19 novembre 1994
Q : (L) Qui a enlevé Betty Andreasson ?
R : Les Gris.
Q : (L) Les informations que Betty Andreasson a reçues de ces êtres qui l’ont enlevée étaient-elles des informations-écran, de fausses informations ou de la désinformation ?
R : Tout cela et certaines factuelles. [...]
Q : (L) Où Betty Andreasson a-t-elle été emmenée lorsqu’elle a vu le Phoenix lors de son enlèvement ?
R : Une autre dimension de réalité.
Q : (L) Betty a-t-elle raison de croire que ses expériences sont positives et la rapprochent de Dieu ? [Elle pensait, par exemple, que les aliens qui traversaient les murs devaient être des anges.]
R : Non.
Q : (L) Betty Andreasson se fait-elle des illusions ?
R : Non. C’est une victime.
Ray Fowler a étudié en profondeur l’affaire Andreasson et consacré une série de livres à ce sujet. L’épisode du Phoenix est raconté dans son premier ouvrage, où il écrit : « En raison de son caractère unique dans la littérature ufologique et de ses fortes connotations religieuses, il est difficile d’admettre que l’incident du Phoenix constituait une expérience physique ». Bullard résume l’événement :
La famille venait juste de finir son repas du soir lorsqu’une lumière apparut à l’extérieur et qu’un silence de mort surnaturel s’abattit sur la maison. Son père vit des êtres étranges se déplacer en bondissant avant de perdre conscience, comme tous les autres occupants de la maison. Betty vit les petits êtres glabres traverser la porte fermée et communiqua avec eux par télépathie. [Les aliens portaient des écussons où l’image d’un phœnix était représentée ; d’autres abductés se souviennent d’un serpent ailé.] Quazgaa, le chef, l’invita à monter à bord de son vaisseau, et elle finit par accepter, bondissant avec eux pour y entrer. Elle passa par un « dispositif de nettoyage » puis fit l’objet d’un examen lors duquel les êtres semblèrent retirer un minuscule objet de sa tête. Ils la guidèrent ensuite vers un siège entouré d’un espace étanche qu’ils remplirent de liquide tandis que le vaisseau s’envolait vers un autre monde. La première partie de ce monde était désertique, mais apparut une seconde partie luxuriante et aqueuse avec une ville dans le lointain, sans qu’un soleil ou un horizon défini ne soient visibles. Elle passa devant des cristaux et se rapprocha d’une lumière brillante terriblement chaude en arrière d’un immense oiseau [de plus de 4 mètres de haut]. Il s’agissait d’un phœnix car lorsque la lumière diminua, l’oiseau disparut et fut remplacé par des braises qui se refroidirent pour former un amas de cendres dont un ver sortit en rampant, comme le dit la légende. Une voix qu’elle prit pour celle de Dieu s’adressa alors à elle. Puis elle revint sur Terre, mais avant de quitter le vaisseau, Quazgaa, dont les grands yeux s’étaient considérablement élargis, lui implanta un message dans la tête.
Lors de cette « théophanie », la voix lui dit : « Tu as vu et tu as entendu. As-tu compris ? » Lorsqu’elle répondit par la négative, la voix lui expliqua qu’elle était élue en usant d’un langage laissant entendre qu’il s’agissait de la voix de Dieu, ce qui suscita une intense expérience religieuse de félicité et de ravissement.
31 décembre 1994
Q : (L) Quelle est l’énergie qui alimente Whitley Strieber et son travail ?
R : Les Gris.
Q : (L) C’est un agent des Gris ?
R : Non. Instrument des Gris.
Q : (T) Donc, tous ses écrits sont corrompus par les Gris ?
R : Influencés par eux.
Q : (T) Ça, il le dit aussi. (L) Eh bien, il pense maintenant que ces expériences lui ont appris à être accompagné par Dieu.
R : Wolfen reflète la réalité lizzie. [Wolfen, paru en 1978, est le premier roman à succès de Strieber.]
Les écrits de Strieber oscillent entre descriptions saisissantes de la terreur et des violences que lui ont fait subir ses « visiteurs » et tentatives de les comprendre et de les analyser sans les « juger » de manière excessivement négative. Voici, par exemple, ce qu’il peut écrire dans son dernier ouvrage de 2023, Them :
Lorsque nous cessons de voir des dieux, des anges, des fées et tout ce qui s’ensuit, est-ce ce qui reste ? Ces entités furtives plutôt horribles et étrangement agressives ? […] il s’agit de leur monde et nous en faisons partie ?
Étant donné ce que j’ai vu et vécu, je n’exclurais pas qu’il puisse exister des êtres qui, en raison de leurs pouvoirs et de la façon dont ils les exercent, pourraient tout aussi bien être qualifiés de démons. […] Et s’il existait effectivement quelque chose qui « parcourt le monde » et nous traque sans que nous le comprenions ?
