Chercheurs et sceptiques ont avancé deux hypothèses principales pour rendre compte de la nature des abductions, à savoir des manifestations physiques et objectives ou, au contraire, des incidents subjectifs d’origine « psychosociale ». Les premiers s’appuient sur des preuves physiques telles que cicatrices, « scoop marks » (cicatrices en creux), implants ainsi que d’occasionnels témoignages oculaires. Les seconds suggèrent que le phénomène est uniquement psychologique, éventuellement en conséquence d’un processus de « mythification » de la part de la psyché humaine, ou constitue une expression de l’inconscient collectif, ou encore la répétition subconsciente de mèmes issus de la culture populaire.
Raymond Fowler a peut-être été le premier à envisager une troisième option du fait de ses recherches continues sur l’histoire de Betty Andreasson. En 1990, dans son troisième ouvrage consacré à ce cas intitulé The Watchers: The Secret Design Behind UFO Abduction, il explique que sa vision a progressivement évolué au fil des ans, passant d’une interprétation purement physique à une perspective davantage paraphysique. Le fait que deux des abductions d’Andreasson comportaient des sorties hors du corps a incité Fowler à considérer que ces deux phénomènes étaient « étroitement liés » jusqu’à ultérieurement inventer l’expression d’« abduction hors du corps ».
Lors d’une régression hypnotique concernant un incident de 1950, Betty s’est souvenue être sortie de son corps pendant une abduction physique. En 1978, elle et son mari ont simultanément vécu une expérience de sortie hors du corps et ont tous les deux été enlevés pendant qu’ils étaient décorporés. En 1986, un Gris a semblé induire une sortie hors du corps grâce à un dispositif apparemment attaché dans son dos. Betty avait été informée qu’elle allait être « transportée d’une façon extrêmement différente ». Elle avait pu voir son corps allongé sur un canapé, manifestement bien en vie et en train de lire la bible, lorsqu’elle s’était « estompée » après qu’ils s’étaient retrouvés « tous les deux enveloppés par une pluie de lumière étincelante » visiblement provoquée par le dispositif. Mais si Betty avait quitté son corps pour voyager avec l’alien, celui-ci semblait avoir conservé son corps pendant le processus. Fowler conclut :
Il semblerait que la conscience humaine se rende dans un plan spatio-temporel non local différent, indépendamment du corps physique proprement dit. Mais dans le cas des entités aliens, leur corps physique semble effectuer cette même transition grâce à un processus de dématérialisation.
Fowler en déduit que « les ovnis et leurs occupants sont parfaitement capables de voyager entre au moins deux plans d’existence différents ».
Inspiré par les travaux de Fowler et les transmissions de Ra qui présentaient les aliens comme des êtres de « quatrième densité » de dimension supérieure, Michael Topper a exposé une idée similaire dans des articles publiés en 1990 et 1991. Il y spéculait que bon nombre de scènes d’enlèvement sont des « formes-pensées » fabriquées dans un milieu astral ou « 4D », et qu’il serait plus adéquat de parler d’« abductions astrales ». L’abducté est soit « amené à la “fréquence vibratoire” de cette densité au moyen de la dissociation du véhicule astral d’avec le physique », soit « directement » emmené dans un état 4D.
La littérature de l’époque le laissait déjà entendre. Dans Watchers II (1995), Fowler cite sept descriptions supplémentaires d’abductions hors du corps issues d’études publiées entre 1979 et 1989. Ainsi, Judy Doraty s’est souvenue qu’au début de son expérience de 1973, un « projecteur » avait éclairé le coffre de sa voiture. Redfern résume les détails de l’incident dans Top Secret Alien Abduction Files :
Doraty expliqua que la lumière semblait posséder ce qu’elle appela une « substance ». […] Même si, sous hypnose, elle se remémora s’être trouvée sur le sol à l’extérieur de son véhicule, c’était comme si son esprit avait en quelque sorte été transféré dans le vaisseau. Elle semblait se souvenir de deux choses différentes qui, cependant, se déroulaient simultanément.
Dans Transformation (1989), Whitley Srieber indique que d’après les nombreuses lettres qu’il avait reçu en réaction à son premier livre sur les abductions, Communion (1988),« ces personnes avaient eu le sentiment que l’on tirait l’âme hors de leur corps ». Dans Taken (1994), Karla Turner a partagé quelques récits identiques. « Polly » se souvenait avoir eu l’impression que son « esprit était aspiré hors de son corps » tandis qu’elle « tournoyait et s’élevait vers un ovni ». « Lisa » avait ressenti « une grande attraction sans vraiment savoir si [elle était] dans son corps ou sous une forme spirituelle, mais très rapidement [elle s’était] retrouvée dans le ciel parmi les nuages ». « Angie » s’est rappelée avoir été téléportée à bord d’un ovni, comme si elle avait été « aspirée dans un long tunnel de lumière électrique orange ». Pendant qu’elle se trouvait dans cette lumière, « elle s’est sentie séparée de son corps » qu’elle pouvait voir « tomber et tournoyer en dessous, tous les os, les veines et les organes internes étant visibles ».
La « théorie de la pérégrination de l’âme » du folkloriste Walter Evans-Wentz pour rendre compte des enlèvements par les fées anticipait déjà tout cela en 1911. Dans le monde entier, le folklore suggérait (entre autres interprétations) que « l’âme humaine peut être extraite du corps par des esprits désincarnés et des magiciens ». Le livre L’Ermite (1987 [1971]) de Lobsang Rampa comporte également une abduction hors du corps.
