Plusieurs types de sources avancent l’existence d’un monde souterrain habité. Dans le folklore et les légendes, on trouve des mythes sur un inframonde, tels que l’Hadès et Xibalba. Les Zuñis amérindiens croient que leurs ancêtres ont émergé d’un monde souterrain et, au Mexique et en Amérique du Sud, il existe des légendes sur des tunnels et des villes se trouvant sous terre. Il y a également les récits plus modernes sur l’Agartha, peuplée de « maîtres occultes » technologiquement avancés, qui serait accessible depuis des grottes et des tunnels situés en Asie centrale, par exemple. Pour avoir un aperçu de bon nombre de ces légendes, regardez le documentaire de Mr Mythos ci-dessous :
Dans le monde de l’occultisme, on trouve des histoires sur des alchimistes et des théosophes qui auraient rencontré de mystérieux étrangers et des maîtres ascensionnés prétendant, pour certains, venir de l’inframonde. L’alchimiste du XVIIe siècle Johann Friedrich Schweitzer (alias Helvétius) a affirmé avoir reçu la visite d’un étranger qui lui avait apporté une preuve de l’existence de la Pierre philosophale et raconté qu’il habitait à l’intérieur de la Terre et « pilotait » les dirigeants des hommes. (À l’époque, Baruch Spinoza a étudié ces allégations.) Des théosophes comme Helena Blavatsky ont adopté certaines de ces légendes et prétendu avoir des contacts télépathiques avec des maîtres tibétains secrets, et Alice Bailey a parlé d’une race secrète dissimulée attendant le moment où elle se montrerait. Au milieu du XXe siècle, des théosophes brésiliens furent intrigués par les théories sur la Terre creuse et leurs relations avec les ovnis.
Nombre de ces idées centrales viennent de récits fictifs sur la Terre creuse, souvent présentés sous l’apparence de comptes-rendus factuels, où la frontière entre faits et fiction était délibérément floue. En 1871 [1888], Edward Bulwer-Lytton, un rosicrucien anglais, a écrit La race future, qui parle d’une merveilleuse race, ayant survécu à un antique cataclysme et habitant à l’intérieur de la Terre, qui se déplaçait en « bateau aérien » grâce à l’énergie du « vril ». L’Agartha fut mentionnée pour la première fois en 1873 par Louis Jacolliot, et sa prétendue théocratie souterraine qui pilotait les événements mondiaux à la surface a ensuite été décrite en détails par Joseph-Alexandre Saint-Yves d’Alveydre. Tous deux étaient occultistes.
Parmi les ouvrages fictifs traitant de ces thèmes, on trouve Les aventures d’Arthur Gordon Pym d’Edgar Allan Poe (1858), Voyage au centre de la Terre de Jules Verne (1864), Among the Gnomes (1895) de Franz Hartmann, Etidorhpa de John Uri Lloyd (1896), et Le dieu dans la fumée de Willis George Emerson (1908). Un autre ouvrage à cheval entre les faits et la fiction est Darkness over Tibet de Theodore Illion (1938), un récit de voyage lors duquel Illion se retrouve dans une cité tibétaine souterraine gouvernée par un mage noir dont la « hiérarchie occulte » compte contrôler le monde grâce à la télépathie et à la projection astrale.
En 1922, Ferdynand Ossendowski a prétendu avoir appris certains secrets relatifs à ce royaume secret tandis qu’il se trouvait en Mongolie lors de la Guerre civile russe. S’il demeure possible qu’il se soit inspiré de Saint-Yves d’Alveydre, il l’a toujours nié.
Le prince Choultoun Beyli ajouta : ce royaume est Agharti. Il s'étend à travers tous les passages souterrains du Monde entier. J'ai entendu un savant lama chinois dire au Bogdo Khan que toutes les cavernes souterraines de l'Amérique sont habitées par le peuple ancien qui disparut sous terre. On retrouve encore de leurs traces à la surface du pays. Ces peuples et ces espaces souterrains sont gouvernés par des chefs qui reconnaissent la souveraineté du Roi du Monde. Il n'y a pas en cela grand-chose de merveilleux. Vous savez que dans les deux plus grands océans de l'Est et de l'Ouest se trouvaient autrefois deux continents. Ils disparurent sous les eaux, mais leurs habitants passèrent dans le royaume souterrain. Les cavernes profondes sont éclairées d’une lumière particulière qui permet la croissance des céréales et des végétaux et donne au peuple une longue vie sans maladie. Là existent de nombreux peuples, de nombreuses tribus. Bêtes, hommes et dieux (1924)
Les récits de ce genre se sont peu à peu infiltrés dans le milieu des contactés et des abductés des années 1950-2000, certains ayant prétendu avoir eu des contacts physiques ou télépathiques, parfois sur de longues périodes, avec soit ces peuples souterrains eux-mêmes, soit des « aliens » à l’apparence humaine qui avaient affirmé ou laissé entendre qu’ils venaient de l’inframonde. Håkan Blomqvist cite quelques-unes de ces sources, comme Eugene Drake, Frank Howard, George Adamski, Howard Menger, Millen Cooke et le médium Mark Probert (enregistré par Meade Layne).
