chez eux quelque chose de réellement effrayant… de savoir que nous appartenons à quelqu’un d’autre. Ou, que Dieu nous en préserve, peut-être que nous sommes exploités dans un certain but. Ce serait affreux, ce serait révoltant. Je veux dire, ce n’est pas comme si nous-mêmes n’exploitions pas les animaux. Le simple fait de savoir que nous ne sommes pas au sommet de la chaîne alimentaire pourrait être une perspective déplaisante. »
Le Dr Diana Walsh Pasulka (2023) : « Je ne me suis pas plongée dans l’étude de ce domaine avec une idée préconçue sur le caractère bienveillant ou malveillant des extraterrestres. Je n’y croyais pas, alors les interprétations m’importaient peu. Au fil des ans passés à interroger des scientifiques qui étudiaient le sujet et à travailler avec eux, j’ai fini par être très perturbée, car ces expériences semblent pour une large part avoir un côté que l’on qualifierait de dégoûtant. Voire pire. »
Le Dr Eric Davis (2019) : « Les ovnis n’ont pas été bienveillants. Cela a toujours été d’incessantes parties de cache-cache. “Nous utiliserons la furtivité au maximum pour que les êtres humains ne nous voient pas dans l’environnement. Et si nous voulons nous montrer, nous nous montrons et faisons nos petites cabrioles avant de disparaître.” Ils pourraient tester notre technologie. »
David Grusch (2023) : « Nous disposons aussi de “produits biologiques”, c’est-à-dire des corps, dont Grusch ne peut librement préciser les caractéristiques bien qu’il laisse entendre qu’ils sont de formes et de tailles diverses. Pour finir, il a appris que ces êtres pourraient ne pas être amicaux. “Au mieux indifférents envers nous”, dit-il. Il suggère également qu’ils appartiennent à des groupes ou des espèces qui pourraient, dans certains cas, se détester mutuellement. »
Jim Semivan (2023) : « Et si nous savions aussi que les aliens ne sont pas nos amis, qu’ils peuvent nous manipuler autant qu’ils le veulent, que nous sommes effectivement leur propriété et que nous ne pouvons strictement rien y faire ? Je pense que c’est le dilemme ultime pour le gouvernement des États-Unis et d’autres nations. Il est tout bonnement impossible de révéler cette partie de l’histoire. »
Tom DeLonge (2017) : « Les gens sont-ils vraiment prêts à comprendre et à s’avouer que nous ne sommes pas totalement aux commandes comme nous le pensons ? Quand on découvre ce qui se passe réellement depuis des milliers d’années et qu’on réalise “Punaise, on appartient à quelqu’un !” et en fait, ils pourraient bien être plusieurs et se détester les uns les autres, et on pourrait être les victimes d’une guerre par procuration… Ce n’est pas rien ! C’est pour cela que l’on prend le temps de déballer tout ça sur plusieurs années. »
Tucker Carlson (2023) : « Si vous parlez aux personnes qui sont réellement bien informées, qui ont rassemblé elles-mêmes des connaissances sur le sujet, il y a des parties de l’histoire qui […] sont vraiment, vraiment, vraiment sombres. Tellement sombres que je n’en ai même pas parlé à ma femme. […] Une partie [de la raison pour laquelle cela ne fait pas la Une des journaux], c’est que le public est incapable de gérer ça. C’est trop. Les implications sont trop profondes. Parce que j’ai entendu des choses où je me suis dit “Bon sang, je ne tiens même pas à savoir ça” […] L’excuse que l’on entend souvent [pour ne rien dévoiler] c’est que cela effrayerait trop les gens […] mais je crois vraiment que d’un certain côté, ce n’est pas totalement insensé. Car il y a certains trucs, si c’est vrai – ce que j’ai un peu tendance à croire – c’est tellement radical que… on ne veut pas le dire aux personnes qui nous sont les plus chères car, pourquoi voudriez-vous ébranler quelqu’un à ce point. Alors je comprends un peu ça, je déteste l’admettre. »
Q : (T) Ils ont déjà dit ça. (L) Bon, OK, nous mangeons le deuxième niveau, et ils mangent le troisième. Les aliens sont-ils responsables de certaines mutilations de bétail ?
R : Oui.
Q : Qu’est-ce qu’ils font au bétail ?