À l’instar des transmissions de Ra, les Cassiopéens donnent une image complexe de la nature des abductions.
19 novembre 1994
Q : (L) Combien y a-t-il de niveaux et de types d’enlèvements ?
R : Six.
25 février 1995
Q : (L) Il existe environ six sortes différentes d’enlèvements, qui vont du contact physique au contact et au contrôle télépathiques.
R : Et également des enlèvements d’origine humaine. [Les « MILABS » (enlèvements militaires) seront abordés dans une prochaine partie.]
Les abductions éthériques
Lors de la séance du 2 novembre 1994, les C’s ont expliqué : « Quand vous êtes enlevés, vous êtes de 3e densité, mais vous êtes emmenés en 4e densité ». Ils ont ajouté que pour y parvenir, les Gris se servent d’une « imagerie par réflectivité moléculaire » au moyen d’une « concentration d’énergie ». Ce processus de « remolécularisation atomique transdimensionnelle » (RATDM), comme ils finiront par l’appeler, a été explicité au cours de diverses séances. Ils ont également rattaché ce type d’abductions aux simulations de réalité virtuelle de Karla Turner (voir la partie 1). Dans celles-ci, le corps physique reste sur les lieux, par exemple dans un lit. Turner écrit : « Que ce soit par des moyens intellectuels, psychiques ou technologiques, les aliens sont capables de créer n’importe quelle perception et, par conséquent, n’importe quelle illusion pour la personne qui se trouve entre leurs mains ».
23 décembre 1994
Q : (L) Lors d’une abduction de type réalité virtuelle, est-ce qu’une partie de la personne va réellement dans une autre dimension ?
R : Réplication de l’âme.
Q : (L) Donc, une réplique de l’âme, comme son ombre pour ainsi dire, peut-être une partie holographique de l’âme, est déplacée dans une autre dimension et vit les événements ; est-ce que c’est ça que vous voulez dire ?
R : Ça s’en rapproche.
Q : (L) Donc, quand une personne connaît une abduction de type réalité virtuelle, c’est pratiquement réel au sens où ça lui arrive à un certain niveau, ou à une certaine partie d’elle-même ?
R : C’est réel.
Q : (L) Mais son corps physique n’est pas enlevé et ne va nulle part ?
R : Pas l’original. [...] Pensez à un photocopieur, concept similaire.
21 janvier 1995
Q : (D) J’ai une question. La remolécularisation atomique transdimensionnelle, c’est de la téléportation ?
R : Pas loin.
Q : (D) OK, donc, c’est ainsi que nous nous transférerons de la 3e à la 4e ?
R : Technologie pour cela.
Dans Them, Strieber rapporte une déclaration énigmatique faite à un témoin en 1985 : « nous réarrangeons les atomes ».
17 juin 1995 (channeling direct par l’intermédiaire de Frank)
Q : (L) Il y a quelques soirs de cela, j’ai pratiqué une séance sur mon fils dans le but d’examiner les événements qui ont eu lieu le 16 août 1993, au-dessus de ma piscine, lorsque nous avons tous vu deux objets de type ovni passer nonchalamment. Lors de cette séance d’hypnose, après avoir passé en revue cet épisode deux ou trois fois, il a indiqué qu’en fait il ne s’agissait pas d’une simple observation d’un objet au-dessus de nos têtes, mais bien d’une d’abduction. [...] Une remarque qu’il a faite pendant cette séance — et qui m’a un peu effrayée, aussi j’aimerais que vous développiez quelque peu le sujet — vers la fin, quand j’ai demandé ce qui s’était passé, il a répondu qu’il avait été « démantibulé et téléporté sans bénéficier d’un anti-douleur ». Cela signifie que quand il a été démolécularisé, une sorte de dispositif censé supprimer la douleur n’a pas été utilisé, et que le processus de démolécularisation ou de remolécularisation atomique peut vraiment être douloureux et source de détresse. Est-ce exact ?
R : Possible. L’ensemble du processus d’abduction peut être stressant mais à des degrés divers et [...] comme pour tout le reste, c’est votre propre perception de la réalité qui constitue le facteur le plus important [...]
Q : (L) Je ne comprends pas ce que vous voulez dire. […] cela fait-il mal d’être désassemblé moléculairement, téléporté à bord d’un vaisseau puis renvoyé ? (J) Cela peut-il être douloureux pour le corps ?
R : [...] vous vous laissez emporter. Croyez-vous sincèrement qu’un rayon lumineux est venu vous « décomposer », a transporté physiquement votre corps à bord d’un vaisseau spatial, a procédé à une sorte d’examen médical ou autre, puis a rassemblé votre corps tout entier sans aucun anti-douleur ? C’est ce que vous croyez ?
Q : [...] (J) Nous n’avions encore jamais entendu parler de « dispositif anti-douleur ». (L) Oui, nous n’avons jamais rien entendu de pareil ; et je crois effectivement qu’un rayon lumineux a pu descendre, nous désassembler et me ré-assembler et qu’on m’a ensuite fait quelque chose. D’après les recherches que j’ai faites, je dirais que c’est possible. Je veux dire, connaissant la capacité de ces entités à manipuler le temps, il est tout à fait possible que cela ait pu se produire sans qu’on ait eu conscience d’une quelconque perte de temps.
R : Oui, c’est vrai, toutefois nous vous avons parlé en détail, lors de précédentes séances, de la méthodologie utilisée pour la procédure que vous désignez sous le terme d’« abduction ». [...] La description que tu en fais, selon la séance d’hypnose dont tu parles, n’est pas entièrement exacte, ou du moins ton interprétation des informations données au cours de la séance d’hypnose est erronée. [...]