À cheval entre ces deux mondes, on trouve Richard Shaver dont les récits sur Teros et Deros (des robots malfaisants) ont été complétés et publiés à partir de 1943 par Ray Palmer dans son magazine Amazing Stories. Shaver prétendait recevoir des communications télépathiques de Lémuriens, la source alléguée de ses histoires d’un monde souterrain peuplé de dégénérés malveillants (devançant ainsi un certain folklore ufologique plus bien tardif). Palmer étoffa les contributions de Shaver en les présentant comme la vérité assortie de quelques fioritures fictives. Ces histoires incitèrent de nombreux lecteurs à évoquer dans des lettres des récits similaires, à l’instar de Margaret Rogers qui prétendit avoir pu visiter la civilisation souterraine grâce à un passage se trouvant au Mexique.
Mr Mythos sur Etidorhpa et le mystère Shaver :
Il y a également des ouvrages d’investigation plus ou moins sérieux s’appuyant sur tout ce qui précède, comme ceux de « Raymond Bernard » (Walter Siegmaster), avec notamment La Terre creuse (1971), et de « Eric Norman » (Warren Smith) qui récapitule certaines des preuves de l’existence d’une race souterraine dans son livre The Under-People (1969). Siegmaster voulait créer une nouvelle race supérieure en Amérique du Sud. L’une de ses sources, un théosophe brésilien portant le nom de Pr Henrique de Souza, prétendait être en contact avec des Atlantes intraterrestres. Dans Lost Continents & the Hollow Earth (1999), David Hatcher Childress fait l’historique des théories et des allégations concernant la Terre creuse.
Des thèmes communs émergent de ces récits, tels que des capacités technologiques et parapsychiques avancées (télépathie, ovnis, armes psychotroniques et dispositifs thérapeutiques), et la qualité unique de la luminosité souterraine. Bulwer-Lytton et Ossendowski, puis « Gordon Nicholas » et le « Pr Juan da Silva » de Norman, ont affirmé que certains Atlantes avaient été avertis d’une catastrophe imminente et s’étaient réfugiés sous terre. (Pour Shaver, il s’agissait de Lémuriens. Blomqvist surnomme cette théorie l’hypothèse de « l’ancienne civilisation sécessionniste ».) Ils sont souvent présentés comme des enseignants de l’humanité : le « Dr Gunther Rosenberg » de Norman cite les légendes des maîtres-sauveurs Ramayana, Quetzalcoatl et Viracocha qui ont émergé des profondeurs pour instruire les hommes. Rogers les appelait des « émissaires » et affirmait que plusieurs d’entre eux vivaient à la surface parmi les êtres humains. Ils manifestent souvent un intérêt pour la politique et influencent ou s’immiscent dans les affaires mondiales.
Pour finir, en ufologie contemporaine, plusieurs auteurs proposent l’hypothèse cryptoterrestre comme modèle concurrent de l’hypothèse extraterrestre plus populaire. (Hynek et Vallée les surnomment les « aliens terrestres ».) C’est Mac Tonnies qui l’expose le mieux dans son livre de 2010, The Cryptoterrestrials, mais l’idée fondamentale d’une origine terrestre (souterraine) des ovnis existe depuis aussi longtemps que l’ufologie.
[Paxson C.] Hayes suppose que les explosions atomiques ont excité la curiosité de ces habitants du monde souterrain, qu’ils sont sortis de leurs cavernes polaires et qu’ils font le tour de la Terre à bord de soucoupes volantes dirigées magnétiquement, afin de savoir qui sont leurs voisins du dessus. […] Mais que viennent-ils faire ici ? Leur intention serait, paraît-il, d’empêcher la destruction de l’Univers par la bombe à hydrogène, éventualité qui serait aussi catastrophique pour eux que pour nous. — Frank Scully, Le mystère des soucoupes volantes (1951)
En 1959, Ray Palmer a publié son numéro de Flying Saucers consacré à la « Terre creuse » en soutenant que les ovnis n’étaient pas des appareils extraterrestres mais venaient des profondeurs de la Terre. Siegmaster a trouvé une idée analogue dans le livre de 1955 d’O. C. Huguenin, Dos mundos subterrâneos para os céus. Albert Bender affirmait que ses trois célèbres Hommes en noir lui avaient expliqué que les ovnis venaient de bases secrètes en Antarctique. Plus récemment, d’autres ont défendu le même genre d’idée :
Ils [les Nordiques] représentaient une civilisation planétaire sur Terre dans un très lointain passé, et leur capacité à résister à un effondrement en fait également des survivants de l’« Atlantide ». Ils ont survécu dans de grandes bases souterraines et des cités sous-marines, conformément à l’hypothèse cryptoterrestre. — Jason Reza Jorjani, PhD, Closer Encounters (2021)
Je me demande si une civilisation avancée ne serait pas venue ici il y a bien longtemps (Atlantide ?) et n’aurait pas été prise à tort pour des dieux grecs, des anges etc. Puis elle serait allée sous la terre et apparaîtrait de manière épisodique pour faire progresser l’humanité. Ensuite, quelque chose d’autre venu d’en dehors de notre système solaire serait entré en compétition avec elle. — Tom DeLonge (23 février 2023)
Je pense que nous avons peut-être affaire à un groupe d’intelligences non humaines, certaines étant interdimensionnelles, certaines venant d’une autre galaxie, d’autres parties de l’univers, qui nous rendraient visite grâce à leur capacité à courber l’espace-temps, mais je pense aussi qu’il est possible que nous parlions de ce que l’on qualifie de cryptoterrestre. Ça a toujours été là. […] [Tim Gallaudet] a parlé de phénomènes anormaux dont il a eu connaissance lorsqu’il était garde-côtes. Et il a spéculé assez ouvertement sur la possibilité de l’existence d’une intelligence non humaine, quelle qu’elle soit, l’une des régions inexplorées de notre planète les plus vastes se trouvant sous l’eau et un tas des phénomènes qui sont signalés venant […] des océans. — Ross Coulthart (25 septembre 2023)
Toute culture ayant autrefois connu l’ampleur d’une catastrophe planétaire […] se méfiera de la surface de la planète, celle-ci représentant une région notoirement exposée et instable […] Et comme une culture post-apocalyptique de ce type aurait été réduite à relativement peu de membres, leurs besoins en matière d’espace vital seraient aussi relativement modestes. Selon le niveau de technologie qu’ils auraient réussi à conserver, ils auraient pu s’installer sous l’eau ou sous la terre. — Bernardo Kastrup, PhD (6 janvier 2024)
Certaines variantes de l’hypothèse dite « ultraterrestre » sont également cohérentes. Pour reprendre la définition donnée par le colonel Karl Nell fin 2023 : « Le terme ultraterrestre fait référence à toute forme de vie consciente, indépendamment de son origine ultime, qui réside sur Terre ou dans son voisinage immédiat – sous/terrain, sous/marin, aéro/spatial – depuis suffisamment longtemps et de manière semi-permanente (quoique discrète), à l’exclusion des êtres humains modernes et de leurs ancêtres connus ».