Et pourtant, il poursuit avec des déclarations comme celles-ci :
[…] le contact répété peut être éprouvant s’il n’est pas désiré. Mais pour les témoins qui se tournent vers leurs visiteurs et tentent de les comprendre, il se développe souvent au fil d temps une relation qui passe de la terreur à l’acceptation pour finir en camaraderie […]
[…] lorsque nous observons comment ils nous exploitent, nous ne pouvons qu’en conclure que ce sont surtout des chasseurs venus ici pour tirer profit du troupeau humain tant qu’il perdure. […] que nous sommes une espèce-proie. […] Mais pourquoi agiraient-ils ainsi ? Sont-ils comparables à une maison divisée contre elle-même où régneraient deux besoins contradictoires – celui de nous utiliser et celui, peut-être, de soulager leur propre solitude ?
À en croire les histoires que j’ai partagées, l’expérience de rencontre rapprochée possède un côté qui relève de l’exploitation, mais il est aussi possible qu’elle puisse être transformée en quelque chose qui nous soit davantage bénéfique.
Cette tendance était déjà présente dans Communion (1987), comme le fait remarquer un commentateur sur Amazon : « Il semble constamment essayer de faire valoir que les motivations de ces créatures sont simplement incomprises. C’est presque comme s’il voyait dans l’abduction une bonne expérience et considérait que les abductés jouissent de connaissances secrètes. »
Q : (L) Nous aimerions savoir quelle sorte d’énergie soutient Budd Hopkins ?
R : Divergente.
Q : (L) Est-il sur la bonne piste avec ses recherches ?
R : À moitié.
Q : (T) Le cas de Linda Cortile est-il un coup monté pour le discréditer ?
R : Non.
Q : (T) Tout ce qu’elle raconte lui est vraiment arrivé comme elle le dit ?
R : Dans la 4e densité.
Q : (T) Bon, l’abduction a eu lieu en 4D, mais a-t-elle réellement été extirpée de son appartement au 17e étage, ou je ne sais combien, pour être aspirée dans un rayon de lumière ?
R : Dans la 4e densité.
Q : (T) Qu’ont vu les gens de 3e densité ?
R : Seuls ceux qui étaient en phase l’ont vu.
Q : (L) Il y a des gens qui n’ont rien vu ?
R : Oui.
Cette abduction a eu lieu le 30 novembre 1989 depuis le 12e étage de l’immeuble du Bas Manhattan où Linda Cortile habitait. Leur voiture étant tombée en panne dans la rue en contrebas, deux agents de sécurité ont vu son corps flotter dans un faisceau de lumière qui l’a transporté de la fenêtre à un ovni. L’un de ces hommes avait été chargé de la protection rapprochée de Mikhaïl Gorbatchev en 1988.
8 juillet 1995
Q : (L) Très bien ; maintenant à propos du cas de Linda Cortile — la femme qui aurait été abductée dans un gratte-ciel — le bruit court que cela se serait passé sous les yeux de Javier Pérez de Cuéllar [secrétaire général des Nations Unies], de ses gardes du corps, et de son chauffeur… [...] Le témoin de la scène était-il réellement Javier ?
R : Oui, mais pas le seul.
Selon le conducteur, plusieurs autres grands hommes d’État ont observé la scène, car ils faisaient tous partie d’un convoi en route pour une réunion de très haut niveau.
Q : (L) Donc, il y en a eu d’autres ? Sur les deux personnes censées être les gardes du corps de la « personnalité », l’une d’elles a manifesté un comportement extrêmement bizarre après l’événement. Quelle en était la cause ? A-t-il voulu effrayer Linda Cortile, ou était-il simplement apeuré lui-même ?
R : Simple choc.
Jorjani évoque cet aspect dans Closer Encounters : « La vie des deux hommes a été totalement détruite par le choc traumatique dû à l’incident. Ces agents de sécurité de haut rang et d’envergure internationale étaient devenus deux âmes terrifiées qui dormaient avec des battes de baseball et des pistolets posés à côté du lit, voire mettaient un mannequin dans leur propre lit tandis qu’ils allaient se coucher dans la chambre d’amis. »
Q : (L) Donc, lui-même a eu du mal à gérer ça. Pendant qu’on discute de ce cas, il semble que cet incident particulier constituait en fait un enlèvement collectif, parce qu’un certain nombre de femmes dans le voisinage ont par la suite affirmé que non seulement elles avaient été abductées au cours de la même soirée, mais aussi que pendant qu’elles étaient emmenées dans le vaisseau elles avaient vu d’autres femmes sortir ensemble dans la rue. Était-ce réellement un enlèvement collectif ?
R : Une partie était de l’hystérie.
Q : (L) Est-ce que cela arrive qu’il y ait des enlèvements collectifs ?
R : Ouvert. [Ils l’ont confirmé ultérieurement, par exemple le 07/10/1995 et le 13/10/2001.]
Q : (L) Linda Cortile a-t-elle inventé quoi que ce soit ?
R : Ouvert.
Q : (T) Budd Hopkins va-t-il finir par sortir cette histoire ?
R : Ouvert.