Vous n’êtes pas transportés de façon normale d’un lieu à l’autre, comme un être incarné de 3e densité. Ce qui se passe est très simple. Le cadre temporel est ordinairement figé [...] votre véhicule physique — un corps de 3e densité — cesse de percevoir l’écoulement du temps pendant cette période [de] « temps zéro ». [...] l’empreinte d’une âme occupant un corps-hôte spécifique est retirée de force, et transportée vers un autre lieu où, à des fins d’examen, de pose d’implants et autres, elle est remolécularisée en un corps physique distinct. [...] puis elle est démolécularisée, et replacée dans le corps originel sur le lieu initial. […]
Le 29 avril 1995, les C’s avaient précisé : « Le temps se “fige” pendant les enlèvements ». Comme nous l’avons vu dans la seconde partie de cette série, ils ont expliqué à l’une des participantes que lors de son abduction, son fils avait été « figé ». Ce phénomène de témoins « paralysés, rendus inconscients ou “déconnectés” » (comme le dit Rapuano) est couramment rapporté. Rapuano cite plusieurs exemples issus de la littérature. Des abductés font état de membres de la famille « pétrifiés » et totalement inconscients, comme des « statues » ou s’ils étaient pris dans de la glace. Cet état est souvent interprété comme la conséquence d’un contrôle neuronal. Bien que cela puisse au moins en partie être le cas, certains témoignages étayent l’idée qu’il puisse également résulter d’une manipulation temporelle. Ainsi, Rapuano donne l’exemple de l’une des rencontres rapprochées de sa prime enfance où il avait ressenti « une vague impression d’une distorsion dans le passage du temps » ainsi qu’un étrange sentiment de déconnexion, « presque comme si le temps avait en quelque sorte été arrêté ».
Après avoir décrit une abduction lors de laquelle les personnes se trouvant dans les environs avaient apparemment été « débranchées », Linda Cortile observe :
« Vous savez ce qui était vraiment étrange ? […] Il y avait déjà des gens dans la piscine. […] Vous savez quand ça éclabousse ? C’était au-dessus de la piscine. […] Mais ça ne retombait pas. C’était comme une photographie. […] Personne ne bougeait, et l’eau, les éclaboussures, ne bougeaient pas non plus. Et nous sommes passés à côté de toutes ces personnes immobilisées dans cet état, et pas une ne nous a regardés. »
Dans The Watchers II, Bob Luca, le mari de Betty Andreasson, a été interrogé lors d’une séance d’hypnose sur leur abduction hors du corps commune. À la question de savoir comment un observateur extérieur aurait perçu leurs corps et l’état dans lequel ils se trouvaient, il a répondu : « Deux coquilles figés dans le temps. […] Le temps ne s’écoule pratiquement pas à l’endroit où les corps se trouvent. […] Le temps n’est rien. »
Le phénomène de temps manquant consiste généralement en une incapacité de l’abducté à expliquer des laps de temps importants allant de quelques minutes à plusieurs heures. Habituellement, ce phénomène est uniquement attribué à une amnésie induite. Toutefois, certains cas suggèrent que bien d’autres éléments pourraient être impliqués et que le temps pourrait également disparaître dans l’autre sens.
Timothy Good raconte une anomalie temporelle vécue par Pierre Monnet en 1951. À 1 h 30 du matin, il avait enfourché son vélo pour parcourir les huit kilomètres qui séparaient son petit village français de la ville d’Orange. Il s’était subitement retrouvé « instantanément transporté » cinq kilomètres plus loin face à une soucoupe qui avait atterri (et vers laquelle il s’était dirigé à pied en poussant son vélo). Après cette rencontre, il était remonté sur son vélo et s’était à nouveau retrouvé instantanément transporté trois kilomètres plus loin aux abords d’Orange. Sa montre et l’horloge de la mairie indiquaient toutes les deux 1 h 35. « Je devais me faire une raison… Le temps ne s'était pas écoulé...! Le temps s'était arrêté pendant le trajet et le contact lui-même, que j'évalue à vingt minutes. » Il lui fallait habituellement 20 minutes pour parcourir ce trajet à vélo, ce qui équivalait littéralement à 40 minutes de temps manquant.
Moira McGhee partage le cas de 1952 de Rolf Lunnisted. Comme Monnet, il a vécu une rencontre rapprochée dans les bois. À son terme, « Rolf se retrouva à seulement 50 mètres de la porte de son domicile. La plus grande surprise restait à venir. Il se rendit compte qu’il était en avance. D’une manière ou d’une autre, il avait parcouru au moins 30 minutes à rebours dans le temps, si ce n’était davantage. Il était désormais 21 h 55, et la même émission qui avait pourtant fini avant qu’il ne parte de chez son ami était toujours en train de passer à la radio. » McGhee cite également le cas de « Lydia » qui avait constaté qu’un trajet en voiture « avait duré une heure et demie de moins qu’il ne l’aurait dû ».
Le moment critique entre les épisodes distincts remémorés est souvent décrit comme « fluide », à l’image de la « coupure » entre les scènes d’un film. L’abducté se trouve dans un endroit x à un moment a et l’instant d’après, à l’endroit y au moment b. D’autres fois, il s’endort et ne se réveille apparemment qu’un instant plus tard. Dans Confessions (2019), Robert Hastings décrit cette expérience : « mon impression générale était d’être sorti de l’allée, d’avoir tourné sur la route 78 et accéléré puis – en un clin d’œil – d’être arrivé à l’intersection, à quelques 14 kilomètres de là. C’était un fondu enchaîné. » Ces « séquences » distinctes mais homogènes peuvent représenter le début et la fin du « verrou temporel ». Lors d’une conversation avec Hastings, Luis Elizondo a émis l’hypothèse qu’il avait fait l’expérience d’un « plissement de l’espace-temps ».
