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Avatar de Moth

Bonjour,

Je suis entrain d'étudier ce phénomène, à l'aide de vos sessions; il me semble avoir aperçu une erreur de traduction.

https://cassiopaea.org/forum/threads/seance-du-17-juin-1995.46935/

"Comme tu le sais déjà, tous les êtres de 1ère, 2e, 3e et 4e densités possèdent une empreinte d’âme ; c’est celle-ci qui est extraite. Un double ou, si tu préfères, un clone de cette empreinte peut alors être réalisé et étudié en 4e densité. Puis l’empreinte originale est replacée dans le corps d’origine, quelle que soit la densité dans laquelle elle a été prélevée. Telle est la façon habituelle de procéder."

D'après ce que j'ai compris en étudiant le processus d'enlèvement de type "virtuel", le "soul imprint" est extrait, puis à partir de ce dernier, un corps est produit et c'est sur ce corps que diverses opérations ont lieu.

Aussi, permettez-moi de suggérer:

"un clone [à partir] de cette empreinte peut alors être réalisé"

à la place de

"un clone de cette empreinte peut alors être réalisé"

J'espère que je ne me suis pas trompé! Merci, à bientôt!

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Avatar de Harivel

(suite)

"C’est là la difficulté principale, mais c’est là également que nous trouvons la garantie de la possibilité de l’éveil, parce qu’il n’y a pas de légitimation organique d’un tel sommeil — l’homme peut s’éveiller. « Théoriquement il le peut, mais pratiquement cela est presque impossible, parce qu’aussitôt qu’un homme ouvre les yeux, s’éveille pour un moment, toutes les forces qui le retiennent dans le sommeil s’exercent de nouveau sur lui avec une énergie décuplée, et immédiatement il retombe endormi, rêvant très souvent qu’il est éveillé ou qu’il s’éveille. « Dans le sommeil ordinaire, en certains cas, l’homme voudrait s’éveiller, mais ne le peut pas. Il se dit qu’il est éveillé, mais, en réalité, il continue à dormir — et cela peut se produire à différentes reprises avant qu’il ne s’éveille enfin. Dans le cas du sommeil ordinaire, une fois l’homme éveillé, il est dans un état différent ; mais, dans le cas du sommeil hypnotique, c’est autre chose : il n’y a pas de signes objectifs, du moins quand on commence à s’éveiller ; l’homme ne peut pas se pincer pour voir s’il n’est pas endormi. Et si un homme — Dieu l’en préserve — a jamais entendu parler de signes objectifs, Kundalini les transforme aussitôt en imagination et en rêveries. « Faute de réaliser pleinement la difficulté de l’éveil, il est impossible de comprendre la nécessité d’un long et dur travail d’éveil. « En règle générale, que faut-il pour éveiller un homme endormi ? Il faut un bon choc. Mais lorsqu’un homme est profondément endormi, un seul choc ne suffit pas. Une longue période de chocs incessants est nécessaire. Par conséquent, il faut quelqu’un pour administrer ces chocs. J’ai déjà dit que l’homme désireux de s’éveiller doit embaucher un aide qui se chargera de le secouer pendant longtemps. Mais qui peut-il embaucher, si tout le monde dort ? Il embauche quelqu’un pour l’éveiller, mais celui-ci aussi tombe endormi. Quelle peut être son utilité ? Quant à l’homme réellement capable de se tenir éveillé, il refusera probablement de perdre son temps à réveiller les autres : son propre travail est pour lui autrement plus important. « Il y a aussi la possibilité de s’éveiller par des moyens mécaniques. On peut faire usage d’un réveille-matin. Le malheur veut que l’on s’habitue trop vite à n’importe quel réveille-matin : on cesse de l’entendre, tout simplement. Beaucoup de réveille-matin, avec des sonneries variées, sont donc nécessaires. L’homme doit littéralement s’entourer de réveils qui l’empêchent de dormir. Et ici encore surgissent des difficultés. Les réveils doivent être remontés ; pour les remonter, il est indispensable de s’en souvenir ; pour s’en souvenir, il faut souvent se réveiller. Mais voilà le pire : un homme s’habitue à tous les réveille-matin et, après un certain temps, il n’en dort que mieux. Par conséquent les réveils doivent être continuellement changés, il faut toujours en inventer de nouveaux. Avec le temps, cela peut aider un homme à s’éveiller. Or il y a fort peu de chance qu’il fasse tout ce travail d’inventer, de remonter et de changer tous ces réveils par lui-même, sans aide extérieure. Il est bien plus probable qu’ayant commencé ce travail, il ne tardera pas à s’endormir et que dans son sommeil il rêvera qu’il invente des réveils, qu’il les remonte, qu’il les change — et, comme je l’ai déjà dit, il n’en dormira que mieux. « Donc, pour s’éveiller, il faut toute une conjugaison d’efforts. Il est indispensable qu’il y ait quelqu’un pour réveiller le dormeur ; il est indispensable qu’il y ait quelqu’un pour surveiller le réveilleur ; il faut avoir des réveille-matin, et il faut aussi en inventer constamment de nouveaux. « Mais pour mener à bien cette entreprise et obtenir des résultats, un certain nombre de personnes doivent travailler ensemble. « Un homme seul ne peut rien faire.