R : Sang.
Q : (L) Ils les vident de leur sang ?
R : Oui.
Q : (J) Ils le boivent ? À quoi ce sang leur sert-il ?
R : Se nourrir.
Ce thème de l’alimentation des aliens sera abordé plus en détails dans de futures publications.
Q : (L) D’accord, mais vous venez de dire que les aliens mangeaient les humains et que les humains mangeaient les animaux. Pourquoi les aliens se nourrissent-ils de bétail si ce n’est pas leur alimentation normale ? (J) La gastronomie. (T) Le sang de vache est très proche du sang humain.
R : Vous ne consommez jamais de substituts ?
Q : (T) Hamburger minute ? Prêts à cuire… (J) C’est servi ! [Rires] Désolé !
R : Manifestement, les substituts sont moins sujets à controverse !
Q : (L) Autrement dit, ils mangent du bétail pour ne pas avoir à manger autant d’humains : ça « contrarierait » trop les gens. C’est ça ? Mon Dieu.
R : Oui.
John Keel a probablement été le premier ufologue à prendre cette idée au sérieux. Dans Disneyland of the Gods (1988), il a écrit :
Dans d’innombrables cas de Men in Black, les témoins ont prétendu avoir ressenti un engourdissement ou une paralysie en présence de ces étranges hommes en noir. Autrefois, en Europe centrale, on pensait que ces mystérieux personnages vêtus de noir étaient des vampires malfaisants. Selon la légende, ils paralysaient d’abord leurs victimes d’un regard hypnotique avant de boire leur sang. Se pourrait-il que ces légendes reposent sur des faits ? Heureusement, il n’existe pas de cas vérifiable de vampirisme dans les temps modernes. En revanche, de très nombreuses personnes disparaissent chaque année, et nous pourrions spéculer que les vampires modernes sont désormais suffisamment astucieux pour dissimuler ou enterrer les preuves incriminantes. Ou peut-être ont-ils tourné leurs pratiques sanguinaires vers les animaux, car tuer des êtres humains est devenu trop difficile et trop complexe. Tout ceci relance l’une des théories les plus effrayantes d’Ivan Sanderson : que la Terre est une ferme dont nous sommes la récolte. Les ovnis nous assaillent-ils fréquemment pour assouvir leur soif de sang en agissant derrière l’écran de fumée de la supercherie et de la confusion ? […] Manifestement, quelqu’un ou quelque chose a besoin d’énormes quantités de sang animal et humain, et nous le fournissons depuis des centaines d’années.
Outre Keel, John Lear a suggéré une hypothèse semblable en 1987 (voir ci-dessous) également reprise par le lieutenant-colonel Corso dans son livre de 1997 [2017] coécrit avec William J. Birnes, Au lendemain de Roswell : « Ce n’étaient pourtant pas les Russes qui s’en prenaient à notre bétail. […] C’étaient les EBE qui faisaient des expériences de prélèvement d’organes, peut-être pour les transplanter dans une autre espèce, ou pour concocter une forme de nutrition, ou même pour créer une sorte d’entité biologique hybride. » Selon Corso, si les premiers cas médiatisés n’ont fait la Une qu’en 1967, le « groupe de travail » ovni était au courant de ce phénomène dès le milieu des années 1950 (ce que Kelleher, ci-dessus, suggère également). Oscar Wayne Wolff (Corps d’armée des transmissions), qui a affirmé n’avoir jamais lu le livre de Corso, a raconté quelque chose de similaire à Linda Howe en 1998 : il avait été informé de cas de mutilations durant la période de 1957-1960, alors qu’il travaillait sur un projet de la CIA.
Q : (T) Puisqu’ils mangent du bétail au lieu des humains, est-ce que ça veut dire qu’ils vont arrêter de manger des humains ? (L) Terry, ne fais pas l’ignorant ! (T) Eh bien, c’est la question logique suivante.
R : Une partie de leur « nourriture » humaine est exclusivement composée d’émotions ; la chair est l’équivalent d’un filet mignon, si vous préférez.