Voici ce que les Cassiopéens ont dit à ce sujet au fil des ans.
7 mai 1995
Q : (L) Est-ce que quelqu’un ou quelque chose, comme des gens ou des civilisations, ou un groupe ou une organisation, existe à l’intérieur du Mont Shasta en Californie ?
R : Non.
Q : (J) Y a-t-il un soupçon de vérité dans la rumeur de puissance mystique qui entoure le Mont Shasta ?
R : Seulement indirectement.
Q : (T) Mais le Mont Shasta lui-même n’a aucun pouvoir intrinsèque ?
R : Si.
Q : (L) Le Mont Shasta lui-même mais aucun groupe ou entité, c’est bien ça ?
R : Oui.
Dans The Under-People, Norman écrit : « En Californie, le mont Shasta, qui culmine à 4 317 mètres, est le théâtre de nombreuses légendes évoquant des « maîtres » vêtus de robes blanches et de sandales dorées, des grottes recelant un trésor lémurien, une musique inhabituelle qui parcourt les forêts du comté de Siskiyou la nuit ». Childress précise : « En 1934, Guy Warren Ballard a écrit un livre intitulé Les mystères dévoilés, sous le nom de plume de Godfré Ray King. Dans cet ouvrage, il décrit de nombreux voyages hors du corps qu’il a entrepris vers une merveilleuse ville secrète antique technologiquement avancée au mont Shasta ou dans les environs. »
Plusieurs livres exposent en détails les légendes et observations d’ovnis/PAN liées au mont Shasta, par exemple : Mount Shasta Sightings (2012) de Brian David Wallenstein, Mount Shasta’s Forgotten History & Legends (2018) de D. W. Naef et The Portals and UFOs of Mount Shasta (2020) de Grant Cameron. (Voir aussi les références au mont Shasta dans la série consacrée aux bases souterraines.)
5 août 1995
Q : (L) Est-ce que l’Agartha existe ?
R : Non.
Étant donné les déclarations faites ultérieurement au sujet d’une civilisation souterraine, cette réponse signifie vraisemblablement que les spécificités, le nom et/ou la localisation de cette civilisation ne sont pas nécessairement présentés de manière exacte dans les histoires racontées, par exemple, par Saint-Yves d’Alveydre dans Mission de l’Inde en Europe.
14 octobre 1995
R : Les disparus au combat au Vietnam, où sont-ils aujourd’hui, à votre avis ?
Q : (L) Eh bien, j’espère que vous allez nous le dire ! (T) Certains d’entre eux… (TK) Est-ce qu’ils ont été enlevés ? (T) Certains sont morts dans des explosions tellement fortes qu’ils n’ont jamais pu être retrouvés, alors on les a classés « disparus au combat », parce qu’on n’a pas pu les identifier comme « morts au combat ». Certains sont déserteurs, et d’autres… Enfin, les déserteurs peuvent appartenir à plusieurs catégories, mais je ne vais pas rentrer dans les détails. Certains se sont lancés dans le trafic de drogue. (TK) D’autres ont simplement décidé qu’ils se plaisaient mieux là-bas. (T) Ouais, il y a ça aussi ; et d’autres, j’imagine, ont été soit enlevés, soit échangés, incorporés dans le gouvernement secret. (L) Tout ceci est-il exact ?
R : Oui.
Q : (T) C’est pour ça qu’ils ne peuvent pas dire aux gens où ils sont… […]
R : Les Morts au combat… sont un sujet à part !! Combien y en a-t-il vraiment eu ?
Q : (T) Combien ont vraiment été tués sur les 60 000 ? Combien d’entre eux sont considérés comme morts alors qu’ils ne le sont pas ? [...] (TK) Toutes sortes de gens sont allés là-bas, le gouvernement secret a pu en recruter certains… [...] (L) Bon, maintenant, allez-vous nous donner un indice sur l’endroit où ils se trouvent et ce qu’ils sont en train de faire ? Est-ce que certains travaillent dans ces bases souterraines ?
R : Oui… Oui… Oui.
Q : (L) C’est de là que vient le personnel… ils sont philosophiquement morts.