« Avant toute autre chose, il a besoin d’aide. Mais un homme seul ne saurait compter sur une aide. Ceux qui sont capables d’aider évaluent leur temps à un très haut prix. Et naturellement ils préfèrent aider, disons vingt ou trente personnes désireuses de s’éveiller, plutôt qu’une seule. De plus, comme je l’ai déjà dit, un homme peut fort bien se tromper sur son éveil, prendre pour un éveil ce qui est simplement un nouveau rêve. Si quelques personnes décident de lutter ensemble contre le sommeil, elles s’éveilleront mutuellement. Il arrivera souvent qu’une vingtaine d’entre elles dormiront, mais la vingt et unième s’éveillera, et elle éveillera les autres. Il en va de même pour les réveille-matin. Un homme inventera un réveil, un second en inventera un autre, après quoi ils pourront faire un échange. Tous ensemble, ils peuvent être les uns pour les autres d’une grande aide, et sans cette aide mutuelle, aucun d’eux ne peut arriver à rien. « Donc, un homme qui veut s’éveiller doit chercher d’autres personnes qui veulent aussi s’éveiller, afin de travailler avec elles. Mais cela est plus vite dit que fait, parce que la mise en marche d’un tel travail et son organisation réclament une connaissance que l’homme ordinaire ne possède pas. Le travail doit être organisé et il doit y avoir un chef. Sans ces deux conditions, le travail ne peut pas donner les résultats attendus, et tous les efforts seront vains. Les gens pourront se torturer ; mais ces tortures ne les feront pas s’éveiller. Il semble que pour certaines personnes rien ne soit plus difficile à comprendre. Par elles-mêmes et de leur propre initiative, elles peuvent être capables de grands efforts et de grands sacrifices. Mais que leurs premiers efforts, leurs premiers sacrifices doivent être d’obéir à un autre, rien au monde ne les en persuadera jamais. Et elles ne veulent pas admettre que tous leurs efforts et tous leurs sacrifices, dans ce cas, ne peuvent servir à rien. « Le travail doit être organisé. Et il ne peut l’être que par un homme qui connaisse ses problèmes et ses buts, qui connaisse ses méthodes, étant lui-même passé, en son temps, par un tel travail organisé. « Le travail commence habituellement dans un petit groupe. Ce groupe est généralement en rapport avec toute une série de groupes analogues de différents niveaux, qui, tous ensemble, constituent ce qui peut être appelé une “école préparatoire”. « Le premier trait caractéristique des groupes, leur trait le plus essentiel, est qu’ils ne sont pas constitués selon le désir et les préférences de leurs membres. Les groupes sont constitués par le maître, qui choisit les types d’hommes capables, du point de vue de ses buts, de se rendre utiles les uns aux autres. « Nul travail de groupe n’est possible sans un maître. Et le travail de groupe sous un mauvais maître ne peut produire que des résultats négatifs. « Le second trait important du travail des groupes est que ceux-ci peuvent être en relation avec quelque but dont ceux qui commencent le travail ne sauraient se faire la moindre idée, et qui ne peut pas leur être expliqué avant qu’ils n’aient compris l’essence, les principes du travail, et toutes les idées qui s’y rattachent. Mais ce but vers lequel ils vont, et qu’ils servent sans le connaître, est le principe d’équilibre sans lequel leur travail ne saurait exister. La première tâche est de comprendre ce but, c’est-à-dire le but du maître. Lorsqu’ils ont compris ce but — bien qu’au début ce ne puisse être que partiellement — leur propre travail devient plus conscient, et par conséquent, il peut donner de meilleurs résultats. Mais, comme je l’ai déjà dit, il arrive souvent que le but du maître ne puisse pas être expliqué au commencement. « Donc, le premier but d’un homme qui commence l’étude de soi doit être de rejoindre un groupe. L’étude de soi ne peut avoir lieu que dans des groupes convenablement organisés. Un homme seul ne peut pas se voir lui-même. Mais un certain nombre de personnes associées dans ce dessein, s’apporteront, même sans le vouloir, une aide mutuelle. L’un des traits typiques de la nature humaine est que l’homme voit toujours plus facilement les défauts des autres que les siens propres. En même temps, sur le chemin de l’étude de soi, l’homme apprend qu’il possède lui-même tous les défauts qu’il trouve chez autrui. Or, il y a bien des choses qu’il ne voit pas en lui-même, tandis que chez les autres il commence à les voir. Cependant, comme je viens de le dire, il sait maintenant que ces traits sont aussi les siens. "

Qu'en pensez-vous ? Encore un exemple, au sujet de Kundalini, sa description varie selon si nous avons à faire à une source fiable ou non.

Billie

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