La séance se poursuit :
R : Il arrive que les êtres de 4e densité auteurs de l’enlèvement se trompent dans les points de référence temporels de cette illusion qu’est la 3e densité. Cela peut créer l’effet de la survenue d’une expérience alternative ou double [comme pour Lunnisted ci-dessus] quand, en réalité, il n’y en a qu’une seule. C’est ce qui est arrivé dans ton cas. C’est pourquoi tu as cru voir deux « vaisseaux » [...] quand, en réalité, il n’y en avait qu’un. Ceci parce que l’illusion du cadre temporel de référence n’a pas été complètement coordonnée du début à la fin de l’événement dans le temps zéro. Mais ce n’est en général pas un problème.
À de rares occasions, il arrive que l’hôte, ou la victime de l’enlèvement, soit replacé, dans l’illusion du cadre temporel, à un moment semblant distant de quelques heures, jours, semaines, ou même années [...] du début de l’événement — ce qui provoque [...] des effets secondaires : démence profonde, et autres pathologies apparentées. Heureusement, ce n’est pas ce qui s’est passé dans ton cas, mais il y a bien eu fractionnement de l’illusion du cadre temporel de référence. […]
Jorjani, qui soutient que les ovnis (et leurs bases) créent des anomalies spatio-temporelles dans leur voisinage, pousse l’idée jusqu’au bout en conjecturant que dans ces secteurs, certaines victimes de disparition 411 sont accidentellement déplacées de milliers ou de millions d’années et qu’elles « finissent par revenir en phase avec leur point spatio-temporel d’origine, bien qu’elles soient souvent mortes au moment où cela arrive ». (Les C’s avancent une explication différente, mais le principe reste le même.)
[…] il ne s’agit pas d’une expérience physique qui se passe entièrement en 3e densité. [...] tous les êtres de 1ère, 2e, 3e et 4e densités possèdent une empreinte d’âme ; c’est celle-ci qui est extraite. Un double ou, si tu préfères, un clone de cette empreinte peut alors être réalisé et étudié en 4e densité. Puis l’empreinte originale est replacée dans le corps d’origine, quelle que soit la densité dans laquelle elle a été prélevée. Telle est la façon habituelle de procéder. [...]
Q : (T) Comment l’implant revient-il dans le corps de 3e densité resté là depuis le début ?
R : [...] Il est très complexe de s’essayer à décrire comment la 4e densité se transpose en 3e densité ; disons simplement qu’une fois que le duplicata, le clone de 4e densité [...] existe, toutes les réalités de 4e densité entourant ce double de 4e densité auront, au moment et à l’endroit désiré, leur contrepartie en 3e densité. Car, dans les faits, c’est tout le niveau de densité qui est échangé, pas seulement l’objet qu’il contient.
Q : (L) Donc, autrement dit, tout comme l’empreinte de l’âme, quand elle va en 4e densité, sert de modèle pour réaliser une copie carbone — façon de parler — tout ce que l’on fait à cette copie carbone sert à son tour de modèle pour, lorsqu’on la renvoie en 3e densité, recréer une manifestation similaire.
R : Précisément. À la seule différence que cette technologie permet aussi de s’assurer que les implants ou les objets posés en 4e densité se répliqueront à l’identique en 3e densité au cours du processus de remolécularisation. [...]
Q : (L) Dès lors, dans ce cas précis, quelque chose a été fait, quelque chose s’est produit, qui m’a affectée. Vu ma condition physique ultérieure, je suis curieuse de savoir si les réactions physiques que j’ai eues pendant six à neuf mois, et que j’ai encore occasionnellement, à la suite de cet épisode, ont été une réaction de troisième densité à ce que vous appelez un fractionnement temporel. Était-ce une anomalie ou était-ce intentionnel ?
R : [...] Ce n’est pas la conséquence d’un « fractionnement » de l’illusion du cadre temporel de référence. C’est purement et simplement la conséquence de l’empreinte de ton impression psychique de l’expérience elle-même qui se reflète dans ta réalité physique de 3e densité. [...]
Q : (T) La souffrance que le fils de Laura a décrite n’était pas due à ce qu’il a dit, mais est plutôt liée au fait que l’être de 4e densité emporte la force vitale ?
R : La force vitale n’est jamais emportée. L’âme est extraite. [...] le fils de Laura exprime simplement l’inconfort et la détresse qu’éprouvent la plupart des êtres de 3e et de 2e densité quand ils sont enlevés par des entités de 4e densité au Service De Soi. [...]
Q : (L) [J’essaye] d’en découvrir un peu plus sur la nature du processus d’abduction en général. Je veux dire, est-ce accompli au hasard, ou cela vise-t-il des personnes spécifiques pour des raisons précises ? Je pense que des personnes spécifiques sont peut-être ciblées afin de les mettre hors circuit. [...]
R : [...] Tout être SDS possédant un plus grand pouvoir que toi n’éprouvera pas de grande difficulté à te « mettre hors circuit » si c’est ce qu’il désire. Évidemment, c’est arrivé. [...]