En 1996, Hopkins a fini par publier un livre sur cette affaire : Witnessed. L’ufologue Yvonne Smith a consacré un ouvrage à une abduction collective de 1994 impliquant également des hommes d’État : Coronado: The President, the Secret Service and Alien Abductions (2014).
4 mars 1995
Q : (L) La femme connue sous le nom de Leah Haley — et je comprends qu’elle ait changé légalement de nom pour protéger sa famille — a-t-elle été harcelée par le gouvernement des États-Unis, ou est-ce un souvenir-écran implanté par les aliens avec des confirmations concomitantes ?
R : Oui à la question un, et non à la question deux.
Q : (T) Ses souvenirs d’abductions par des Gris sont-ils des souvenirs-écrans d’enlèvements par le gouvernement ?
R : Non.
Deux ans plus tôt, Haley avait publié un livre intitulé Lost Was the Key (1993). (En 2003, elle a également publié Unlocking Alien Closets.) Un lecteur du premier ouvrage écrit :
Elle prétend avoir été plusieurs fois enlevée par des êtres humains qui l’ont droguée et interrogée pour obtenir des informations sur les aliens. La raison pour laquelle l’armée s’intéresserait à ses expériences devient évidente lorsqu’elle lâche tranquillement une bombe sur le lecteur en disant qu’elle se trouvait dans un vaisseau spatial qui s’est écrasé après avoir été abattu par l’armée de l’air des États-Unis.
Les MILABS (enlèvements militaires) seront abordés ultérieurement dans cette série.
25 juillet 1998
Q : (L) J’ai lu le nouveau livre du Dr. David Jacobs [The Threat], professeur d’histoire à l’Université Temple, concernant ses recherches approfondies sur le phénomène des abductions. Le Dr Jacobs dit que maintenant, après toutes ces années de recherches plutôt rigoureuses, il sait pourquoi les aliens sont là et qu’il a peur. David Jacobs affirme que l’objectif premier du phénomène des abductions est de produire une descendance. Est-ce réellement le cas ?
R : En partie, mais ce n’est pas « tout ».
Q : (L) Existe-t-il une autre raison prédominante ?
R : Le remplacement. [...] Voyez-vous, si l’on souhaite créer une nouvelle race, quel meilleur moyen que d’hybrider en masse, puis de réincarner en masse. Surtout lorsque l’espèce hôte est à ce point toujours ignorante, contrôlée et anthropocentrique. Quel environnement charmant pour une destruction totale, une conquête et un remplacement… vous voyez ?
Lorsqu’il a publié son ouvrage suivant en 2015, Walking Among Us, Jacobs s’est rapproché de ce type de compréhension des intentions des aliens et parle d’une « intégration à l’échelle mondiale aboutissant à une prise de pouvoir ». Il écrit :
Depuis 1998, j’ai constaté une évolution de certains éléments importants des abductions. De nombreux abductés se voient désormais confier de nouvelles missions additionnelles. […] mettre en œuvre le « Changement » est maintenant devenu quasiment une activité à temps plein pour beaucoup d’entre eux. […] Dorénavant, il est clair que l’intégration dans la société humaine est le principal objectif des extraterrestres. […] Ils ne parlent pas de soigner la Terre, de guérir ou d’éclairer les êtres humains, ou de se rassembler avec eux pour former une communauté cosmique ou quoi que ce soit d’autre qui pourrait aider l’humanité. Ils parlent d’envoyer des extraterrestres sur Terre qui y vivront incognito et finiront pas supplanter les hommes. […] Il est possible que l’intégration dans la société humaine soit simplement une préparation au Changement. […] Le Changement pourrait être un ultime événement, ou une série d’événements, pour l’heure encore inconnu, qui s’achèvera par l’aboutissement du programme des aliens. Quel que soit cet événement, il profitera uniquement aux extraterrestres. [Les Cassiopéens désigne ce changement par le terme de « l’Onde ».]
Lors d’une récente interview de promotion pour son livre Stolen Seed, Evil Harvest (2023), l’abductée chrétienne Karin Wilkinson a tenu des propos analogues :
Intervieweur : Récemment, deux de mes invités m’ont dit qu’il existe un tas d’hybrides humains-ET qui vivent dans la clandestinité en attendant de repeupler la Terre. C’est ce qu’ils font ? Sinon qu’entendez-vous par corruption des lignées ?
KS : Comme le dit l’auteur et chercheur Timothy Alberino, en tant qu’êtres humains, nous avons légitimement hérité de cette planète. […] Ces entités veulent usurper ce privilège que Dieu nous a donné […] S’ils parviennent à infiltrer les lignées humaines, alors ils pourront aussi s’arroger le titre de propriété sur cette planète et sa population. Et s’ils arrivent à le faire sans être remarqués – comme ces hybrides qui ont l’air suffisamment humains pour pouvoir « marcher parmi nous » comme le dit le Dr Jacobs dans son livre – […] alors ils peuvent aussi servir à tromper les gens. Ils peuvent leur servir non seulement à acquérir le titre de propriété de la Terre – leur nombre est suffisant – mais aussi à nous détourner de la vérité : la vérité sur notre identité, sur celle de notre créateur et tout ce genre de choses. […]
Intervieweur : Donc, à votre avis, ils ont l’intention de s’emparer de la planète, mais ils ne peuvent pas le faire autrement que de manière détournée ou en devenant nous, d’une certaine façon, afin d’y parvenir.