R : Et de bien d’autres lieux et époques. Etc.
Q : (TK) Des guerres à travers les âges. De combien de personnes parle-t-on ? (L) De quel ordre de grandeur parlons-nous ?
R : Puisque votre centre de l’imagination fonctionne à bas régime ce soir, il va falloir qu’on vous dise tout ; mais au moins, observer l’impact est amusant, comme « une tonne de briques » tombant sur vos têtes !!
Q : (L) Allez-y, dites-nous tout. Combien sont-ils ?
R : Deuxième Guerre mondiale, 72 355 encore vivants ; mais où ????
Q : (L) Est-ce le chiffre exact ? [...]
R : Oui.
Q : (T) C’est le nombre de gens que le gouvernement secret a « récupérés » ? [...] Censés avoir été tués au combat… [Lors de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis ont recensé 407 300 blessés, disparus et morts au combat. Le total des victimes pour tous les pays se situent entre 21 et 25 millions et demi.]
R : Oui.
Q : (T) De toutes les branches de l’armée ?
R : Oui.
Q : (TK) Ces gens ne vieillissent pas ; ils sont toujours « opérationnels » et parés à l’action…
R : Précisément, les amis !!!
Q : (J) OK, juste pour la Deuxième Guerre mondiale… (TK) Et pour la Corée, le Vietnam, etc. (L) Très bien, quels sont les chiffres pour la Corée ? [...]
R : 6 734. [Le total des morts sur le théâtre d’opérations s’élevait à 36 574, dont 8 075 sans dépouille.]
Q : [...] (TK) Et pour la guerre du Golfe ?
R : Oui. 55. [195 soldats américains et anglais sont morts au combat, et 145 autres américains lors d’accidents hors combat.]
Q : (T) Ouais, il y a eu environ 55 000 victimes en Corée [voir la note ci-dessus], en quatre ans de guerre. Trois ans et demi, plus précisément. Donc 6 000, ça nous fait un peu plus de 10 % de « non morts ». [Et pour le Vietnam ?]
R : 23 469. [Le total des Américains disparus et morts au combat était de 59 865.] [...]
Q : (T)… qui sont encore en vie ?
R : Oui.
Q : (T) Donc, il y en a 23 000 qui viennent de…
R : Certains sont des doubles corporels servant de remplacement de réceptacles d’âme. [...]
Q : (L) Des individus de la Guerre civile sont-ils impliqués dans ce projet, ces tunnels ou ces bases souterrains, ou je ne sais quoi ? […]
R : Quelques-uns.
Q : (T) Oui, plus on remonte dans le temps, moins on trouve de spécialités. Mais un spécialiste reste un spécialiste, peu importe de quelle guerre il s’agit.
R : Pas la question.
Q : (L) Je pense que la question est : qui sont-ils ? Dans la série d’ouvrages Matrix [de Val Valerian], il y a un passage, tiré des enseignements de L. Ron Hubbard, qui parle de techniques permettant d’éjecter l’âme hors du corps et d’y insérer une autre âme, puis de reprogrammer les souvenirs, pour qu’il n’y ait pas de correspondance…
R : Faux.
Q : (L) D’accord. Donc l’éjection et la manipulation des âmes, telles que les décrit L. Ron Hubbard, c’est faux ? Dans un sens général ?
R : Oui.
Q : (L) D’accord ; vous avez dit tout à l’heure que certains de ces corps étaient utilisés comme réceptacles, des réceptacles d’âme. Mais des réceptacles d’âme pour qui ?
R : Remplacements de corps morts, c’est-à-dire duplications.
Q : (L) Autrement dit, ils créent des doubles de corps de défunts et placent leurs âmes dans ces corps de remplacement pour qu’elles puissent continuer à vivre, c’est ça ?
R : Oui.
Q : (L) Est-ce qu’il leur arrive de prendre des cadavres et de les réanimer pour y placer d’autres âmes ?
R : Non.
Q : (T) Attendez, vous dites que certains d’entre eux… Là, je suis perdu. [...]
R : Exemple : un soldat meurt au combat, son corps est dupliqué, son âme est replacée dans ce nouveau corps, puis il est « reprogrammé pour servir » les aliens et le GS.[Gouvernement secret]
Q : (L) D’où vient le nouveau corps ? (TK) Un clone, fondamentalement. [...]
R : C’est un double de l’ancien.
On trouve une idée semblable dans le Dulce Book de « Branton » : « Des abductés prétendent que certaines factions reptiliennes possèdent des bio-technologies si sophistiquées qu’elles sont capables de prélever l’âme-énergie-matrice d’un être humain […] dans certains cas, les reptiloïdes peuvent rapidement créer un double cloné d’une personne grâce à une distorsion temporelle et replacer l’âme-énergie-matrice d’une personne dans le nouveau corps cloné si la disparition de celle-ci dans la société créerait trop de problèmes. »
Q : (T) D’où obtiennent-ils ce double ? (L) D’où viennent les matériaux utilisés pour faire ce double ? [...]
R : RMATD.[ReMolécularisation Atomique TransDimensionnelle]
Q : [...] (T) Autrement dit, un « Réplicateur », comme dans Star Trek. (TK) Est-ce qu’on doit mourir d’une certaine façon pour que ça puisse se faire ?
R : Non.
Q : (TK) Est-ce qu’il y a des délais précis à respecter après la mort ?
R : Non.