Dans Stolen Seed, Evil Harvest, Karin Wilkinson décrit un phénomène que l’on pourrait apparenter à l’« extraction d’âme » évoquée ci-dessus :
[Après la paralysie], je ressentais un bourdonnement et une vibration de plus en plus forts qui me consumaient – parfois, un vrombissement grave accompagnait cette sensation. Mon corps se mettait tellement à vibrer que j’avais l’impression de me désintégrer d’une façon impossible à décrire. Mon corps était alors emmené hors de ma chambre, contre ma volonté.
Ce type de bourdonnement est également associé aux expériences de sortie hors du corps. Dans l’un des témoignages partagés par Strieber dans Them, un contributeur écrit :
Avant même d’avoir pu me proposer de sortir pour voir ce qu’il se passait, toutes nos jolies petites histoires sur les sorties hors du corps et la possession ont volé en éclats, car quelque chose d’invisible m’a agrippé par la poitrine et a commencé à me tirer avec une force incroyable. J’ai eu l’impression que mon âme, pas mon corps, était aspirée verticalement vers le fort vrombissement […]
Greg, l’un des patients du Dr John Mack, a lui aussi eu l’impression qu’un reptilien « essayait d’extirper son âme de son corps physique ».
Marden et Stoner écrivent : « La grande majorité des abductés crédibles décrivent l’une ou l’autre de ces sensations physiques lors de leur transport vers l’engin ou leur retour. Ils ressentent une pulsation d’énergie rythmée pouvant être quelque peu douloureuse au départ, ou ils ont l’impression que toutes les cellules de leurs corps se désolidarisent. » Ils récapitulent les réflexions de l’une de leurs sujets, Jennie :
Elle soupçonne également que le processus de transformation du corps humain physique en un autre état dimensionnel par accroissement de sa fréquence vibratoire [extraction de l’âme?], puis le rétablissement de son état physique afin qu’il soit traité sur l’engin ET [remolécularisation en 4D ?] avant une nouvelle fréquence vibratoire supérieure [démolécularisation ?] en vue de le ramener dans un environnement humain naturel d’une fréquence vibratoire inférieure, crée une décharge d’énergie électromagnétique à l’origine des manifestations de type poltergeist.
Anne Druffel relate les souvenirs d’une abduction astrale de Jean Moncrief :
Elle se rappelle consciemment qu’elle était en train de flotter de l’autre côté de la fenêtre de son appartement au troisième étage en direction de son lit. « Ils m’avaient ramenée du ciel », explique-t-elle. Elle affirme avoir vu son corps sur le lit à l’intérieur de la chambre, puis elle se souvient que les aliens l’avaient « retournée » pour la remettre dans son corps physique.
En commentaire à la fâcheuse tendance qu’ont les corps des disparus 411 de réapparaître sans chaussures ni chaussettes, les C’s ont déclaré : « Rappelez-vous que ce processus [le transfert transdimensionnel] comporte une sorte de retournement et de renversement à travers le rideau entre les mondes ».
Dans sa contribution à UFOs and Abductions de David Jacobs, John Mack écrit : « Les témoins de cet incident sont rares, mais les expériences sont d’une telle intensité physique que les abductés sont convaincus d’être parfois, mais pas toujours, emmenés sous leur forme physique et non sous une forme astrale ou autre de leur corps subtil ». Dans Passeport pour le cosmos (2016 [1999]), il précise :
Mais je dois avouer que plus j’ai exploré en profondeur ce sujet au cours des dix dernières années, plus s’est effritée ma conviction que les abductés nous décrivent quelque chose qui s’est produit au sens littéral dans cette réalité matérielle, ou qu’ils nous transmettent en termes métaphoriques des événements qu’ils auraient éprouvés comme totalement réels au sens physique bien que survenus à leur corps subtil, astral ou énergétique, lequel héberge peut-être le véritable sens de Soi.
19 juillet 1995
Q : (L) Lors d’une séance précédente, nous avons eu droit à une petite dissertation sur le processus d’abduction. Vous nous l’avez décrit de façon plus ou moins détaillée. Maintenant, nous aimerions savoir si, lorsqu’une âme est prélevée d’un corps pour être utilisée comme modèle à des fins de remolécularisation en 4e densité, il est possible, à un quelconque moment, qu’un clone remolécularisé soit retenu en 4e densité après que l’âme a été replacée dans son corps d’origine ?
R : Non, ce n’est pas possible.
Q : (L) Ils ne gardent donc pas de modèle ni de clone après nous avoir enlevés — « ils » étant un terme général ?
R : Non. […]
Q : (L) Maintenant, puisque des êtres d’autres dimensions ont la faculté de kidnapper, enlever ou prélever des âmes de force, la question est de savoir s’ils ont aussi la capacité de manipuler leur essence après qu’elles ont quitté le corps, au cours de la transition vers la 5e densité ?
R : Inexact. [Nous en reparlerons plus en détails dans de prochains articles.]
22 juin 1996
Q : (L) Un jour, vous nous avez dit d’étudier les bobines Tesla… l’antimatière… la déstabilisation des ondes de gravité via la production d’ondes électromagnétiques permet à l’antimatière d’interagir avec la matière, ce qui crée alors un portail… Toutes ces allées et venues des aliens quand ils enlèvent des gens, c’est dans l’univers d’antimatière qu’elles ont lieu ?
R : Pas loin. C’est par là qu’ils les transportent, mais la plupart des abductions ont lieu soit en 3e, soit en 4e densité.
Q : (L) Cette traversée de l’univers d’antimatière est-elle la « muraille de feu » que perçoivent les gens lors de leurs enlèvements ? La désintégration. La démolécularisation ?