Corso aussi a évoqué la même chose en 1997 : « Nous ne connaissions pas leurs raisons dans les années 1950 et 1960, et nous ne pouvons faire aujourd’hui que des suppositions éclairées, mais, à l’époque, nous étions en proie à la terrible peur que si nous ne trouvions pas les moyens de nous défendre contre les EBE, nous serions parqués dans un enclos et utilisés pour remplacer des tissus ou pour servir de source alimentaire. »
Q : (T) Une partie de leur nourriture est exclusivement composée d’émotions. Quand nous parlons d’aliens, nous parlons des Gris ?
R : Non.
Q : (T) Nous parlons des Lézards.
R : Oui.
Q : (T) D’accord. Et de quoi se nourrissent les Gris ?
R : De plasma.
Q : (T) OK : les Gris se nourrissent de plasma, de plasma sanguin de tel ou tel genre, c’est bien ce que vous voulez dire ?
R : Oui.
Comme nous l’avons déjà dit, des résidus d’hémoglobine pure ont été retrouvés sur du bétail mutilé. Une analyse de cette hémoglobine effectuée par le chimiste P. A. Budinger pour le biophysicien W. C. Levengood et Linda Howe a conclu que « sa présence suggère qu’un traitement de la totalité du sang a eu lieu à l’endroit de l’excision. […] [La procédure habituelle pour accomplir cela] nécessite de séparer les globules rouges des composants plasmatiques plus légers par centrifugation. […] Une autre centrifugation élimine les enveloppes cellulaires déchirées pour ne laisser qu’une solution d’hémoglobine limpide et rouge. »
Q : (T) OK, donc c’est pour ça qu’ils prennent le sang ; est-ce que les Gris se nourrissent d’émotions ?
R : Non. […] Ils les envoient aux Lézards.
Q : (T) Les Gris envoient les émotions aux Lézards ? Ce sont des transmetteurs ?
R : Ils transfèrent l’énergie au moyen de la technologie.
Q : [...] (T) Le bétail émet-il suffisamment d’émotions pour que les Gris puissent aussi en nourrir les Lézards ?
R : Non. C’est uniquement physique. Les Lézards comme les Gris n’ont besoin de nourriture physique que lorsqu’ils « visitent » le 3e niveau, pas quand ils se trouvent dans leur univers naturel, la 4e densité, où ils se nourrissent uniquement d’émotions.
Q : (T) Les Gris ne sont pas strictement de 3e densité ? Parce qu’ils ont été créés par les Lézards ?
R : Oui. Exact, eux aussi sont du 4e niveau.
Q : (L) […] Quelle technologie utilisent-ils pour exciser chirurgicalement certaines zones de l’anatomie du bétail, est-ce que c’est fait au laser ?
R : Ressemble au laser.
Iona Hoeppner a analysé une mutilation en 1980, elle précise : « J’ai procédé à des examens microscopiques minutieux au niveau du tissu excisé sur le ventre. Ce n’était pas une entaille ni une brûlure au laser. Aucune cellule n’était détruite. Elle (l’incision) se distinguait entre les cellules, cellule après cellule. Aucune cellule n’a été désorganisée lors de la coupure pratiquée par le mutilateur. Je ne connais aucun instrument qui pourrait réaliser cela. » En 1998, David Perkins a cité un anatomopathologiste chirurgical qui a constaté « des signes de cautérisation thermique et de “vésiculation” de l’épiderme sur le bord du tissu » ; un laboratoire de l’université d’état de l’Oregon a lui constaté en 1991 « une bande de nécrose de coagulation compatible avec une incision provoquée par de la chaleur du type unité électro-chirurgicale » ; et le Dr John Altshuler de Denver a conclu que l’incision avait été réalisée au moyen d’une « forte chaleur comme pour de la chirurgie au laser […] probablement supérieure à 150° C ». (Cités par O’Brien.)