KW : Exactement.
Les personnes disposées à envisager le phénomène sous un jour plus positif peuvent tout de même percevoir certaines de ces intentions. Dans Passeport pour le cosmos (2016 [1999]), John Mack écrit :
Les aliens semblent avoir perdu leur corps, ou en tout cas, être devenus moins densément incarnés que les êtres humains. Certains abductés sont informés que quelque chose a déraillé au plan biologique pour les aliens, suite à une arrogance sans limites et technologique très semblable à celle que nous connaissons actuellement sur notre planète, et à l’instar des anges, ils rêveraient d’avoir un corps.
Voici l’interprétation typique de Strieber dans Them :
Il se pourrait que nos visiteurs soient ici non pour empêcher une extinction massive, mais pour nous aider à la gérer. Je dis cela parce que leur discrétion semble contredire leurs avertissements à propos de notre survie. Ils veulent certainement que nous survivions, mais peut-être cela ne concerne-t-il qu’un groupe de privilégiés qu’ils choisiront parmi nous. […] Il est possible d’en conclure que […] ce qu’ils font, entre autres, c’est extraire du matériel biologique nécessaire à la préservation d’un échantillon de notre espèce.
Il compare cette perspective à l’extinction des dinosaures : « au lieu de repartir de zéro, la catastrophe a entraîné l’apparition de nouvelles créatures plus efficaces et physiquement plus évoluées ». Il n’envisage pas la possibilité que ces corps ne soient pas conçus pour nous.
En 2017, Terry Lovelace, ancien procureur général des Samoa et abducté, a rencontré l’entité qui était son agent de liaison ou son gestionnaire depuis les abductions de son enfance. Elle lui a dit que le programme d’hybridation « visait à préserver un morceau de l’humanité ».
Les « amis » de Stefano Breccia lui ont expliqué ce que manigançaient les « CTR » (le terme qu’ils utilisent pour désigner les « méchants »). Comme Breccia l’a raconté à Timothy Good : « Les CTR sont ici pour nous étudier parce qu’ils comprennent qu’il y a une différence entre eux et nous. Ils ont été créés – je ne sais pas où – et disséminés dans l’univers. Ils veulent savoir comment combler le fossé qui nous sépare... »
Q : (L) Voilà qui répond à mon autre question sur l’objectif. Dans son livre, le Dr Jacobs affirme que les abductions se perpétuent dans certaines familles particulières. Je cite : « Au-delà de la protection du fœtus, il existe d’autres raisons de garder le secret. Si les abductions sont, comme tout l’indique clairement, un phénomène intergénérationnel dans lequel les enfants d’abductés sont eux-mêmes enlevés, alors l’un des objectifs des extraterrestres est de générer davantage d’abductés. Tous les enfants d’abductés sont-ils intégrés dans le phénomène ? Les faits suggèrent que la réponse est oui. Si une personne abductée a des enfants avec une personne non abductée, il y a de fortes chances que tous leurs descendants seront enlevés à leur tour. Cela signifie que de par l’augmentation normale de la population, les divorces, les remariages et ainsi de suite, la population d’abductés grandira rapidement au fil des générations. Une fois adultes, ces enfants se marieront et auront des enfants, et qu’ils aient épousé une personne abductée ou non, tous leurs enfants seront enlevés. Pour protéger la nature intergénérationnelle du programme de reproduction, cela doit être caché aux abductés afin qu’ils continuent à avoir des enfants. Si les abductés savaient que ce programme est intergénérationnel, ils pourraient choisir de ne pas avoir d’enfants. Cela mettrait un terme à une partie essentielle du programme, ce que les extraterrestres ne peuvent pas permettre. La raison ultime du secret est l’expansion du programme de reproduction. Pour pouvoir s’intégrer indirectement dans la société, les extraterrestres doivent s’assurer que les abductés s’accouplent avec des non abductés et produisent des enfants abductés. » Cela semble suggérer qu’il existe une lignée particulière susceptible de…
R : Nous vous l’avons déjà dit : l’expérience nazie était un « galop d’essai », et vous constatez maintenant les similitudes, n’est-ce pas ?
28 août 1999
Q : (L) Cette idée lancée par Ted Rice [dans Masquerade of Angels] était vraiment horrible. Il a dit se souvenir que sa grand-mère avait été violée par un reptoïde se faisant passer pour son défunt mari et qu’en gros, les reptoïdes avaient tué sa grand-mère.