Q : (T) Parce que quand le corps physique meurt, le corps spirituel continue à vivre. L’âme ne meurt pas, donc ils l’ont toujours à disposition. (L) Ils ne vont pas déterrer un cadavre, parce qu’ils s’en fichent du corps.
R : Temps zéro.
Q : (T) Parce que le temps n’existe pas… (L) Ils utilisent la fréquence vibratoire de l’empreinte de l’âme, la transfèrent vers une autre densité, et font appel à leur technologie de RMATD pour provoquer un réassemblage moléculaire — c’est-à-dire que les atomes se mettent à vrombir et s’assemblent selon l’ancien modèle, jusqu’à former un corps à part entière, qu’ils réinsèrent ensuite en 3e densité par la porte temporelle. Est-ce exact ?
R : Pas loin.
Q : […] (T) OK, vous avez dit… prenons le Vietnam. Vous avez dit que sur les 60 000 morts au combat, 23 000 n’avaient en fait pas été tués au combat. C’est bien ça ? Oui.
R : Ont été tués, puis réanimés.
Q : (L) Nous ne parlons pas de cadavres ici, n’est-ce pas ?
R : Oui.
Q : (L) D’accord, alors il y en a qui ont été tués au combat et dont le cadavre a été réanimé ? (J) À condition qu’ils n’aient pas sauté sur une mine antipersonnelle. (L) Il y a donc bien eu des cadavres qui ont été réanimés, est-ce exact ?
R : Certains, mais la plupart ont été dupliqués.
Q : (L) Alors cela soulève immédiatement la question de savoir si une mort violente entraîne une certaine potentialité ; c’est-à-dire, est-ce que la guerre, l’atmosphère de la guerre rend l’individu plus susceptible de subir ce type de procédure que s’il mourait de façon ordinaire ? (J) L’énergie négative…
R : Non.
Q : (T) Non, parce que ce genre de mort violente… il y a des morts violentes tout le temps sans besoin d’une guerre : accidents de voiture, incendies, explosions…
R : La guerre est une bonne couverture pour ce genre d’opérations secrètes.
La chercheuse australienne Moira McGhee aboutit aussi à cette conclusion, dans The Alien Gene (2020), concernant la disparition de deux armées britanniques en 1898 : « Des batailles et des opérations militaires généralisées constituent une situation idéale pour enlever rapidement des centaines, voire probablement des milliers, d’hommes et tripatouiller leur biologie afin que quiconque souffrant de stress et d’épuisement ne s’en souvienne pas – les autres seraient peu disposés à signaler un tel incident à leur hiérarchie. »
Leonard Stringfield, ex-agent de renseignements de l’Air Force et enquêteur sur les récupérations d’ovnis accidentés, a reçu d’une de ses sources un témoignage sur des aliens s’emparant de corps au Cambodge, pendant la guerre du Vietnam.
Les aliens manipulaient un énorme amoncellement de diverses parties du corps humain pour les placer dans de gros conteneurs : bras, jambes, torses, têtes ; cette horrible liste était interminable. Il s’agissait pour certains de restes de blancs, d’autres étaient noirs, et d’autres avaient l’air vietnamiens. Ce spectacle refroidit et indigna les Forces spéciales, et le commandant donna l’ordre d’ouvrir le feu. Les balles touchèrent les créatures, mais ne leur firent aucun mal, hormis l’une d’elle qui fut tuée par un impact dans la tête.
L’un des documents du MJ-12 que « Thomas C. Cantwell » (qui pourrait être l’agent de la CIA Boris Tarasoff) a transmis à Timothy Cooper en 1995 serait l’ébauche d’un rapport annuel éventuellement de 1952 qui comprenait ce qui suit :
Dans les annules [sic], les disparitions collectives de soldats en guerre et de leur équipement sont rares mais néanmoins présentes. Au XVIIIe siècle, durant la Guerre de succession d’Espagne, la disparition de 4 000 soldats ainsi que de leurs armes et leur équipement (chevaux inclus) a été signalée. En 1885, environ 600 soldats coloniaux français et leur équipement ont disparu près de Saïgon, en Indochine française, sans laisser de trace. Le 21 août 1915, des membres de la Première Compagnie de campagne de l’armée néo-zélandaise ont déclaré sous serment avoir vu le Premier-quart du Régiment de Norfolk disparaître dans une [sic] nuage brun étrangement épais que [sic] sembla se déplacer, s’élever et se volatiliser. On ne retrouva aucune trace du régiment ni de son équipement. Les archives historiques de l’Imperial War Museum n’ont pas permis de découvrir une quelconque explication. En 1939, plus de 2 900 nationalistes chinois ont été portés disparus dans leur camp, juste au sud de Nankin. Là encore, des hommes, des équipements et des fusils ont disparu, bien que les feux de camps et les tentes de cantine soient restés intacts. Lors de la Guerre du Pacifique, des pelotons entiers et de plus grandes unités ont semblé avoir disparu à plusieurs reprises sans signe de combat ou de lutte. Hommes, équipement et armes se sont volatilisés sans laisser de trace. Ces disparitions sont à chaque fois survenues dans un climat tropical et dans le feu de l’action ou à proximité de scènes de combat.
Les disparitions d’aéronefs, de pilotes et d’équipage préoccupent tout particulièrement l’armée lorsqu’aucune explication ne cadre avec des raisons ordinaires en dehors du combat.