George Knapp parle des mutilations de bétail sur 8 News Now
En 1997, Corso a écrit : « Il y avait également une description et une esquisse d’un autre appareil ressemblant à une petite lampe de poche munie d’une source d’alimentation intégrée qui n’avait rien d’une pile électrique. Les scientifiques de Wright Field […] ont beaucoup joué avec cet appareil avant de se rendre compte qu’il s’agissait d’une sorte de chalumeau. Une fois, ils ont soufflé de la fumée devant le rayon, et celui-ci, auparavant invisible, a pris tout à coup la forme d’un minuscule tunnel. Pourquoi les occupants de ce vaisseau possédaient-ils un tel instrument à bord ? Je n’ai réalisé que plus tard, en lisant les rapports militaires sur les mutilations de bétail, dont des organes entiers avaient été enlevés sans que le tissu cellulaire environnant porte la moindre trace de traumatisme, que ce chalumeau inclus dans le dossier Roswell était en réalité un instrument chirurgical apparenté au scalpel et utilisé par les extraterrestres pour effectuer des expériences médicales sur nos bestiaux. » Ici, Corso évoque cet aspect en 1996 :
Q : (L) Bon, puisqu’on a remarqué que très fréquemment les mutilations faites à du bétail consistent à prélever des parties bien spécifiques du corps, comme les yeux, les parties génitales — ils enlèvent le sphincter anal jusqu’au côlon — à quoi servent ces organes en particulier ? Je veux dire, est-ce qu’ils excisent le rectum, placent une pompe à cet endroit et aspirent tout le sang ? [...] Pourquoi ? Dans quel but font-ils cela ?
R : Pas loin.
Q : (L) Pas loin ? Je brûle ?
R : Oui. [...]
Q : (L) Bien, je pense qu’on a quasiment répondu à cette question, mais il est fréquent que l’observation d’hélicoptères noirs sans signes distinctifs soit associée au phénomène des mutilations de bétail. C’est quoi ces hélicoptères ? Et qui ?
R : Variable.
Q : (L) Certains pourraient-ils être des vaisseaux aliens camouflés ? Certains de ces hélicoptères appartiennent-ils au gouvernement étasunien ?
R : Oui aux deux.
Dans Top Secret Alien Abduction Files (2018), Nick Redfern écrit : « Dans certains cas, les témoins ont dit avoir vu des hélicoptères noirs voler de manière totalement silencieuse. Certains ont juré que les hélicoptères avaient disparu dans un éclair de lumière – ce qui a conduit certains ufologues à conclure que ces hélicoptères étaient en réalité des vaisseaux aliens capables de modifier leur apparence et de revêtir de multiples formes. »
Q : (T) Certains de ces hélicoptères appartiennent-ils à des entreprises privées ?
R : Oui.
Q : (L) Mon dieu, Terry, avais-tu besoin de faire ça ! Un nouveau sac de nœuds !
R : Tout est interconnecté.
Autrement dit, encore plus de mimétisme bidirectionnel. Dans un autre contexte, Kelleher explique :
Au NIDS, nous avons longuement étudié les triangles noirs. 150 cas. Ces engins faisaient environ 100 mètres de long, volaient à basse altitude. Ils étaient énormes et passaient au-dessus de quartiers entiers et d’autoroutes en se déplaçant à hauteur de la cime des arbres. Ils brillaient de mille feux et étaient silencieux. Après les dix premiers, nous avons pensé qu’il devait d’agir d’une technologie avancée d’un Programme à accès restreint de l’Air Force. Mais les pilotes ne prenaient-ils pas d’énormes risques en volant ainsi au-dessus de secteurs peuplés avec des appareils expérimentaux ? Après 100 cas, nous avons conclu qu’ils n’appartenaient pas à l’Air Force. Les pilotes ne respectaient aucune mesure de sécurité. Nous avons donc envisagé que le phénomène imitait les Programmes à accès restreint et avons avancé l’hypothèse du « mimétisme bidirectionnel » où le phénomène nous renvoyait ce que ces programmes faisaient.
Dès lors, il apparaît possible que, face au problème des mutilations, les sources militaires/gouvernementales aient commencé à se servir d’hélicoptères pour brouiller les cartes et induire en erreur toute future investigation. À leur tour, les intelligences non humaines ont réagi en imitant les hélicoptères, ce qui a encore plus embrouillé la question et suggéré l’intervention de sources humaines dans des cas où il n’y en avait pas.
Q : (L) OK, ça nous suffit. Qui sont les individus de type oriental qu’on a vus aux commandes d’hélicoptères et au volant de camionnettes blanches aperçues dans tout le pays ?
R : MIB.
Q : (T) Tu parles d’ouvrir un nouveau sac de nœuds ! (L) Je ne vais même pas me frotter à celui-là !
R : Et les imitateurs du gouvernement.
Voir notre article sur les Hommes en noir.
25 mai 1996
Q : (L) OK, j’ai aussi lu des choses sur les mutilations de bétail, que des parties spécifiques du corps sont excisées...