Après une expérience traumatisante durant son enfance, Ted Rice a été perturbé et rongé par la culpabilité pendant des décennies. Quand il avait dix ans, sa grand-mère adorée avait quitté sa ferme pour rendre visite à sa famille. Lorsqu’elle venait, il dormait toujours avec elle dans le même lit. Cette nuit-là, il s’était réveillé, incapable de bouger, en sentant une présence dans la chambre :
Quelque chose bascula, et Teddy se rendit subitement compte qu’il se trouvait au pied du lit. Il vit leurs deux corps encore sous les couvertures et put alors entendre une voix. C’était une voix masculine inconnue, grave et en colère ; et l’espace d’un fol instant, il se demanda si la voix n’émanait pas de lui étant donné qu’il ne voyait personne d’autre dans la pièce. Si les mots prononcés n’avaient aucun sens, Teddy pouvait percevoir la redoutable colère qu’ils recelaient. Après un autre basculement, Teddy fut de retour dans son corps, dans le lit, mais toujours incapable de bouger. Mamie ne bougeait pas non plus. La voix grave et effrayante de l’homme se faisait encore entendre, et Teddy lutta pour lui crier d’arrêter. Sa bouche ne répondait pas. Il ne parvenait pas à tendre la main pour allumer la lampe de chevet ni à secouer sa grand-mère pour la réveiller, il ne pouvait rien faire d’autre que ressentir la peur. Alors il ferma les yeux et l’instant d’après, il lui sembla les rouvrir pour voir la lumière du jour filtrer à travers les rideaux en dentelle de la fenêtre qui se trouvait à côté du lit.
Lorsqu’il s’était réveillé, sa grand-mère était dans la cuisine ; elle avait fait ses valises alors que son départ n’était prévu que plusieurs jours plus tard. Avant de se préparer pour aller à l’école, il lui demanda : « C’était quoi hier soir ? ».
« De quoi parles-tu ? », répondit-elle en évitant son regard.
« Mamie, tu n’as pas entendu ? », poursuivit-il. « Qui était cet homme ? Je me suis réveillé et je l’ai entendu parler. Je ne l’ai pas vu, mais il m’a fait peur. C’était qui ? »
Elle souleva Teddy et le posa sur ses genoux. Les larmes aux yeux, elle finit par lui répondre, et le jeune garçon se mit aussi à pleurer.
« C’était le diable, mon petit », lui dit-elle. « C’était le diable, mais ne t’inquiète plus. Ta mamie s’en est occupé, alors n’y pense plus. »
Elle l’embrassa sur les deux joues, puis le reposa par terre.
Plus tard dans la journée, elle insista pour que les parents de Ted la ramène chez elle, en dépit du dérangement que cela pouvait leur causer. Le lendemain, la famille la reconduisit, et peu après être arrivée à la ferme, elle mourut d’un grave accident vasculaire cérébral. Ted s’en voulut. Il s’agissait de l’un des incidents évoquant une abduction que Bartholic examina sous régression en 1992. Au départ, ce soir-là, Ted vit sa grand-mère bien habillée et les « êtres » qui lui disaient qu’elle était vraiment spéciale et magnifique. En racontant cela, Ted s’alarma car ses propres mots sonnaient faux. Bartholic lui demanda de tirer sa vision au clair, et un cauchemar se révéla. Sa grand-mère se plaignait d’avoir mal à l’arrière de tête. Il se souvient d’avoir été sorti du lit et d’avoir vu un « homme ressemblant à un lézard » appuyer un genre de perceuse sur la tête de sa grand-mère. « Elle est devenu furieuse, et je crois qu’elle a frappé l’un d’entre eux parce qu’ils lui faisaient mal. »
« Ils lui ont dit qu’ils installaient quelque chose dans sa tête », poursuivit-il à contrecœur, « et que si elle ne coopérait pas, ça la tuerait, qu’ils étaient les seuls à pouvoir arrêter ça. Elle a continué à refuser. »
Au départ, il pensa que la dispute concernait une sollicitation pour que sa grand-mère apporte son aide à des gens qui viendraient la consulter (elle soignait avec des plantes). Il creusa à nouveau et découvrit de quoi il en retournait vraiment : « Il lui a dit qu’il allait prendre mon âme ». Sa grand-mère s’interposa pour protéger Teddy en disant à l’être qu’il ne lui faisait pas peur.
« À ce stade, l’homme reptilien parlait de moi. Cela avait un rapport avec mon être et avec l’autre groupe qui m’avait contacté. Je ne sais pas vraiment qui est cet autre groupe. Ils voulaient mon âme et Mamie m’a protégé. Elle a dit “Jésus ne vous permettra pas de toucher à cet enfant ou de l’emmener”. C’est là qu’il lui a dit qu’elle allait mourir. »
Les êtres tentèrent ensuite d’avoir une relation sexuelle avec elle, mais elle refusa en leur disant qu’elle n’avait jamais couché qu’avec son (défunt) mari. C’est à ce moment-là que l’un d’entre eux a revêtu la forme de son époux, lui a administré un liquide psychotrope et a violé son corps immobile. Après en avoir terminé, il reprit sa forme reptilienne. Ils tentèrent ensuite de forcer Ted à avoir une relation avec sa grand-mère et de faire une fellation à l’un d’entre eux. (Soit dit en passant, le pénis qu’il décrivit « ressemblait à celui d’un chien » – « au lieu d’avoir une érection, il sembla sortir de son “étui” comme un pistolet » – un détail qui corrobore un autre cas de viol reptoïde évoqué par Laura dans la série L’Onde et correspond à l’anatomie des alligators.)