R : Non. Ça, c’est la remolécularisation atomique transdimensionnelle.
21 novembre 1998
Q : (M) « J’ai vécu trois expériences avec des aliens qui m’ont gentiment donné des sortes de perles en silicium. S’agissait-il d’abductions physiques ou de simples projections ? »
R : L’une engendre l’autre. Une projection implique une remolécularisation atomique transdimensionnelle.
13 novembre 1999
Q : Le prochain correspondant écrit : « J’ai décidé d’écouter une des suggestions des C’s concernant la mélatonine. […] ce qui m’a vraiment époustouflé, c’est le rêve que j’ai fait il y a deux ou trois nuits. J’ai rêvé que j’étais soulevé de mon lit à travers la cheminée (que je n’ai pas) jusque dans un vaisseau spatial ! Je me voyais vraiment décoller du lit. Puis je me trouvais sur une sorte de surface surélevée avec un petit ÊTRE aux longs bras et un MÉDECIN HUMAIN à côté de moi. Le petit bonhomme semblait plutôt contrarié et essayait de me calmer, même si j’étais en paix, en agitant ses bras pour arrêter quelque chose. Puis le médecin a essayé de faire quelque chose dans le bas de mon dos, mais je me suis réveillé. Maintenant, accrochez-vous : je me suis réveillé à l’envers, les pieds sur les oreillers, et sur le dos alors que je dors rarement dans cette position. Quand je me suis levé, j’ai remarqué que les draps n’étaient pas du tout en désordre – quand je bouge dans mon sommeil, les draps se retrouvent toujours à la moitié du lit. Je ne sais pas ce qui s’est passé, je sais que cela paraît suspect, mais je reste très sceptique. […] » Je voudrais vous interroger sur ce rêve que notre ami a fait sous l’influence de la mélatonine. Celle-ci a récemment fait l’objet d’une certaine controverse, car un groupe affirme que les aliens stimulent la mélatonine dans le cerveau afin de provoquer la paralysie qui submerge la victime et leur permet ainsi de mener à bien leurs infâmes enlèvements. Est-ce vraiment le cas ? La mélatonine contribue-t-elle à la paralysie dans les abductions ?
R : Non. […] La mélatonine sert uniquement à prendre davantage conscience des processus dans ce contexte. [...]
Q : D’accord, et le rêve de notre ami ; était-ce un souvenir, un rêve ou un enlèvement ?
R : Abduction du corps éthérique.
Q : Quel était le but de l’abduction de son corps éthérique ?
R : Étudier.
Q : Qui a enlevé son corps éthérique ?
R : Orion SDS. [...]
Q : Donc, beaucoup de personnes sont enlevées, physiquement, éthériquement ou d’une autre manière, mais n’en ont absolument pas conscience ?
R : Plus souvent de façon éthérique.
13 octobre 2001
Q : (L) Nous avons visionné une vidéo qui montrait un étrange objet sombre en train de descendre vers le sol [près du World Trade Center]. Qu’est-ce que c’était ?
R : Afflux d’énergie de 4e densité.
Q : (L) D’où venait-il et où allait-il ?
R : Dôme de verrou temporel d’énergie destructrice jusqu’au sol.
Q : (L) Êtes-vous en train de dire qu’il y avait un dôme de verrou temporel au-dessus de cette zone ? Vous voulez dire qu’ils ont placé un « verrou temporel » au-dessus de cette zone afin de pouvoir « moissonner » des corps ou de l’énergie ?
R : Pas loin.
Q : (BT) Y avait-il un autre but en plus de cette moisson ?
R : Collecte d’enregistrements, d’or, extraction d’âmes [...]
Q : (L) Ces enregistrements pourraient-ils aussi avoir été une extraction des « souvenirs » des gens en train de mourir ?
R : Oui.
Q : (L) À quelle fin destinaient-ils ces âmes extraites ?
R : Remolécularisation.
Q : À quoi leur serviront ces êtres remolécularisés ?
R : Les replacer dans le bâtiment afin qu’ils en réchappent et soient secourus.
Q : (L) Êtes-vous en train de dire qu’il s’agissait d’une opportunité d’utiliser un événement extrêmement traumatique comme paravent à une abduction collective, pour ainsi dire ?!
R : Oui.
Q : (L) Qu’a-t-on fait à ces personnes enlevées ? Cette abduction collective avait-elle une raison précise ?
R : Activer les programmes.
Q : (TB) Alors, ceux qui en ont « réchappé » sont très probablement des individus programmés relâchés dans notre société, des gens programmés à partir en vrille à un moment donné ?
R : Pas loin.
29 décembre 2018
Q : (L) Vous avez parlé de la manière dont les abductions sont réalisées, qu’il s’agit d’une sorte d’extraction de l’âme : l’âme est emmenée en 4e densité, un corps de « matière » 4D est molécularisé, le travail se fait en 4D sur le corps réassemblé, et enfin ce corps est désassemblé, et l’âme ou la conscience est renvoyée à travers le rideau entre les mondes. Elle porte alors en elle la configuration de la manipulation, ce qui amène alors ces modifications ou manipulations à prendre effet dans le corps de la Terre 3D. J’ai donc une petite idée de la manière dont cela fonctionne, et peut-être n’est-ce pas une question que je devrais poser, mais... j’ai vraiment besoin de la poser : Comment cela se passe-t-il ? Comment font-ils cela ?!