R : Rumen.
Q : (L) Qu’est-ce que c’est que ça ?
R : Partie des bovins.
Le rumen, ou panse, est le premier et le plus grand compartiment de l’estomac des ruminants qui est dédié à la fermentation. Il est rarement, si ce n’est jamais, mentionné dans les rapports sur les mutilations.
Q : (L) Pourquoi prélever un globe oculaire ? Que veulent-ils faire d’un seul globe oculaire ?
R : Étudier la configuration de l’âme.
Q : (L) On peut étudier la configuration d’une âme à partir d’un globe oculaire ?
R : Comme un magnétophone.
Q : (L) Pourquoi prélèvent-ils un bout de lèvre ?
R : Banque d’ADN.
Q : (L) Bon, de combien d’yeux et de banques d’ADN ont-ils besoin ? Ça se produit souvent.
R : Certaines sont des imitations perpétrées par le «gouvernement secret».
Q : (L) J’ai entendu une rumeur selon laquelle les Chupacabras font trois perforations et que l’une d’elles va jusqu’au cerveau. Est-ce vrai ?
R : Non.
Q : (L) Les histoires qu’on raconte dans le Sud-Ouest et au Mexique, et même dans le sud de la Floride, concernent-elles toutes les Chupacabras ?
R : Certaines.
Pour en savoir plus sur les Chupacabras, voir la série d’articles sur les transfenestrés, ceux-ci étant impliqués dans certaines mutilations, notamment celles qui se limitent à une exsanguination.
22 février 1997
R : […] Avez-vous entendu parler de sang synthétique et de modification du sang et du plasma, dernièrement ?
Q : (L) Tenez, un sac de nœuds ! Très bien, je l’ouvre ! Allez-y, parlez-nous du sang synthétique et du plasma sanguin. (T) Il y a probablement eu un tas de recherches là-dessus…
R : Moins de « mutilés » nécessaires.
En 2001, deux principaux types de sang artificiel étaient en développement : des substituts de globules rouges (pour le transport de l’oxygène) et de plaquettes (pour l’hémostase). Pour ces premiers, deux sous-types de substituts sont concernés : ceux à base d’hémoglobine et ceux à base d’hydrocarbure perfluoré (PFC). « Plusieurs formes différentes de substituts de plaquettes sont désormais en développement : les membranes plaquettaires injectables (IPM), les thrombosphères et les plaquettes humaines lyophilisées. Seul un produit, les IPM, font actuellement l’objet d’essais cliniques aux États-Unis. » Quant au plasma artificiel, il y a le liquide organique simulé.
7 juin 1997
Q : Y a-t-il une relation entre les restrictions alimentaires des Juifs, les directives liées au sacrifice des animaux sur l'autel données dans le Lévitique, et les mutilations actuelles de bétail et l'utilisation possible d'humains comme nourriture ?
R : Aucun lien entre ces variables .
Q : Bon, revenons en arrière : y a-t-il une relation entre les directives sacrificielles et les mutilations de bétail ?
R : Uniquement au sens large du point de vue des actions enzymatiques sur les leucocytes.
Bien que l’on ne sache pas si un quelconque processus pourrait impacter les enzymes leucocytaires d’un animal lors d’un sacrifice, en revanche, chez des animaux vivants, les actions enzymatiques leucocytaires peuvent être affectées par de fortes températures, par exemple. Par ailleurs, le stress précédant l’abattage peut provoquer des libérations rapides de certaine enzymes dans le sang (mais celles-ci sont sans effet sur les cellules sanguines).
Q : Cela signifie-t-il que les directives de préparation des animaux sacrificiels visaient à en faire de la « nourriture » pour aliens ?
R : Plutôt pour le transfert d’énergie.
Q : Parlez-vous de transfert d'énergie au sens a) du transfert de l'énergie de l'animal au moyen du sacrifice, ou b) du transfert de l'énergie de l'être humain effectuant le sacrifice vers l'animal, puis au travers de l'animal vers l'alien (et j'utilise le terme alien dans son sens le plus large) ?
R : Pourquoi pas les deux ?
15 août 2020
Q : (L) Posons la question à propos de ces mutilations de chevaux en France. L'article dit :
Des massacres « barbares » de chevaux mettent la campagne française en alerteLa police française enquête sur une série de massacres de chevaux impliquant la mutilation des corps des animaux.