Ted pense que le décès de sa grand-mère était des représailles pour l’avoir protégé et que la sorte de perceuse avait installé quelque chose dans son cerveau qui avait provoqué son AVC deux jours plus tard. Quant à la nature des événements, il reste cependant ouvert à d’autres possibilités :
« Pendant longtemps, j’ai souhaité que ce viol ne soit pas réel, qu’il soit une suggestion implantée, un hologramme ou un scénario de réalité virtuelle. J’ai même pensé qu’ils ne nous avaient peut-être pas vraiment violé physiquement, mais avaient en quelque sorte trompé nos esprits et nos âmes, et que le souvenir s’était seulement présenté de cette façon sous hypnose. Je voulais que ce soit n’importe quoi sauf ça.
Mais après des mois d’auto-torture, j’ai finalement accepté que cela n’avait pas vraiment d’importance car, de toute façon, le mal était fait, et il était impossible de revenir en arrière. Je me suis senti tellement honteux, humilié, embarrassé et consumé par le mépris et la colère que je me suis dit que je préférerais mourir plutôt que de raconter à qui que ce soit ce qui c’était passé, surtout à ma famille. Mais ce n’est plus ce que je ressens maintenant. »
D’autres témoins ont décrit des Reptiliens prenant une apparence humaine lors de rapports sexuels. Marden et Stoner citent le cas d’Audrey Hewins qui « a eu l’impression d’avoir été violée dans sa chambre par un homme séduisant qui s’est subitement transformé en une sorte de lézard vert ressemblant fort à un Sleestak de la série Le monde (presque) perdu ».
Matthew Roberts, ancien membre de l’ONI (qui était présent en 2015 lors de l’observation du « Gimbal » sur l’USS Roosevelt), a été violé par une entité qui a revêtu le visage d’une ex-petite amie de 20 ans auparavant (après être passée par plusieurs autres visages familiers, comme si sa tête était un écran à haute définition).
Q : [Rice] en est venu à considérer que toutes ses expériences psychiques et tout ce qui lui est arrivé était le fait des Lézards et de leurs manipulations. Est-ce bien le cas ? Ou bien certains gentils ont-ils aussi travaillé avec lui ?
R : Cette dernière.
La vie de Ted constitue une lecture fascinante. C’est un médium extrêmement doué – un aspect de lui-même qu’il a mis des années à accepter. Après l’avoir admis, il a été attiré par les idées New Age et s’est mis à discuter avec des « guides spirituels » et à offrir ses services à des clients. Il fait remarquer que ses rencontres avec des aliens lui laissaient des impressions nettement différentes de ses conversations avec des « guides » – les premières étant bien plus physiques et perturbantes. Il a développé des symptômes de stress post-traumatique. Ses guides restent toutefois silencieux à chaque fois que ce genre de sujets est abordé. Turner et Rice semblent penser que cela signifiait qu’ils étaient en quelque sorte des extensions des aliens, et Bartholic a dit de Ted qu’il avait été « conçu ». Même si cela peut être vrai, d’autres possibilités existent. Sa nature psychique a tout aussi bien pu être façonnée et exploitée. Ses « guides » pouvaient être des entités d’un ordre différent, éventuellement limitées par leur propre manque de conscience et/ou la nécessité de respecter le parcours de découverte douloureux de Ted, ou être elles-mêmes trompées et manipulées. Les rencontres négatives (qui ont presque conduit Ted au suicide à un moment donné) visaient peut-être aussi à le détruire.
L’une de ses expériences racontées dans le livre pourrait suggérer l’identité de cet « autre groupe » qui préoccupait les Reptiliens. Un jour, Ted s’est réveillé dans un endroit inconnu. Un groupe d’hommes, tous différents les uns des autres, était rassemblé. Cette espèce de concile se mit à lui prodiguer des conseils : cesser de tenter de plaire aux gens et d’obtenir leur approbation. « Tu ne dois pas te soucier de ce que les autres pensent. Tu es ici pour un travail très important. Cette préoccupation excessive de l’opinion des autres entrave ton évolution. » Peut-être était-ce vrai, mais Turner et Rice ne s’attardent pas sur cette expérience qu’ils ne relient à rien de particulier.
Q : A-t-il en quelque sorte jeté le bébé avec l’eau du bain à cause de son travail avec Bartholic ?
R : Pas loin.