R : N’oubliez pas que la 4D est un monde où la pensée a le pouvoir de créer. Si un esprit – et par là nous entendons bien plus que ce que ce terme vous évoque – pense à une structure ou à une chose qui doit être accomplie, elle s’assemble plus ou moins d’elle-même. Puis lorsque la structure est renvoyée de l’autre côté du rideau qui sépare les mondes, l’« idée » constitue le schéma directeur attracteur qui attire à lui les éléments correspondants de votre réalité, et ces derniers entameront alors le processus d’assemblage organique. Cela se produit parce que même la matière inanimée possède un niveau minimal de conscience correspondante.
Q : […] (L) Permettez-moi de répéter pour voir si j’ai bien compris. Vous dites donc que des généticiens de 4D prennent quelqu’un et se livrent à ce qui nous apparaît comme des activités insensées si l’on en croit les témoignages d’abductions. Et pourtant, dans la réalité 4D, ils sont peut-être en train de faire quelque chose avec une certaine idée et une intention qui peuvent nous échapper. La moindre chose qu’ils peuvent faire, et qui n’a pour nous aucun sens, a en réalité un effet en fonction de ce qu’ils pensent. S’ils veulent modifier l’ADN de quelqu’un, ils y pensent, et celui-ci se modifie plus ou moins. Ensuite ils procèdent à un désassemblage moléculaire des molécules de 4D qui sont différentes. Elles se comportent différemment, elles sont différentes. Après le corps revient et… (Andromeda) C’est une abduction totale, corps et conscience ? (L) Eh bien, pas nécessairement, il me semble. Ils ont dit que les abductions totales où ils prennent aussi le corps sont très rares. Ils activent un verrou temporel, enlèvent l’âme, et le corps de 3D reste sur place, figé. Ensuite ils renvoient l’âme, et comme il y a une certaine quantité de conscience dans la matière inanimée — c’est à dire dans toutes sortes de substances chimiques — d’une manière ou d’une autre la fréquence de ces substances chimiques s’ajuste aux structures de l’idée. (Joe) C’est un schéma directeur.
(Pierre) De ce que je comprends, l’élément directeur est l’idée en 4D. Le schéma directeur. Pour une raison ou une autre, puisque les molécules ou les éléments en 3D ont un peu de conscience, il y a une sorte de résonance entre le schéma directeur (l’esprit de 4D) et les éléments en 3D. Alors, ils fusionnent et l’idée de 4D finit par se matérialiser dans le monde 3D. (Joe) Eh bien, elle ne se matérialise pas nécessairement. Elle peut modifier la structure de quelque chose de matériel. (L) Oui. L’idée se matérialise mais simplement en activant les lois de la physique et de la chimie. (Joe) Cette idée peut donc grosso modo s’imprimer dans la matière en 3D, et modifier la structure de celle-ci. (L) Je suppose qu’il n’y a pas de limites aux applications. Mais je pense évidemment tout particulièrement aux êtres vivants. (Andromeda) C’est un peu comme les expériences sur l’eau dont la structure se modifie lorsqu’on se concentre dessus. C’est le même principe, mais un cran au-dessus. (L) Mais on est incapable de faire plus que modifier un peu d’eau. Ils parlent de modifier carrément l’ADN, voire plus.
(Joe) Mais ils ont dit qu’en 4D, au fond, les pensées sont des choses. La pensée a le pouvoir de créer. Et ils ont dit que lorsque quelqu’un là-bas pense à une structure ou à une chose qui doit être accomplie, elle s’assemble plus ou moins d’elle-même. Est-ce que ça veut dire qu’elle s’assemble de façon matérielle, physique ? (L) D’une façon matérielle de 4D, qui est semi-matérielle comparée à notre monde matériel 3D. (Joe) Alors rien de physique n’est renvoyé à travers le rideau qui sépare les mondes, c’est ça ? (L) Non. (Chu) Cela s’apparente à la façon dont les récepteurs sur les cellules fonctionnent. Il faut un niveau minimal de conscience, et cela correspond en 4D à la façon dont un récepteur se lie à une substance biochimique — les choses « s’ajustent » tout simplement.
(Andromeda) Mais alors, est-ce que la conscience doit être retirée pour que cela se produise, ou est-elle restructurée dans le corps ? (L) Je pense qu’il est plus facile pour eux de faire cela en 4D. Ils transfèrent la conscience en 4D pour pouvoir le faire ! Parce qu’ils ont réassemblé un corps autour d’une conscience qui est un corps de 4D, constitué de matière 4D qui se comporte apparemment de manière totalement différente par rapport à notre matière. Elle est beaucoup plus malléable. Et ainsi ces changements sont en quelque sorte « imprimés » dans la conscience. Ensuite ils dissolvent le corps 4D, renvoient la conscience dans son corps 3D qui alors, parce qu’elle a été modifiée... Et ça en dit un peu plus sur la puissance de notre propre conscience ! Si on pouvait effectivement modifier notre propre conscience aussi profondément, on serait probablement capables de modifier la matière ! Et bien entendu, ils disposent de moyens que nous n’avons pas. Ils ont des jouets que nous n’avons pas. (Pierre) Et l’esprit aussi.
27 avril 2024
Q : (L) [Dans le cas des cosmonautes de la station Salyut-7 évoqué dans la partie 1b] S’agissait-il de la méthode d’abduction habituelle qui consiste à extraire l'âme, remoléculariser un corps autour d'elle, puis à travailler dessus avant de la remettre en place ? Je veux dire qu'ils ne sont pas vraiment allés dans la station spatiale pour les enlever physiquement, n'est-ce pas ?