Dans Where the Footprints End vol. 1 (2020), Timothy Renner évoque un lien possible avec le Bigfoot : « Des rumeurs persistantes mentionnent une goule, un monstre nécrophage qui rôderait autour de Chickamauga. À ce qu’on dit, une grande créature velue – ou des créatures – ont été aperçues en train de choisir des corps de soldats confédérés et s’enfuir avec les cadavres pendant des trêves de combat. »
Q : (L) Est-ce que certains de ces corps ont été enlevés, comme le cadavre de quelqu’un qui vient juste de mourir… est-ce que ces corps ont été récupérés et emmenés dans une autre densité pour y subir le processus de remolécularisation ?
R : Oui.
Q : [...] (TK) Est-ce qu’ils ont vraiment pris les corps avant que quelqu’un… (T) Avant qu’on ne le retrouve, oui. Est-ce que les cadavres originels ont été replacés à l’endroit où ils avaient été enlevés, une fois la duplication achevée ?
R : Plus d’un type de situations.
Q : (L) Autrement dit, parfois oui, parfois non. (J) C’est au cas par cas. (T) Est-il possible que certains de ces soi-disant « tués au combat » n’aient en fait pas été tués ? Qu’ils se soient fait enlever vivants ?
R : Toutes les possibilités.
Q : (L) Donc dans un sens, c’est « l’occasion qui fait le larron ». (J) La guerre est remplie de toutes sortes d’occasions. (T) Certains se sont fait enlever vivants par le gouvernement secret, tandis que d’autres se sont fait enlever morts et sont ramenés dans de nouveaux corps pour continuer, et tout le monde les croit morts ; mais quel que soit le cas, tous sont considérés comme morts. [...]
R : Enlevés par les aliens, pas le GS. Le gouvernement secret est au courant dans une certaine mesure, mais il ne dirige pas l’opération.
Q : […] (T) Que font-ils de ces corps — des humains qu’ils dupliquent, copient et réaniment ? Qu’en font-ils ?
R : Les servent.
Q : (T) Donc, ces humains deviennent les serviteurs des aliens ?
R : Travailleurs.
Håkan Blomqvist relève une « déclaration très cryptique » dans le livre de 1959 du contacté Howard Menger, Mes amis les hommes de l’espace. L’une des « femmes de l’espace » de Menger lui a dit :
[…] il y a sur cette planète un très puissant groupe de gens extrêmement savants en technologie, en psychologie, et, ce qui est le pire de tout, en télé-influence. Ils dirigent des gens qui occupent des postes importants dans les gouvernements. Ce groupe est anti-Dieu, et on pourrait dire qu’il est l’instrument de votre mythique Démon. […] « Ils manient non seulement des gens de cette planète », continua la jeune femme, « mais aussi bien des gens de Mars. […] AUSSI D’AUTRES GENS DE VOTRE PROPRE PLANÈTE, DES GENS DONT VOUS N’AVEZ JAMAIS ENTENDU PARLER. Des gens qui jusqu’à maintenant n’ont été ni observés, ni découverts. Une sorte de peuple souterrain.
21 octobre 1995
Q : (L) L’autre soir, nous avons parlé des laboratoires souterrains et de l’enlèvement des disparus et morts au combat de la Seconde Guerre mondiale, et cela semblerait impliquer que le système de tunnels souterrains et les activités aliens qui s’y déroulent ont lieu depuis bien plus longtemps que 1947. Est-ce exact ?
R : Oui, mais sous une forme beaucoup moins intensive.
Q : (L) OK, c’est devenu bien plus intensif depuis 1947 ou dans ces eaux-là. Bon, je voudrais savoir s’il existe une relation entre ces laboratoires et ces complexes souterrains, et notre concept culturel de l’enfer.
R : Pas dans un sens aussi simpliste.
Q : (L) Je suis simplement curieuse de savoir si le concept de l’enfer en tant que lieu souterrain où les gens sont torturés, triturés et subissent toutes sortes de misères, est venu de gens qui s’en sont échappés ou en ont eu l’intuition…
R : Lien, mais pas unifié.
Q : (L) Existe-t-il un enfer ?
R : Non.
4 mai 1996
Q : (L) La dernière fois que Tom [TK] était là, nous avions parlé des bases souterraines, de l’intervention de l’armée dans les affaires civiles, et de la collusion entre le civil et les affaires militaires. Que pouvez-vous nous dire de plus à ce sujet ? [...] Nous avions parlé de la guerre en tant que moyen de générer des situations propices à la substitution de corps...
R : La guerre « sert » à beaucoup de choses.
Q : (L) Pourriez-vous nous lister certaines des fonctions les plus courantes de la guerre ?
R : Créer un environnement facilitant le remplacement discret du patrimoine génétique. Ce qui inclut un changement de paradigme via la stimulation de l’activité reproductrice, le remplacement du personnel-clé en fonction de la lecture préalable de la fréquence vibratoire...
Q : (TH) Qui ou quoi est remplacé dans le patrimoine génétique ? (TK) Tous ceux qu’ils veulent remplacer. (L) Eh bien, vous savez comment ça se passe dans les films... tout le monde fait l’amour à tort et à travers avant de partir au front... [...] Bon, vous voulez dire que la guerre...
R : Crée un « environnement » propice à des modifications génétiques qui passent inaperçues, à cause d’une augmentation sensible de l’échange entre facteurs tant physiques qu’éthériques.
Q : (L) Que voulez-vous dire par « personnel-clé » ? Personnel-clé pour qui ?
R : SDS de 4e densité.