Ted était lui-même ouvert à la possibilité qu’il existe des « gentils », mais il pensait que cela s’appliquait à un autre groupe d’aliens qu’il avait vu se confronter à ceux qui lui faisaient du mal : « s’il s’agit vraiment de deux groupes rivaux, que faisaient-ils là ensemble ? Ils semblaient partager les lieux. Barb, j’ai récemment lu un passage des Évangiles gnostiques où Jésus parle de la collaboration entre les bons anges et les mauvais anges, et je pense que c’est exactement ce qu’il se passe avec les ET. »
À l’heure actuelle, Ted intervient régulièrement dans un podcast coanimé par Stuart Eglington où il raconte en détail les incidents qui auraient dû paraître dans Masquerade of Angels II, l’ouvrage sur lequel travaillait Karla Turner lorsqu’elle est décédée.
24 juin 2023
Q : (L) Travis Walton a-t-il été réanimé par les aliens parce qu’il a été tué accidentellement par un rayon de plasma [Comme l’écrit John DeSouza dans The Extra-Dimensionals (2016)] ?
R : En partie vrai, en effet.
Q : (L) [...] Quelle partie est vraie ? Il a été ranimé par les aliens ? [Notez qu’ils ont dit que c’était également arrivé à Eddie Page.]
R : Oui [...]
Q : (L) A-t-il été tué intentionnellement ?
R : Oui
Q : (L) Ont-ils changé d’avis ?
R : Des ordres sont venus de plus haut.
Q : (L) Donc quelqu’un en haut de la hiérarchie 4D SDS leur a ordonné de le réanimer et de le ramener ?
R : Oui.
Q : (Joe) A-t-il été ramené dans l’état où il était auparavant ?
R : Non.
Q : (Joe) Qu’est-ce qui avait changé ? [...] Est-ce qu’il lui manquait quelque chose ?
R : Il a été utilisé pour un prélèvement de sperme et ses souvenirs ont été effacés.
Le 5 novembre 1975, Walton et une équipe de bûcherons ont repéré un ovni dans la forêt nationale d'Apache-Sitgreaves en Arizona. Bullard résume l’affaire :
Quand l’objet se mit à osciller, le bruit s’intensifia et Travis commença à s’enfuir, mais un faisceau lumineux le frappa à la tête et à la poitrine, le paralysa et le jeta à terre. Les hommes qui se trouvaient dans le camion virent la lumière le soulever à une trentaine de centimètres du sol et le projeter en arrière à quelques mètres, et pris de panique, ils démarrèrent en trombe. […] Quand ils retournèrent sur les lieux, Walton et l’ovni n’étaient plus là. Pendant cinq jours, les battues ne permirent pas de retrouver Walton dans l’étendue sauvage de cette région de l’Arizona où il avait disparu. Mais le cinquième jour vers minuit, il téléphona à des proches qui le récupérèrent en mauvaise condition physique [il avait perdu quasiment cinq kilos et était déshydraté] et inconscient de la durée de son absence. De son enlèvement, il se souvenait s’être réveillé en présence d’humanoïdes glabres aux grands yeux, d’avoir été allongé sur une table d’examen puis d’avoir été conduit hors de l’ovni par un être humain qui l’avait emmené jusqu’à une énorme pièce ressemblant à un hangar. En tout et pour tout, les souvenirs de Walton s’étendaient sur deux heures, et l’hypnose qu’effectua le Dr James Harder deux semaines plus tard lui permit de retrouver certains détails sans rien changer à l’amplitude de ceux-ci.
Walton a écrit un livre pour raconter son expérience : Fire in the Sky: The Walton Experience (1978, 1996).
Q : (T.C.) On pourrait aussi demander si John DeSouza a été « greenbaumisé », étant donné le genre de programmations « new age » que reçoivent certaines victimes Greenbaum et ses expériences de grande étrangeté dans sa jeunesse. Peut-être qu’une telle programmation pourrait expliquer d’où lui viennent certaines de ses idées.
(L) […] A-t-il été greenbaumisé ou autre chose de similaire ?
R : Non, mais il a été suivi et parasité depuis son enfance en raison de sa FRV [Fréquence de Résonance Vibratoire].
Q : (L) OK, donc, au début du livre, quand il raconte la première tentative d’abduction qu’il a vécu et dit que pour une raison ou une autre, ils n’ont pas pu l’emmener, était-ce à cause de sa FRV ?
R : Oui
Q : (L) Et sa perspicacité lorsqu’il rencontre de nombreux phénomènes, sa capacité à les évaluer et à faire des déductions exactes, c’est également dû à sa FRV ?
R : Oui
Cette expérience lui est arrivé lorsqu’il avait neuf ans. Il jouait à un jeu consistant à essayer de rester éveillé le plus longtemps possible. Il était presque 3 h du matin quand il s’est subitement mis à avoir froid :
Je perdis la sensation de mon corps et devint raide. Pourtant, je percevais de l’activité autour de moi. Plusieurs êtres se déplaçaient dans l’appartement et dans nos chambres, et même si je ne les voyais pas et ne les entendais pas, je parvenais à les sentir.
Ensuite il perçut des mains froides soulever de son lit son corps désormais en apesanteur et l’emporter jusqu’au plafond.