R : Non
Q : (L) Et il s’agissait, comme je l'ai suggéré, de la méthode habituelle ?
R : Oui
Q : (L) Et quel en était le but ?
R : Prélèvement d’échantillons afin de déterminer les effets des voyages spatiaux sur la physiologie.
Q : (L) Et ils peuvent le faire parce que lorsqu'ils les remolécularisent, tout ce qui est remolécularisé est parfaitement identique au corps réel ? C'est ça ?
R : Oui.
Ces dernières années, plusieurs chercheurs ont avancé l’idée d’une abduction de l’âme au lieu de l’hypothèse d’un enlèvement physique. Dans The NASA Conspiracies (2011), Nick Redfern cite Joe Jordan, un employé de la NASA, qui lui a dit :
Les gens ne sont pas emmenés dans un vaisseau ; ils restent physiquement dans leur lit. Je connais deux ou trois cas de personnes enlevées en présence d’un témoin qui était éveillé. Elles ne sont allées nulle part. Elles ont quasiment sombré dans l’inconscience. Même si cela n’a duré que quelques minutes, elles sont sorties de cet état totalement épuisées et étaient en mesure de raconter ce qui leur était arrivé, mais il leur a fallu des heures pour tout dire. […] Comme un déplacement temporel. Je ne crois pas que je qualifierais cela d’hallucination, peut-être […] un style d’hologramme, mais cela se passe toujours dans l’esprit.
Dans Earth (2013), Timothy Good écrit : « Bien que les preuves suggèrent que de nombreuses [abductions] sont physiques, je crois qu’il est probable que certaines impliquent l’enlèvement du corps astral ». Et dans A Trojan Feast (2015), Joshua Cutchin relève que les témoignages de contactés et d’abductés « comportent fréquemment des aspects mystiques davantage comparables à des expériences de mort imminente ou de sortie hors du corps ». Dans Thieves in the Night (2018), il écrit : « Les enfants abductés racontent régulièrement que leurs expériences commencent par une sensation de lévitation. Celle-ci pourrait être physique ou astrale (c’est-à-dire hors du corps) et s’accompagne couramment, mais pas toujours, d’un rayon de lumière. »
Bon nombre des kidnappings […] représentent au moins en apparence des rencontres physiques. Sans rejeter les interprétations physiques des enlèvements par des fées et des aliens, le corpus de preuves comporte tout simplement trop de nuances spirituelles pour ignorer les solutions métaphysiques.
Et en 2019, Robert Hastings écrivait :
Quant à l’opinion de Fowler que les abductions se produisent probablement pendant que l’abducté se trouve hors de son corps, il est impossible que cela soit vrai pour les cas où l’individu se réveille et constate la présence de sang, d’égratignures, de bleus et/ou de cicatrices en creux, ou découvre par la suite des implants manufacturés d’un genre ou l’autre dans diverses parties de son corps. […] Cela dit, parfois, il semble effectivement que la conscience de la personne soit en quelque sorte déplacée pendant l’enlèvement. Parmi l’ensemble de leurs expériences, de nombreux abductés racontent avoir quitté leur corps, flotté au-dessus de la Terre et quelquefois parcouru de longues distances avant de revenir dans leur forme physique.
Comme nous venons de le voir, les abductions « astrales » pourraient en réalité avoir des effets physiques durables tels que ceux évoqués ci-dessus, notamment les cicatrices et les implants.
Bonjour,
N'est-il pas plus avantageux de nous laisser dans l'ignorance de nos possibilités, tel que nous avons été créés à l'origine ? Nous sommes d'essence divine, nos corps ont été créés par des êtres de densités supérieures. Par conséquent, nous sommes "toutes possibilités", des êtres multidimensionnels. Cette information essentielle n'est jamais rappelée. De vrais guides n'hésiteraient pas à nous faire travailler dans ce sens, de façon à réactiver notre ADN (qu'ils veulent à tout prix, bien sûr, modifier). Au lieu de cela, on nous fait croire que ces prédateurs sont plus puissants que nous, grâce à leur technologie. Cette technologie remplace, effectivement, ce qu'ils n'ont pas, et que nous possédons naturellement. Il est grand temps de s'émanciper, afin de recouvrer toutes nos facultés, et de cesser de tout leur céder, sous prétexte d'impuissance. Refuser, c'est la première étape. Il nous reste à trouver comment réactiver ce qui nous a été volé par ruse. Soyons-en convaincus, cela pourrait tout changer !!
Proverbes 23:23
Bonjour,
D'après un témoignage dans un article (https://echelledejacob.blogspot.com/2014/11/ces-mondes-qui-nous-entourent.html), "Ils aspirent notre DMT (dimethyltriptamine) dans un vortex tournoyant. (...) Quand nous rêvons la DMT s'écoule parfois de la glande pinéale (...) La DMT brille d'une couleur bleue-violette. Ils créent un corps physique sur la base de cette DMT. C'est ainsi qu'ils répliquent un corps physique (...) Nous pouvons le faire nous-mêmes. (...) La conscience est dans la DMT, c'est une molécule qui sert de portail. Ils peuvent mettre votre DMT dans n'importe quel conteneur (comme rapporté par Karla Turner), et puis vous mettre dans un nouveau corps, mais ce n'est pas un clone. (...)
La DMT est un "esprit de l'eau", la molécule elle-même. Elle partage sa conscience avec l'eau, elle vient de l'eau." Si l'on active notre ADN, nous ne rêvons plus, et la DMT, alors, ne sort plus (= plus d'abductions ou presque)