Q : (L) Ce personnel-clé est-il humain ?
R : Oui.
Q : (L) Quand vous parlez de « remplacement », vous voulez dire un scénario simple du genre quelqu’un meurt — par exemple un chef d’État — et est remplacé par un autre qui prend le pouvoir ? C’est le scénario le plus simple qui collerait à vos explications.
R : Ton scénario n’est pas simple.
Q : (L) Je veux dire simple en matière de manigances...
R : Les deux.
Q : (L) Est-ce qu’ils pourraient aussi remplacer le personnel-clé grâce à la duplication ?
R : Oui. Et le placer dans l’univers « parallèle » des activités secrètes. Toutes les guerres passées ont permis de créer une race à part entière, une toute nouvelle « race souterraine » d’humains, tant par capture directe suivie d’une « rééducation » que par reproduction entre ces individus et d’autres.
Q : (L) Qu’entendez-vous par reproduction ?
R : Ceux qui ont été capturés se sont reproduits, et leur progéniture n’a jamais vu votre monde.
Cette idée de remplacement du personnel clé a de nouveau été abordée le 27 avril 2024
Q : (Altair) Lors d'une ancienne séance, les C's ont mentionné le remplacement de personnel clé humain par des 4D SDS. Combien de ces personnes se trouvent actuellement à la surface de notre planète ? [...] (L) Combien d’individus remplacent le personnel clé humain, disons, au gouvernement ? Quel est le pourcentage ? Parce qu’on suppose que le personnel clé fait partie du gouvernement, n'est-ce pas ?
R : Pas toujours.
Q : (L) Donc, les pourcentages seront différents selon les groupes ?
R : Oui
Q : (L) Pourrait-on dire, par exemple, que les influenceurs sur les médias sociaux pourraient être considérés comme du personnel clé ?
R : Oui
Q : (L) Y a-t-il un pourcentage pour cette catégorie ?
R : 13
Q : (L) 13 %. (Andromeda) Juste pour les médias sociaux. (Niall) 13 % d'entre eux sont remplacés. Qu'est-ce que ça veut dire ? (L) Je suppose qu'ils sont remplacés par des êtres souterrains ou... (Andromeda) Ou quoi ?
R : Des Walk-ins.
Q : (Andromeda) Des gens qui travaillent dans des installations nucléaires aussi, tu sais ? (L) C'est possible, oui. Des gens qui travaillent dans des installations nucléaires, des gens dans l’armée, la police. […] Des gens dans l’armée ont-ils été remplacés ?
R : Oui
Q : (L) Des membres du gouvernement ont été remplacés. Des gens des médias, de la télévision ou autre, ont-ils été remplacés ?
R : Oui.
Q : (L) Et le pourcentage varie en fonction du domaine d’activité ?
R : Oui.
Q : (Joe) Joe Biden a-t-il été remplacé ?
R : Non. Il est tout simplement sénile et n'est qu'une marionnette utile.
Q : (L) Oui, je veux dire, s'ils devaient placer quelqu'un là, ils feraient au moins en sorte qu’il soit fonctionnel ! (Andromeda) Oui. (L) Très bien, donc en gros, on ne peut pas vraiment avoir un chiffre général, c’est ça ?
R : 20 %.
Q : (L) 20% au total. Cela pourrait être plus élevé dans certains domaines et plus bas dans d'autres. C'est bien cela ? Il s'agit donc d'une moyenne établie à partir des chiffres de tous les différents... ?
R : Oui
Q : (L) D'accord. Alors, tant que tout le monde comprend ce qu'est qu'une moyenne, parce qu'évidemment, dans certains domaines, il y en aura beaucoup plus et dans d'autres beaucoup moins. Je dirais que parmi l'élite mondiale, c'est probablement 50 % ou plus.
Reprenons la séance de 1996 :
Q : […] (L) Comment toute une race, ou des groupes de gens, peuvent-ils vivre sous terre à l’insu du reste — ou plutôt, de la majorité — de l’humanité vivant à sa surface ? Cette idée est tellement folle...
R : Non. Combien y a-t-il d’espace sous terre, par rapport à la surface ?
Q : (L) Beaucoup, j’imagine. Vous n’êtes pas en train de dire que la Terre est creuse, quand même ?
R : Non, pas exactement.
Q : (L) Alors à quelle profondeur se trouve la plus profonde de ces cités souterraines ?
R : 5 000 km. [C’est-à-dire aux alentours de la limite entre le noyau interne et le noyau externe.]
Q : (L) C’est sacrément profond ! Mais, est-ce qu’il ne fait pas trop chaud à cette profondeur ?
R : Non. La température moyenne est de 20°C.
Q : (TK) C’est plutôt confortable ! (L) Et pour la lumière ?
R : Par résonance magnétique.
La curieuse description de lumière dans des bases souterraines (ainsi que dans des ovnis) apparaît régulièrement dans diverses sources. Le « Gordon Nicholas » de Norman décrit l’expérience que vivrait un moine tibétain hypothétique ayant accès à l’« Agartha » : « Au cours de sa visite du monde intérieur, le moine sera réchauffé par une lumière blanche particulière. Cette étrange lumière est l’équivalent de notre Soleil, et elle illumine les cités troglodytes, les passages et les tunnels. » (Ce qui n’est pas sans rappeler les propos d’Ossendowski cités en début d’article.)