Puis, j’entendis un bruit sourd. Alors que les entités tentaient de me faire traverser le plafond à leur suite, la surface de mon front et de mon corps s’avéra quelque peu solide – incapable de franchir la barrière que passaient aisément les entités qui me transportaient. D’autres bruits sourds se firent entendre tandis qu’elles continuaient à essayer de pousser, tirer et contraindre mon corps à traverser ce plafond qui ne leur posait, à elles, aucun problème. Elles tentaient de le faire en douceur afin de ne pas me réveiller, mais leur consternation grandissait. Telles des ingénieurs en apesanteur confrontés à un problème inattendu, elles semblaient ne reposer sur rien et se gratter la tête. Leur frustration et le cognage régulier de l’avant de mon corps contre le plafond dissipèrent la torpeur surnaturelle qui s’était emparée de moi. J’étais maintenant pleinement conscient et fus même capable de tourner légèrement la tête. Elles abaissèrent mon corps toujours en suspension à mi-chemin entre le plancher et le plafond et le laissèrent là, aussi raide qu’une planche, tandis qu’elles flottèrent vers le haut pour analyser ce plafond qui leur faisait obstacle. […]
« Pourquoi ce retard ? » dirent sans prononcer un mot les deux créatures au sol aux deux autres qui testaient le plafond au-dessus de moi en faisant des allers-retours à travers celui-ci. Elles répondirent, toujours sans prononcer un mot, mais je pus les entendre distinctement.
« Il y a quelque chose qui cloche. »
[…] Ces deux-là semblaient être des entités très limitées sans réelle imagination créative pour la résolution de problème. Elles se contentèrent d’essayer à de multiples reprises la même méthode qui avait échoué. Cette fois, je tournai la tête tout du long pour regarder les deux autres créatures qui maintenaient mes parents en stase. Cette fois, elles me faisaient face toutes les deux. Je les vis et elles me virent. Deux paires d’yeux profonds sans âme me fixèrent sans toutefois parvenir à scruter le tréfonds de mon être. Je perçus à nouveau le signal qu’elles envoyèrent aux deux qui me tenaient. Ce furent les derniers mots d’êtres extra-dimensionnels que j’entendrais jamais :
« Il est réveillé. »
Mon corps s’écrasa dans le lit. J’étais solide. J’étais de nouveau lourd et je n’avais plus froid. Je me levai, regardai le plafond et le moindre recoin de ma chambre. Les deux créatures qui m’avaient transporté avaient disparu. Je perçus le silence télépathique qui régnait dans l’appartement. Je jetai un œil dans la chambre de mes parents à travers la porte. Les entités étaient parties.
27 avril 2024
Q : (Keit) Le 12 juillet 1984, alors qu'ils se trouvaient à bord de la station Salyut-7, plusieurs cosmonautes ont aperçu un nuage orange sur la trajectoire de la station. En se déplaçant, elle est entrée dans le nuage et le gaz orange a pénétré dans la station et enveloppé les cosmonautes. Ils ont alors été aveuglés par une forte lumière, et lorsqu'ils ont de nouveau réussi à voir, ils ont aperçu sept silhouettes angéliques géantes flotter dans l'espace devant la station. Les anges les regardaient avec une expression de ravissement et de pure félicité. Au bout de 10 minutes, les anges ont disparu en même temps que le nuage. La question est de savoir ce qui est réellement arrivé aux cosmonautes et qui étaient ces anges. (L) […] cet incident a-t-il vraiment eu lieu, du moins tel qu'on le raconte ?
R : Non.
Q : (L) S'est-il passé quelque chose ? Ont-ils vu quelque chose ?
R : Oui
Q : (L) Que s'est-il réellement passé ?
R : Abduction et implantation de souvenir-écran. [...]
Q : (L) Et quel en était le but ?
R : Échantillonnage pour déterminer les effets des voyages spatiaux sur la physiologie.
Lectures complémentaires
L’affaire Andreasson
Raymond E. Fowler : The Andreasson Affair: The Documented Investigation of a Woman’s Abduction Aboard a UFO (1979, 2014)
Raymond E. Fowler : The Andreasson Affair Phase 2 (1982, 1994)
Raymond E. Fowler : The Watchers (1990)
Raymond E. Fowler: The Watchers II: Exploring UFOs & the Near-Death Experience (1995)
Raymond E. Fowler : The Andreasson Legacy (1997)
Whitley Strieber
Whitley Strieber : Communion (1988 [1987])
Whitley Strieber : Transformation (1989 [1988])
Ed Conroy : Report on Communion: An Independent Investigation of and Commentary on Whitley Strieber’s Communion (1989)
Whitley Strieber : Breakthrough: The Next Step (1995)
Whitley Strieber : The Secret School: Preparation for Contact (1996)
Whitley & Anne Strieber (éditeurs) : The Communion Letters (1997)
Whitley Strieber : Confirmation: The Hard Evidence of Aliens Among Us (1998)
Whitley Strieber : Solving the Communion Enigma: What Is to Come (2011)
Whitley Strieber : A New World (2020)
Whitley Strieber : Them (2023)