Le dernier à Cortambert, un village de la région de Saône-et-Loire, s'est produit dans la nuit de vendredi.
L'oreille droite du cheval a été coupée, un de ses yeux a été arraché et ses organes génitaux ont été tranchés. « C'est absolument barbare », a déclaré un responsable local.
Une porte-parole de la police parisienne a déclaré qu'il y avait eu environ une dizaine de cas similaires à travers la France depuis le début de l'année, la plupart dans le nord, et beaucoup ont eu lieu dans des prairies isolées.
Elle a précisé qu'il y avait également eu des cas entre 2014 et 2016 et que des massacres et mutilations de chevaux similaires avaient été signalés en Belgique et en Allemagne par le passé .
Mais ce nombre élevé en France est sans précédent sur une période aussi courte. [...]
Elle a expliqué que tous types de chevaux avaient été victimes, ainsi qu'un âne, et que la mutilation d'une oreille était un facteur commun. Aucune viande n'avait été prélevée sur les carcasses.(L) Eh bien, je suppose que les esprits curieux veulent savoir : que se passe-t-il ?
R : Les satanistes sont très actifs ces temps-ci.
Q : (L) Vous dites donc que c'est l'œuvre d'une sorte de secte satanique ?
R : Oui
Q : (L) Et ce n'est pas comme les mutilations de bétail effectuées par des aliens ?
R : Non
Dans le monde anglophone, les sectes ont été le suspect numéro un des mutilations commises par des êtres humains. Toutefois, les religions qui pratiquent ce genre de sacrifices, comme la Santeria, utilisent généralement des animaux de petite taille tels que des poulets et des chèvres, et aucun adepte de ce type n’a jamais été arrêté lors des multiples enquêtes de police menées sur le phénomène de mutilation de bétail. Il n’en demeure pas moins possible que certaines mutilations d’animaux de grande taille pourraient résulter de pratiques ritualistes. Dans ce cas, les techniques chirurgicales relèveraient probablement de la catégorie des incisions « peu soignées ».
6 juillet 2024
Q : (Approaching Infinity) Les prédateurs évitent de manger la chair des animaux mutilés et dans certains cas, celle-ci ne se décompose pas avant très longtemps. Pourquoi ?
R : Présence d’un verrou temporel de 4D qui constitue un effet secondaire de l’incident.
Q : (Joe) Donc, s’il y a eu une infiltration de la 4D – comme ils l’ont mentionné lors de la dernière séance à propos de ces moutons et tout ça, où une partie de la 4D se manifeste – si ça devait arriver et que quelqu’un se trouvait dans le secteur ou observait, verrait-il ces moutons, par exemple, ou ce qui pouvait se trouver dans ce secteur d’infiltration de la 4D ? Des gens parviendraient-ils à le voir ou cela disparaît-il de leur champ de vision ?
R : Certains verraient, mais la plupart non.
Q : (L) Est-ce à cause de ce verrou temporel qui verrouille le temps et qu’il y a un saut, puis le temps repart et les observateurs ne voient rien parce que l’incident s’est passé pendant ce saut ?
R : Oui.
Q : (Andromeda) Alors on dirait que ce verrou temporel ne fonctionne pas sur certaines personnes.
R : Oui. [...]
Q : (Ryan) Cette technologie fonctionne-t-elle selon la quatrième ou cinquième dimension sans affecter les trois principales dimensions spatiales ?
R : Pas loin.
Les « verrous temporels » seront abordés dans un prochain article de la série consacrée aux abductions.
Lectures complémentaires
Roberta Donovan & Keith Wolverton : Mystery Stalks the Prairie (1976)
Thomas R. Adams : The Choppers—and the Choppers: Mystery Helicopters and Animal Mutilations (1980/1991)
Daniel Kagan & Ian Summers : Mute Evidence (1984)
Linda Moulton Howe : An Alien Harvest (1989)
Tony Dodd: Alien Investigator: The Case Files of Britain’s Leading UFO Detective (1999)
Greg Valdez : Dulce Base: The Truth and Evidence from the Case Files of Gabe Valdez (2013)
Christopher O’Brien : Stalking the Herd: Unraveling the Cattle Mutilation Mystery (2014)