Cette lumière diffuse est aussi parfois décrite dans des cas d’abduction comprenant un voyage vers un lieu souterrain (répertoriés par Thomas Bullard dans son livre de 1987, UFO Abductions: The Measure of a Mystery). Ainsi, Jorjani cite le récit d’abduction de José Benedito Bogea (raconté dans Ovnis : danger, de Bob Pratt) qui a décrit « être revenu à lui dans une ville étrange sans ciel, avec seulement un vide indéfini au-dessus de sa tête. Il ne put voir de Soleil ni identifier la source de la luminosité ambiante qui était comparable à la lumière du jour. […] Il remarqua que la température était restée constante tout le temps où il avait été présent, comme si le lieu était climatisé. »
Jorjani résume également le témoignage de la source de Linda Howe (voir la série sur les bases souterraines) lui ayant parlé d’une base en Antarctique : « La porte donnait sur une salle d’environ 36 000 m², emplie d’une luminescence vert citron qui semblait émaner de nulle part et d’aucun luminaire identifiable. […] Même s’il faisait environ -40°C à l’extérieur, la température à l’intérieur de la pièce était régulée et se situait aux alentours de 21°C. »
Q : (L) Est-ce qu’ils ne risquent pas d’être engloutis lors de tremblements de terre ?
R : Non, on ne ressent pas les tremblements de terre à cette profondeur !!
Q : (L) Est-ce qu’une des activités de cette civilisation souterraine a quelque chose à voir avec cette énorme base souterraine que les Russes construisent ?
R : Non.
Q : (TK) Est-ce qu’il y a des bases sous-marines ?
R : Oui.
Q : (TK) Il est impossible d’explorer tout ce qu’il y a sous les océans. (L) Tout ça dépasse l’entendement. Pourquoi ont-ils besoin de ces gens ?
R : Pour vous remplacer.
Q : (TK) Et pourquoi ? Parce qu’ils peuvent mieux les contrôler ?
R : Totalement.
Q : (L) Les gens nés et élevés dans ces cités souterraines ont-ils une âme ?
R : Oui, pour la plupart.
Q : (TK) Ils sont juste comme nous, sauf qu’ils sont élevés différemment ?
R : Plus compliqué que ça.
Q : (L) Depuis combien de temps font-ils ça ?
R : 14 000 ans, approximativement.
Cela situerait l’origine de cette civilisation durant le Dryas récent, avant l’impact qui se serait produit à cette période. Voici le scénario que propose Jorjani : « Ces premières sociétés – comme l’Égypte antique, Sumer, la Mésoamérique, la civilisation de la vallée de l’Indus, etc. – constituaient des fragments coloniaux d’une civilisation planétaire unifiée encore plus ancienne et établie sur Terre par nos Ancêtres. C’est cette civilisation, qui s’est effondrée il y a environ 12 000 ans, que Platon appelle l’« Atlantide ». […] [En Antarctique] et dans tous les océans de la Terre (en particulier dans les plateaux continentaux), des « Atlantes » survivants entretiennent toujours des bases souterraines et sous-marines aussi grandes que des villes. »
Q : (L) S’ils font ça depuis si longtemps, manifestement, ceux qu’ils ont enlevés au début ont passé l’arme à gauche et ne peuvent servir à remplacer qui que ce soit sur Terre, à moins qu’ils n’aient déjà remplacé des gens de temps en temps pour diverses raisons...
R : Non, comparée à la leur, votre technologie, c’est l’Âge de pierre ! Tubes d’hibernation... un battement de cœur par heure, par exemple.
Q : (TH) Ce qui veut dire que pour chaque année que nous vivons, ils en vivent 4 200... (L) Y a-t-il un quelconque rapport avec ce puits de dingue à Oak Island ?
R : Indirectement.
Q : (L) Et nous, quelle est notre place dans tout ça ? (TK) Nous, absolument aucune !
R : Vous êtes le « comité de préparation ».
Q : (L) Mais qu’est-ce que nous fichons ? Est-ce que ça fait partie du plan que nous détruisions la planète et la couche d’ozone, que nous polluions les mers et tout ça, pour la rendre plus habitable pour eux ?
R : Tout ça est sans conséquence et peut être facilement réparé.
Q : (TK) Avec leur technologie, ils peuvent arranger tout ça. [...] Apparemment, si je comprends bien, ils ne peuvent pas juste débarquer, nous éliminer et nous remplacer, parce que ce n’est pas dans les « règles ».
R : Néanmoins, les cycles naturels, au sein du grand ordre des choses, feront que tout ça se mettra en place naturellement.
Q : (L) Existe-t-il une loi dans le monde de ces êtres — du genre loi de la gravitation — qui les empêcherait de débarquer et de nous envahir ?
R : Non.
Q : (TK) Je ne pense pas qu’on puisse comparer ça à la loi de la gravitation...
R : Quelle « loi » vous empêche de manipuler à votre gré les êtres de 2e densité ?!?
Lectures complémentaires
Eric Norman : The Under-People (1969)
Walter Kafton-Minkel : Subterranean Worlds: 100,000 Years of Dragons, Dwarfs, the Dead, Lost Races and UFOs from Inside the Earth (1989)
David Hatcher Childress : Lost Continents & The Hollow Earth (1999)
Mac Tonnies : The Cryptoterrestrials: A Meditation on Indigenous Humanoids and the Aliens Among Us (2010)
Jason Reza Jorjani : Closer Encounters (2021)
Håkan Blomqvist: « Ancient Breakaway Civilization – A Source Study » (2022)